LES POUBELLES FRANCAISES DE FRED

LES POUBELLES FRANCAISES DE FRED

samedi 27 avril 2013

SAVOIE, CHRISTINE TAUBIRA, MARIAGE POUR TOUS, TALMUD, SIONISTE, GOY, FRONTENEX, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

                                      BORGIA CITY BRÛLE-T-IL?

L'ECHO DES MONTAGNES, dans le légitime but de vous informer, vous relate l'attentat suivant:
Après les multiples menaces d'assassinat, d'incendie, voici que les forces d'occupation sionisto-maçonniques de la SAVOIE SOUVERAINE, continue de faire étalage de leur savoir-incendiaire.
Pour rappel certains articles de l'EDM:

, CIA, UMP, SIONISME, FRANC-MACON, INCENDIE, SAVOIE, LIBERTE d’EXPRESSION,CHAMPAGNY-en- VANOISE, BELLAY, SAINT-OYEN, DIEU, BIBLE, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

et

LION, FRANC-MACON, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER, LIBERTE D’EXPRESSION, MOSSAD, SAVOIE, DIEU

et la liste des agents du MOSSAD:
cliquez sur les liens suivant, en récitant le talmud à voix basse:

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et

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Donc cela continue de plus belle, regardez les photographies:
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L’explication se trouve dans le texte suivant, cliquez dessus, merci:
                                                             Talmud II
Conclusion:

Il ne fait pas bon d'être goy à Frontenex-Borgia-City.
Que fais la justice putative en Savoie?
Madame la garde des sots préfère marier des sionisto-maçonniques gay pour qu'ils obtiennent ainsi
la nationalité française, en faisant des mariages pour tous, c'est à dire  donner la nationalité française pour toutes et tous par le cul, à tous les sionistes-maçonniques du monde.
Ainsi elle noie le monde chrétien et musulman dans la merde!
Frédéric BERGER, rédacteur en chef de l'Echo des Montagnes

lundi 8 avril 2013

UBS, JEROME CAHUZAC, SUISSE, MOSCOVICI, KOWEÏT, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

        CAHUZAC ET LE KOWEÏTGATE

L’Écho des Montagnes, dans le légitime but de vous informer, revient un peu sur l’affaire CAHUZAC.

Affaire qui prouve que presque tous les zélus-maçonniques sont pourries.

D’ailleurs ils ne peuvent être que pourries, car ils sont aux ordres d’Usraël.

Le journaliste vedette de la télé suisse RTS parle de 15 millions d’€ sur ce compte, et pas de 600.000 et évoque une rencontre entre Moscovici et son alter ego suisse qui ont évoqué l’affaire Cahuzac lors du forum de Davos:
 
En pleine affaire Woerth, en juillet 2010, reçu par Jean-Pierre Elkabach, Jérôme Cahuzac estimait qu’une dissolution de l’assemblée nationale était la solution la plus probable pour le président de l’époque, Nicolas Sarkozy:
Sans compter que l’affaire Cahuzac risque de faire ressurgir une affaire plus grande encore, celle du Kuwait-gate et les énormes rétro-commissions dont ont largement bénéficié les politiques de tout bord. Les documents sur le Kuweit-Gate à télécharger en PDF : ICI ou ICI.

   LE KOWEÏTGATE: rappel

CAHUZAC / UBS, c’est l’arbre qui cache la forêt !

N’oublions pas que Monsieur Pierre Moscovici (ami de DSK comme Cahuzac) a été le plus jeune secrétaire national du PS en 1991 et, en 1992 il devient trésorier du PS et le reste jusqu’en 1994. Nous comprenons mieux pourquoi il a essayé par Bercy de défendre Cahuzac
en demandant à l’UBS une réponse pour le moins étonnante. Depuis décembre 2012, Pierre Moscovici « gère » donc en direct le dossier Cahuzac avec les services fiscaux (JDD du 9.02.2013). Il serait intéressant de prendre connaissance de la réponse de l’UBS aux autorités
fédérales suisses transmises aux services fiscaux français !

L’UBS ne répond pas ,parce que si l’UBS répond, elle devra répondre pour tous les comptes des politiques corrompus qui ont été ouverts en 1991 comme celui de Monsieur Jérôme Cahuzac. Chacun ayant bénéficié de rétro commission du fabuleux contrat sur l’extinction des puits de pétrole en feu au Koweït (plus de 22 milliards US$ !)
Monsieur Jérôme Cahuzac vient de prendre comme nouvel avocat, Maître Jean VEIL !
Également avocat de D$K, Maître Jean VEIL a fait annuler le reportage sur l’extinction des puits de pétrole en feu au Koweït en 1991 qui devait être diffusé le 12 Mai 2000 dans l’émission Sans Aucun Doute présentée par Julien Courbet qui a notamment déclaré « Cette
affaire pourrait remonter très très très haut… ». Ce reportage est publié sur le site :

(http://nemesistv.info/video/MMO7W747W4W5/dsk-kuwait-gate#)

Bernard Nicolas, journaliste d’investigation, interrogé par Sophie Coignard (Le Rapport OMERTA 2 -page 261) – Vous avez déjà été victime de censure dans l’exercice de votre métier ?

« Plusieurs fois. Dès lors qu’il était question de personnage politique de premier plan, les ennuis commençaient à TF1……Une fois, j’avais fait un reportage sur une histoire politico-financière compliquée qui devait passer dans l’émission de Julien Courbet Tout est possible. Dans la journée, une autopublicité annonce le thème de mon enquête. La direction de TF1 s’inquiète : cette affaire peut-elle être gênante pour Dominique Strauss-Khan ?…..J’étais interloqué : rien n’indiquait dans mon enquête que DSK fût mêlé en quoi que ce soit à cette affaire. Soit on se trompait en haut lieu, soit on en savait plus long que moi…..Les téléspectateurs qui ont vu la bande-annonce n’ont jamais vu la suite… »

Il est utile de préciser qu’initialement l’UBS était l’abréviation de l’Union des Banques Suisses, après sa fusion avec la Société des Banques Suisses (SBS) en 1998, l’UBS prend le nom de Union Bank of Switzerland (UBS). Cette fusion a permis de faire le ménage dans
beaucoup de comptes notamment par la création d’une société dont la raison sociale est UBS SA avec siège à Genève – 8 rue du Rhône a été enregistrée au Registre du Commerce de Genève en date du 23.06.1999 et radiée le 22 octobre 2002 sous le Numéro fédéral CH-660-1164999-1 Numéro de dossier 6513/199 dont un des administrateurs étaient Monsieur ROBERT Alain. Or, il est surprenant de constater que Monsieur Robert Alain travaille toujours à l’UBS à Zurich !

En d’autres termes, serait-ce à dire que UBS SA a pratiqué des opérations bancaires, probablement hors du bilan de la Maison mère, au travers d’établissements « Banques écran » qui n’auraient pas de licence bancaire ? La Commission Fédérale des Banques (CFB) devrait se saisir de ce dossier, mais pour l’instant semble plutôt vouloir étouffer l’affaire. Serait-ce sous la pression du Gouvernement Suisse ? La corruption, tout comme en France dans cette affaire, se tient-elle aux plus hautes instances du Gouvernement ?

Pour information, il est utile de préciser que le 4 février 1997, le Journal de Genève sous la plume de son rédacteur en Chef (courageux), Christian CAMPICHE, avait titré en 1ère page « OÙ SONT PASSES LES MILLIARDS DU KOWEÏT ? ». Cette édition qui avait ébranlé
la classe politique française, a été purement et simplement retirée de la distribution des points de vente en France !

Dans le cadre de ses investigations notamment avec le fils du Ministre du Pétrole du Koweït de l’époque, Daniel Levavasseur (ancien agent de la DST) avait retracé la piste de l’argent en² démontrant que c’était la BNP Los Angeles (USA) via la BNP Luxembourg, qui a participé
en 1991 aux transferts des 23.005.341.300 US$ avant leur éclatement en utilisant de nombreuses sociétés off-shore suivantes :

IBAC SERVICE PTE LTD (Singapour) TEXRICE NV (Curacao) INCOME
MANAGEMENT REALITY INVESTORS GROUP, INCOME PROSPECTIES, CITY
INVESTMENT dans différentes banques suisses, américaines et canadiennes.

La société SB HOLDING est une société anonyme de droit Suisse créée le 1er mai 1991 et dotée d’un important fond de placement en juin 1995, dont le siège social est au 56 rue du Stand, 1204 Genève. Des bureaux commerciaux et logements pour les cadres dirigeants sont
également installés au 6 rue Jean Gougeon, 75008 Paris. Ses Administrateurs sont Jacques TORRENT, Paul BEGUIN et Philippe AYME-JOUVE. Ses banques de référence sont la SBS (Société des Banques Suisses) et la SBA (Société des Banques Arabes). La société SB
Holding conseille et assiste la société ELF (…) Monsieur Philippe Ayme-Jouve adresse le 20 août 1999 un premier rapport d’activité sur les comptes de Monsieur Christian Basano :
- Je vous fais parvenir mes premières informations et mes commentaires, car malgré beaucoup de réticences de la part de mes informateurs, il se dégage une ligne qui semble être très positive, tant au niveau des informations obtenues que de leurs contenus financiers.
- Il va sans dire qu’il est très difficile de parvenir à avoir des renseignements clairs, nets et précis.
- D’autre part, il s’agit de renseignements ultra-confidentiels où les personnes nieraient toute implication dans le cas où leurs noms ou celui de leurs établissements seraient cités sans que des documents officiels soient présentés.
- Que divers organismes bancaires ont travaillé directement avec le nom de monsieur Basano pour la réception et le transfert des fonds ?
- Que des organismes financiers ou bancaires ont simplement servi de relais dans l’utilisation du nom de monsieur Basano pour l’ouverture de comptes mais que souvent ces comptes n’ont servi que pour une seule transaction, et qu’ils restent à ce jour, malgré tout
ouverts.
- La plupart de ces comptes sont organisés à plusieurs tiroirs, avec un compte principal qui réceptionne le virement, mais qui exécute immédiatement la répartition qui se fait automatiquement sur des comptes secondaires sous le même N° avec des lettres ou des
chiffres b,c,d, de ce fait la transaction semble être moins importante.
M° Gilbert Collard, avocat de Joseph Ferraye, qui était présent sur le plateau de Sans Aucun Doute, avait très justement déclaré :
« Ce serait la plus grosse escroquerie du siècle sur fond de politique et de guerre du Golfe ! la plus grande escroquerie du siècle, escroquerie incroyable, enjeu colossal; on ne joue plus avec des rigolos, on joue avec de vrais tueurs, des hommes prêts à tout sous
prétexte qu’un Etat a des intérêts qui sont reliés par d’autres États ».

Les Ripoux de la République peuvent commencer à se faire du souci…

Frédéric BERGER
divers documents/

ubsdaniel levavasseurFrédéric BERGER

vendredi 5 avril 2013

YVES GODARD, MARIE HELENE GROUSSSAC, BRETAGNE, ECOSSE, PARIS, CDCA, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

                            AFFAIRE GODARD

ou

                                           CRIME D’ÉTAT

                                                                                                              1ère partie
L’ECHO des MONTAGNES, dans le légitime but de vous informer, vous fait part des dossiers du docteur MARIE-HÉLÈNE GROUSSAC.
Cet article sera suivi par d’autres dossiers explosifs du docteur GROUSSAC.

Il s’agit ici d’un crime d’état, dans la même région du « suicidé Maître  OLIVIER METZNER » et un peu plus loin, à Paris, de Monsieur NOËL ROBIN, sous-directeur des affaires économiques et financières à la police judiciaire de Paris! Dénominateur commun entre l’avocat et le policier, le dossier BETTENCOURT.
Dénominateur commun avec le dossier GODARD: crime d’état!
Le 09 janvier 2012
 
AFFAIRE GODARD

Hier soir, sur TV2, émission sur la disparition de la famille Godard, une nouvelle fois, sans
changement par rapport aux émissions du passé : en clair, toujours la même hypothèse
devenue un dogme.
Il a tué son épouse, c’est sûr, tout le prouve, puis il est parti avec ses deux
enfants. Et, de nouveau, les différents éléments du « pseudonaufrage » passés en revu. Et de
nouveau les papiers du corbeau, les petits cailloux du Petit Poucet, non je veux dire les cartes
plastiques distribuées, toutes au même endroit, de main humaine et sur des années.
images
Et de nouveau, la théorie, elle aussi présentée comme « vraiment vraie », il s’est suicidé en mer
avec ses enfants. Bref, cette émission n’apporte rien de plus que les précédentes. Alors
pourquoi récidiver?
La solution est évidente : si tous les intervenants son morts, extinction de cette affaire, finies
les enquêtes, finie une affaire devenue, au fil du temps, « emmerdante », c’est-à-dire à
risques. A risques pour qui ?
J’ai trouvé l’enquêteur très « méthode Coué » pour lui-même … et pour les auditeurs. On
nous a montré l’ampleur de l’enquête, son coût, et pourtant, moi qui est fait un rapport en 22
pages où la comparaison avec deux autres affaires apportait un éclairage intéressant, je ne fus
pas auditionnée. Pourtant, cela aurait coûté moins cher et cela aurait rapporté plus à l’enquête.
Mais cela aurait aussi mis en exergue une communauté de faits, donc un système, … donc
peut-être une affaire d’état ? Et le voulait-on ?
Quelques mois auparavant, un livre paraissait aux éditions « les arènes » : l’assassinat du Dr
Godard. Je l’ai décortiqué. Pour la première fois, une hypothèse bien plus logique que la seule
érigée en dogme (la tuerie puis le suicide) était argumentée : la famille avait été tuée, enfin
pas tous. Le livre conservait cependant l’hypothèse initiale, à savoir Yves Godard a tué son
épouse
. Est-ce le fait que l’auteur est un journaliste à TV2 et TV5 ? Est-ce l’imprégnation des
neurones des Français depuis douze ans par cette pseudo-information érigée en dogme, en
vérité, qui a fait son oeuvre sournoise ? Probablement.
De toute évidence, il existe un fossé ou plutôt une fosse marine entre le livre et ce que nous
venons de voir. Aussi, est-il possible que ce soit la sortie du livre qui ait induit cette émission,
cette fois-ci, télévisuelle, donc vue par un grand nombre de personnes. Pourtant, dans le livre,
il est toujours question d’un mari qui tue sa femme : cela aurait dû conforter les enquêteurs. A
aucun moment, ce travail d’enquête ne fut cité alors que des journalistes s’étant penché sur
cette affaire furent présents. Alors ?
Alors, le livre est riche d’une enquête sur des faits précis, bien qu’ils n’aient pas été compris.
On ne voit, comme en recherche, que ce qu’on veut voir ! Il présente aussi une faille, de taille
marine elle aussi, l’oubli de l’étrange voyant extralucide qui reçut un audit télévisuel
important. A ce moment-là, il n’était plus question de sectes qui sentent le souffre comme
dans la présentation de certaines fréquentations de Godard !
Cet homme, proche d’Avranches, amena les enquêteurs sur la piste du corps de Marie-France, l’épouse de Yves, dans le
cimetière de Lingèvres. De fait, sous le tas des fleurs fanées, on trouva des restes humains de
femme, dont l’ADN se révéla ne pas être celui de Marie-France.
Ce fait fut rapidement escamoté, comme d’autres d’ailleurs sur lesquels je reviens plus loin. Ce fait aurait pourtant
permis de comprendre que Yves n’avait pas tué son épouse et que des individus, liés d’une
manière ou d’une autre aux acteurs de ce scénario macabre, savaient où se trouvait le corps.
« Oublier » ce fait avait-il un but : ne pas déroger à la théorie d’un drame au sein du couple,
continuer de salir Yves Godard ? En cela, l’auteur du livre ne s’éloigne pas de l’émission
télévisuelle.
Hier soir, il fut question de cette information et, là, les restes humains sont
devenus de simples ossements vieillis. Tout un chacun sait qu’on trouve facilement des
ossements humains, au moindre coup de binette dans les cimetières ! L’enquêteur fut très
évasif sur ce point et pourtant, le cimetière de Lingèvres diffère des autres présents aux
environs. Il est récent, aux larges allées et … très en dehors du bourg, ce qui constitue des
caractéristiques intéressantes pour une éventuelle opération. Certes, dans l’un des vieux
cimetières environnants, il aurait été possible de trouver des ossements mais des restes
humains dans un cimetière neuf … bizarre, bizarre…
Il est étonnant que, durant cette émission, l’enquêteur ne souleva même pas l’existence de ce
livre, qui n’exclue pourtant pas son hypothèse initiale. Alors ?
Alors, il y a un « hic » : le livre fourmille de détails sur l’affaire et sur d’autres, possiblement
en lien. Sur ce point, l’auteur a effectué un réel travail d’enquête. Imaginons que des acteurs
de cette affaire lisent ce livre : ils vont voir que la méthode Coué a, certes, très bien
fonctionné mais ils vont voir aussi le danger que représentent certaines informations, qui
pourraient un jour amener la découverte de la vérité … pour peu que des individus en
effectuent une autre lecture.
Si les acteurs de cette macabre histoire ont lu ce livre, nul doute
qu’ils n’aient perçu le danger … pour eux. Alors, de tenter de resservir une autre histoire par
les médias pour noyer le poisson ? Cela signifie du même coup qu’ils ont la possibilité de
manipuler les médias ou de les utiliser : cela n’est pas donné à tout le monde !
Ce qui est particulier dans cette affaire, totalement hors normes, c’est le nombre
« étrangetés ».
La première porte sur les personnes décédées. Marie-France est décédée
sans que l’on ait retrouvé son corps. Yves est décédé, c’est sûr depuis la découverte des os de
membre inférieur. On pouvait s’en douter plus tôt, le jour de la découverte du crâne de
Camille, lorsque le même chalut remonta le haut d’un crâne, avec des arcades sourcilières
proéminentes, ce qui signe qu’il s’agit d’un homme et non d’une femme ou d’un enfant. Ce
crâne fracturé fut rejeté en mer. Chose étonnante, tout au début de la découverte, la presse et
la télévision parlèrent de la tête probable du père puis plus rien … ou si, elle fut tout
simplement escamotée. Ce point est intéressant car il n’est pas anodin : il permettait de voir
Yves Godard à travers le monde, ce qui fut rappelé dans la dernière émission mais pas dans le
livre. Il permettait un montage malsain, visant à présenter cet homme comme un salaud.
Quelle perversité ! Non seulement, il a été assassiné, non seulement, on lui a mis l’assassinat
de sa femme sur le dos, mais on a délibérément continué de le salir : beau pays que la France !
Puis lorsque tous ces Yves Godard vus à travers le monde s’évanouirent, après une période de
redécouverte de l’existence de la tête de Yves, une nouvelle période d’escamotage de son chef
s’ensuivit : devenue inutile depuis l’apparition des deux os ? Ou plutôt non, elle fut
rapidement recyclée … en tête de Marius :l’intérêt ? Allons, c’est évident. Deux os + deux
têtes = trois individus ; pour Marie-France la quantité de sang perdu implique nécessairement
une mort violente. Donc quatre morts : le compte est bon … pour clore une affaire vraiment,
vraiment emmerdante pour tout le monde !
Revenons à l’enquêteur de l’émission du 08 janvier dernier, celui qui connaît plus que bien
cette affaire. Il commit tout de même de curieuses erreurs, pour quelqu’un qui connaît le sujet,
erreurs que ne commit pas l’auteur du livre : nombre d’enfants du premier mariage de Yves,
plaid plein de sang. Ce dernier détail s’appelle prendre des vessies pour des lanternes,
autrement dit prendre ses désirs pour des réalités : dans le livre, le plaid est lavé depuis
quelques jours dans la machine à laver. C’est la fille aînée de Marie-France qui le sort et le
remet en place, lors de son premier passage, début septembre. A ce stade, rien ne lui apparaît
anormal au point que les enquêteurs envahissent la maison pour l’investigation après deux
autres jours. Ce n’est pas tout à fait pareil, surtout dans une affaire criminelle !
Les restes humains d’une femme présent sous le tas de chrysanthèmes et autres fleurs
défraîchies sont devenus des ossements enterrés : là encore, ce n’est pas tout à fait la même
chose ! Cela, de plus, ne colle pas avec le type de cimetière, trop neuf ! Cela commence à
faire tâche dans le tableau brossé.
Les douaniers ont vu Yves Godard vers le port de l’anse Bréhec, où il est décrit comme un
suspect et les enfants comme drogués au fond du bateau. Dans le livre, Yves et ses enfants
sont allés acheter des glaces à la petite échoppe de la plage, sans se cacher. L’interprétation de
l’auteur du livre me semble meilleure que celle de l’enquêteur : Yves Godard attendait
quelqu’un mais qui ? Sa femme ? C’est possible. Plus tard, des personnes ont vu le bateau,
sans ses occupants, puis un autre témoin vit un homme partir seul à bord de ce bateau, alors
que Yves et ses enfants étaient vus à Roscoff, sur l’embarcadère. Tout cela ne colle pas avec
une autre couleuvre que l’on essaie de nous faire avaler : Yves Godard aurait sabordé son
bateau (facile et on nous montre comment faire) en tuant ses enfants et en se suicidant. Oui
mais voilà, précédemment des marins avaient expliqué et c’est repris dans le livre, ce bateau,
s’il avait coulé, aurait explosé et de multiples débris auraient été trouvés, ce qui ne fut pas le
cas …là encore, cela sent le montage !
L’auteur du livre démontre, et je le croîs volontiers, qu’Yves Godard était bien à l’île de Man
une semaine après son départ, puis sur l’île Lewis, en Ecosse. De fait, c’est ce qu’indique les
billets du corbeau. Tous les détails que l’auteur donne trahissent la vérité. Il est donc bizarre
que l’enquêteur passe sur cette épisode, avec une attitude visant à le minimiser, traduisant le
ridicule de cette idée par une mimique adaptée … mais en donnant toutefois précisément la
durée du séjour sur Man. Je le cite : du 7 au 14 septembre. Pourquoi ? Est-ce parce que le
risque encouru par les acteurs de ce crime familial, risque dont je fais état plus haut, se situe
précisément à ce moment-là ? J’ai l’impression que cette partie de l’histoire est elle aussi
volontairement escamotée.
L’auteur du live a interrogé suffisamment de témoins pour que la
présence de Yves et de ses deux enfants soit avérée. Un homme voit Camille en train de
pleurer sa maman : elle a compris que sa mère n’est plus de ce monde ; Marius est plus jeune,
il n’a pas été vu dans le même état. Les tabloids anglais qu’ils avaient pu voir faisaient état de
la disparition de la famille et de la mort quasi certaine de Marie-France. L’auteur signale qu’il
y a avait, à l’hôtel à Douglas, ville de l’île de Man, une femme qui donnait des ordres aux
deux enfants. Cette dernière aussi est escamotée : pourquoi ? Qui est-elle ? Elle est ensuite
vue à Lewis, toujours avec Yves Godard et les enfants. Yves interpelle une passante qui ne
peut que s’en souvenir car il signale qu’il est français, qu’il est médecin, il fait froid et sombre
et les enfants sont habillés comme en été. Bizarre, bizarre. N’est-ce pas là un signe que les
vêtements des enfants n’étaient pas adaptés parce que le séjour à Lewis n’était pas prévu ?
Que Yves Godard faisait tout pour se faire repérer ? N’est-ce pas là l’attitude d’une personne
tombée dans un piège et qui tente, discrètement, par tous les moyens, d’éveiller l’attention et
donc d’alerter autant que faire se peut ? N’est-ce donc pas lui l’informateur du corbeau ?
Visiblement, l’auteur n’a pas compris mais cela ne veut pas dire qu’une autre personne ne
comprendra pas un jour : est-ce là le danger que l’on veut éviter ?
L’auteur suit les traces de Yves Godard jusqu’à Lewis, puis sur le ferry vers la terre ferme,
puis vers Inverness puis vers un petit bourg sur la côte nord de l’Ecosse. Visiblement, l’auteur
ne comprend pas parce qu’il n’a pas les bonnes cartes pour le faire et pourtant… Autant
l’attitude de Yves que celle des enfants, si l’on considère qu’il ne sont plus libres, devient plus
explicite. La femme est toujours là, cela signifie que le père et ses enfants sont sous sa
surveillance. Dès lors, on commence à percevoir le danger, pour les acteurs, que l’affaire
réelle soit découverte. Par exemple, le papier écrit par Yves à destination des autres enfants et
trouvé dans la maison pourrait être un signe qu’il partait et que sa femme devait le rejoindre :
dans ce cas, il a remis ce papier lorsqu’il était dans l’anse Bréhec à un individu dans lequel il
avait confiance. Il s’est fait piégé et le piège était d’une perversité, d’une étendue hors
normes.
Le corbeau, en donnant l’alerte que Yves espérait, entraînait l’activation d’Interpol. Les
péripéties d’Interpol sont aussi ubuesques : se faire coffrer dans une chambre d’hôtel puis
conduire à l’aéroport pour un retour sur le sol français, ce n’est pas commun ! On peut dire
que Yves et ses enfants ont joué de malchance ou plutôt que les acteurs ont joué de chance :
tout dépend de quel côté on se place. La diplomatie est intervenue : qui dirigeait, en France, à
cette époque le ministère des affaires étrangères ? Le ministre était forcément partie prenante
de cette étrange affaire. Aussi, commence-t-on à mieux comprendre l’intérêt de la
manipulation actuelle, donc de dire que Yves Godard a tué sa famille ?
L’auteur du livre reste interloqué lorsqu’il découvre le parcours des trois entre Lewis et
Inverness. Ensuite, seul Yves et sa fille sont vus, pour la dernière fois, sur la côte nord, près
de la mer, à Thurso. Il s’étonne de cette destination, tout en signalant la présence d’une
centrale nucléaire et d’un site secret de construction de sous-marins, juste à côté. En fait, sans
le comprendre, il met en danger les acteurs de cette affaire. L’ensemble industriel si
particulier est une clé importante de ce dossier, ne ressemble-t-il pas à l’ensemble qui se
trouve à la pointe de la Bretagne, près de Crozon ? Ce genre d’ensemble est surveillé par des
services militaires très spéciaux. Faîtes un petit tour sur zones par Google earth et vous
constaterez que ce type de complexe militaro-industriel possède, à proximité, un aéroport
militaire. A Thurso, il se nomme Lower Dounreay : est-ce par là que Yves et Camille sont
revenus sur le sol français, plus exactement sur le sol breton ? Pour qui était la carte expédié
de là, comportant un nounours ? Il est maintenant facile de deviner, non ? La dernière fois
qu’ils ont été vus, Marius n’était plus là : alors ? ? De fait, seules les preuves matérielles de la
mort de Yves et Camille existent vraiment.
On comprend mieux l’intérêt de faire passer le crâne de Yves pour … celui de Marius ! On a vite compris dans certains lieux le danger que
constituait cette enquête qui, même en partant du principe que Yves avait tué sa femme,
risquait de devenir explosive ! Les anglais adorent les chiens et les chats, alors un petit garçon
de 4 ans et demi ? mais la petite fille de deux ans son aînée ? Non ? Pourquoi ? Trop âgée ?
Elle avait pris conscience de la disparition mortelle de sa mère ou bien sa présence était-elle
nécessaire pour la suite de l’opération ?
En quittant le sol écossais, Yves et Camille savaient ce qui les attendaient, la mort : le second
billet du corbeau en fait foie. Camille avait 6 ans et demi. Ils ont eu deux mois ou plus pour
vivre cette condamnation à mort. J’ai souvent pensé, depuis que je me suis approchée de la
probable vérité, à leurs derniers moments. Y a t il eu, en outre, torture de Yves ? Découpage
du ou des corps ? En tout cas, vu les délais maximum possibles entre la mise à mort et la
découverte, il y a eu décapitation des deux, car les têtes ne se détachent pas facilement des
corps noyés, … le tout, sans jugement, dans le pays des droits de l’homme, qui est, en outre,
très fier d’avoir aboli la peine de mort ! Pourquoi, si Yves était réellement le tueur de son
épouse, ne pas le livrer à la justice ? Même Carlos fut jugé après avoir été amené sur le sol
français d’une manière similaire !
Yves et sa famille me hantent comme un certain garde des Sceaux fut hanté par le
« guillotinage » dans les prisons. Le type de mise à mort d’innocents, sporadique mais pas si
rare que cela dans ce pays, exécutions dont les raisons sont souvent liées à l’occultation de la
corruption de la « Françafric » au détriment du peuple, m’est insupportable. Elle l’a été dès le
début de cette affaire.
Me hantent aussi ceux qui furent les divers acteurs de l’affaire Godard dans son entier. Pour
les plus intimes de ce crime d’état (car c’est un crime d’état), n’ont-ils pas reçu une prime de
fin d’année pour leurs hauts faits d’arme ? Avec laquelle ils fêtaient en famille, avec leurs
enfants, le Noël 1999 et l’arrivée du nouveau siècle, dans le pays des droits de l’Homme ?
L’auteur du livre qui relie cette affaire avec le CDCA a raison sur certains points : les autres
assassinats. Le plus curieux est que les enquêteurs sur l’affaire Godard ont contacté, toujours
dans le but de clore le dossier, d’autres enquêteurs sur certains assassinats de personnes du
CDCA et ô miracle (ou plutôt non, ô merde ?), on leur donna des tuyaux sur un homme se
trouvant au Brésil et ayant avoué s’être occupé aussi de Godard et des enfants. Pourquoi la
télé ne s’est-elle pas penché sur ce rebondissement intéressant ? Pourquoi continuer de vouloir
clore l’enquête ? Pourquoi ne pas demander l’extradition de cet homme ? Pourquoi étouffer à
nouveau cette affaire ? N’y aurait-il pas une raison diplomatique, voire de personnel
diplomatique ? Qui protège-t-on de cette manière ? Assurément, des personnages très, très
puissants depuis 1999 !
La CDCA n’avait pas cette possibilité, il suffit d’avoir vu une certain
émission de télévision il y a quelques années, à une heure de grande écoute et l’effondrement
de ce syndicat qui s’ensuivit pour comprendre que le véritable lien n’est pas de cet ordre.
Sur l’interprétation, il a tort : un tel montage, une telle précision, autant de preuves, une telle
couverture de l’affaire, une telle étendue dans le temps et dans l’espace, une telle utilisation
des médias signent une affaire d’état, une de plus ! Il a tort aussi sur la limitation des
corrélations aux décès touchant la CDCA.
En France, le milieu médical, en particulier celui de
la médecine et des travaux scientifiques alternatifs, paye un lourd tribu, depuis ces mêmes
années : n’est-ce pas plutôt dans cette direction qu’il faut rechercher les raisons de cette
affaire ? Sans compter que le nombre de médecins qui ne supportaient plus des cotisations
devenues de véritables gabelles et qui se dirigeaient vers la CDCA devenait un véritable
problème pour le gouvernement en place. Alors, un exemple visant à refroidir certaines
professions de ne pas passer sous les fourches caudines de l’état français, visant à protéger
certains circuits financiers opaques? Et là, il faut visiter d’autres affaires simultanées, par
exemple celle d’un certain journaliste de l’est de la France lorsqu’il démontait les rouages des
échanges financiers internationaux au Luxembourg.
Autre exemple, ce que subissait un Normand qui refusa que son logiciel soit trafiqué pour réaliser une « lessiveuse » sur les
cotisations dues à la CAF et à l’URSSAF. Tiens, mais Godard, révolté, avait décidé de lutter
contre ce système national de cotisations invivables qui a contribué à broyer l’économie de
base dans ce pays au bénéfice de l’économie passant par la lessiveuse de Clearstream.
Bizarre, non ? De tels systèmes n’ont-ils pas été à l’origine de l’affaire de la MNEF ?
Y a-t-il eu d’autres extensions à ce système, extensions que le docteur Godard dérangeait,
plus qu’il ne l’avait compris .
A-t-il deviné cela avant d’être liquidé ? A-t-il été torturé pour savoir ce qu’il savait, ce qu’il avait éventuellement découvert de ces occultes manoeuvres ?
A-t-il été torturé pour savoir qui d’autre était au courant de ces circuits occultes de fric ? Pour
les protéger ?
N’est-ce pas plutôt dans cette direction qu’il faut recherche les causes de cette
affaire ? Curieusement, dès 2004, la caisse de retraite des médecins lançait une alerte rouge
sur le taux de suicide des médecins, double de celui de la population, à âge équivalent. Cela
signifiait que le phénomène avait commencé en 2003, année du rapport 1664, voire en 2002.
Récemment, on fit, aux informations télévisuelles, pour la première fois, état de ce
phénomène, soit plus de 9 ans après son début. N’est-ce pas là un des prix à payer d’avoir
laissé instrumentaliser l’affaire Godard ?
Pourquoi la France, qui se prétend un état – nation,
n’a-t-elle pas pris la mesure, en temps utile, de la jacquerie qui montait dans le milieu médical
afin d’y porter remède, plutôt que de mettre des couvercles sur l’eau qui bout, plutôt que
d’écraser, manu militari, ceux qui donnaient des signaux d’une dérive en cours ? Que de
suicides de non révoltés auraient pu être ainsi évités dans les années qui suivirent, sans
compter la disparition en cours de la profession médicale.
En conclusion, probablement, plusieurs raisons ont amené au sacrifice de cette famille, plutôt
qu’une autre. Ce fut un carnage et l’horreur confinant au cynisme. Ne comprend-on pas mieux
maintenant tous les efforts pour ensabler les cartes, pour blanchir les os et chairs, pour décrire
un livre à message dans le combi, véhicule curieusement resté ouvert, bref pour « emmurer »
cette affaire ?
La justice n’a-t-elle pas amené, par ses compromissions, ce pays dans un système de dictature
d’un nouveau genre mais dont les méthodes sont universelles ? Avec l’affaire Godard,
véritable « Tchétchène français », la France n’a-t-elle pas perdu son âme ? Peut-elle encore se
définir comme une démocratie ??
Dr Marie-Hélène Groussac

lundi 1 avril 2013

MOSSAD, HACKER, CROATIE, CHINE, RUSSIE, ECHO DES MONTAGNES, ANONYMOUS, FREDERIC BERGER


Le célèbre masque de Guy Fakes, signature d’[i]Anonymous[/i]. 
Le célèbre masque de Guy Fakes, signature d’Anonymous.Anonymous pirate le site officiel du Mossad !

Une équipe de hackers turcs nommée The Hack-Rouge et membre du groupe de pirates informatiques Anonymous, connu pour le célèbre masque de Guy Fakes que portent ses membres, a lancé une attaque contre le site du Mossad.

Le hack a démasqué le réseau du Mossad, quelques jours après que le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan ait accepté, «au nom du peuple turc», les excuses présentées le 22 mars par son homologue israélien, Benyamin Netanyahou, pour le meurtre de neuf Turcs par les forces israéliennes, lors de l’arraisonnement d’une flottille humanitaire à destination de Gaza en 2010.

Il semble que le peuple turc n’accepte pas ces excuses…
Anonymous a ainsi publié des milliers de noms, numéros d’identification, des adresses électroniques et des informations géographiques correspondant à des hommes politiques israéliens et à des officiers de l’armée sioniste. Ces données ont été diffusées sur les réseaux sociaux. Ceci a évidemment provoqué des perturbations du site officiel du Mossad, réseau sioniste d’espionnage. Le régime israélien a réagi à cette attaque en lançant des menaces contre Anonymous.

Le Mossad est connu pour perpétrer des actes de terrorisme et pour espionner mais moins connu pour pratiquer le contrôle de la pensée. L’organisation compte 30 000 agents secrets dispersés à travers le monde, presque tous formés à l’utilisation d’explosifs et d’engins de démolition, aux voitures piégées, à l’enlèvement et à l’assassinat politique ou économique. Il est connu pour tuer certes, mais surtout pour s’en tirer à bon compte : tous les jours, on nous rapporte des dizaines de tués au Pakistan, en Irak, ou ailleurs commis par ces agents qui ne sont jamais inquiétés par la justice…

Cette attaque intervient alors que le Président américain Barack Obama a promis de combattre la cybercriminalité !

ANONYMOUS réaction suite aux arrestations de nos frères et sœurs en France par les jérusalistes de la DCRI

 Clic sur:

http://www.youtube.com/watch?v=L8jS3Trq--I

La CIA complice du terrorisme en Syrie…La CIA complice du terrorisme en Syrie…Syrie : Les directives secrètes de la CIA !

Alors que Damas est touché en plein cœur et pleure ses disparus, le rebelle Abou Omar revendique le mérite de ses actions, ce 26 mars dans le New York Times : « les groupes rebelles autour de Damas ont été renforcés par des armes venant de Jordanie, avec l’assistance américaine » !

Une enquête de ce même journal confirme l’existence d’un réseau international organisé par la CIA avec l’aide des renseignements britanniques, français et jordaniens, à travers lequel un flux croissant d’armes arrive aux rebelles syriens. Les agents de la CIA pourvoient à l’achat des armes financées, à coup de milliards de dollars, principalement par l’Arabie saoudite, le Qatar et d’autres dirigeants du Golfe. Des camps militaires, en territoire turc et jordanien, reçoivent cet armement et ravitaillent les rebelles…
La base aérienne d’al-Udeid du Qatar abrite le quartier général américain avec plus de 10 000 soldats prêts à opérer au Moyen-Orient. Ainsi, les Etats-Unis renouvèlent leurs efforts pour détruire la Syrie, avec l’assistance des pays arabes et européens, et… un nouveau pion dans l’équipe : la Croatie !
Le rôle de cette dernière n’est pas des moindres, puisqu’elle est à la tête du trafic d’armes international… La Croatie doit faire ses preuves en mettant tout en œuvre pour servir les Etats-Unis et l’Europe. En réalité, la Croatie joue en Syrie, son admission au sein de l’Union européenne, cette instance qui, officiellement, prétend renforcer l’embargo des armes à l’égard du gouvernement de Bachar al-Assad pour une soi-disant solution politique et arrêter les massacres en Syrie, mais qui, en réalité, s’active à la destruction de la Syrie.