SANCTIONS CONTRE L'IRAN
Voici les sanctions prévues par les sionistes onusiens contre l'Iran, en date du 10 décembre 2014.
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sanctions contre l'iran en date du 10 décembre 2014.pdf
Frédéric BERGER
Rien n'est sacré, tout peut se dire. En hommage au Lieutenant X, surnommé "LAVAPEUR", chef des résistants à LA PLAGNE en SAVOIE.Ce journal, LANCEUR D'ALERTE, est enregistré au tribunal de grande instance d'Albertville.ISBN:22191 ISSN:12996769 Dépôt légal: à parution MI CHAMICHA, BEALIM ADONAÏ voir déclaration universelle des droits de l'Homme de 1948 et Article 19 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques de l'ONU,
Pourquoi le déclenchement d’une guerre civile en Europe n’a rien d’une vue de l’esprit mais relève bien d’un implacable projet appliqué par l’Etat Islamique »Par Labiche le 23/12/2014
J-1Les actions se réclamant du terrorisme islamiste en Occident, si elles proviennent souvent d’actes isolés, s’inscrivent dans une stratégie plus large, théorisée en 2004 par un dénommé Abou Moussab Al-Souri dans un ouvrage de 2 500 pages. Objectifs : un désordre permanent et des clivages marqués, qui doivent permettre au djihadisme international de triompher.
Atlantico : En 2004, Abou Moussab Al-Souri, théoricien du djihadisme, publiait un ouvrage de 2500 pages donnant les indications des actions à mener pour composer un djihadisme mondial, qui ne s’arrêterait pas à la seule région du Proche et Moyen-Orient. Qu’est-ce qui dans ses écrits prédit un projet de guerre civile ? Quelle était le processus imaginé en théorie
Alain Rodier : Tout d’abord, Abou Moussab Al-Souri, de son vrai nom, Setmariam Nazar possédant la double nationalité syro-espagnole (par mariage), est un idéologue d’Al-Qaida « canal historique », bien qu’ayant toujours fait preuve d’une grande indépendance personnelle vis-à-vis de la direction du mouvement.
Comme cela est dit dans le film « les barbouzes », « il encombre aux archives » de tous les services de renseignement. Seul détail gênant, depuis sa libérations des geôles syriennes en 2011 (il avait été « rendu » au régime de Bachar el-Assad par les Américains – qui l’avaient arrêté en 2005 – quand celui-ci était encore fréquentable), personne ne sait où il est passé. Ses théories vont à l’opposé de celles de Daech dans le cadre de la création d’un « État » islamique. Il jugeait cette façon de faire comme trop dangereuse car présentant une cible trop facile à frapper par les Occidentaux. Ayant une grande connaissance de l’étranger, il prônait la créations de cellules clandestines sans liens avec un commandement central pour ne pas se faire détecter. Ces cellules devaient pouvoir passer à l’action avec leurs propres moyens pour déclencher une guerre civile en créant des divisions entre les musulmans et les populations locales.
L’Etat islamique semble vouloir « rationaliser » ses actions sur le territoire européen – et français – avec des appels à recrutement, et à mener des actions, lancées depuis la Syrie notamment. En quoi leur modèle d’importation de la « guerre civile » en France diffère-il de celui des précurseurs d’Al-Qaïda ? Pourquoi ? (…)
Daech, à la différence d’Al-Qaida « canal historique », ne possède pas (encore) de « réseau » à l’étranger. (…)
Le problème réside dans le fait que des individus isolés trouvent dans la « cause » de l’État Islamique la raison de passer à l’action. Cette « cause » est différente de celle d’Al-Qaida car il existe aujourd’hui un véritable État islamique situé à cheval sur la Syrie et l’Irak. C’est du « concret ». (…)
Le principe pour recruter des activistes est de les valoriser personnellement en leur démontrant qu’ils sont « maltraités » par la société. (…)
Un journaliste en immersion dans l’EI : « Nous allons conquérir l’Europe et nous tuerons 500 millions de personnes » (Màj vidéo)
Un voyage dangereux, mais éclairant. Écrivain et homme politique allemand de 74 ans, Jürgen Todenhöfer a passé dix jours dans les territoires de l’organisation État islamique (EI). Il s’est enfoncé dans les zones contrôlées par les djihadistes: en Irak et en Syrie, à Mosul, la « capitale » de l’EI, mais aussi à Raqqa et à Deir Zeeor. Là, il a côtoyé les autoproclamés combattants de Dieu, les populations sous leur coupe et le mode de vie imposé. Il a aussi pu voir l’engouement de certains, l’armement des autres. Et il a interviewé, pour la première fois, Abu Bakr al-Bagdadi, le chef de l’organisation. [...]
Il a déjà livré ses premières impressions, notamment lors d’une interview accordée à CNN . « L’Etat Islamique est bien plus puissant et bien plus dangereux » que ce que l’Occident pense, a-t-il notamment déclaré.
A Mossoul, il a constaté que « la ville continue de tourner et que de nombreuses personnes apprécient même la stabilité que l’État Islamique a apporté« , et ce malgré les meurtres, l’application stricte de la charia et le fait que 130 000 chrétiens ont été chassés de la ville, tout comme les musulmans chiites (les djihadistes de l’EI sont sunnites, ndlr). Évidemment, la peur est dans l’air parmi les habitants qui craignent la très forte répression, note-t-il.
Todenhöfer a également été abasourdi par la dévotion des combattants et leur volonté de mourir sur le champ de bataille. « Ce ne sont pas des imbéciles. L’un d’eux venait de terminer sa licence de droit, il avait de très belles offres de travail, mais il a préféré tout plaquer pour la guerre. J’ai même rencontré des Européens et des Américains« , ainsi que des enfants de 13 ans assurant avoir déjà combattu, note l’auteur, avant d’ajouter que « 50 combattants se présentent tous les jours pour grossir les rangs« .
L’un des épisodes les plus forts de son voyage a été la rencontre avec un djihadiste allemand parlant au nom du commandement de l’EI. « Nous allons conquérir l’Europe un jour. La question n’est pas de savoir si nous allons le faire, mais quand. Pour nous, c’est l’évidence (…) notre expansion sera perpétuelle et les Européens doivent savoir que quand nous viendrons, ce ne sera pas joli. Ce sera avec nos armes. Et ceux qui ne se convertissent pas à l’Islam ou qui ne payent pas la taxe islamique seront tués« , lui a expliqué ce combattant. [...]
Yesterday, after more than 50 years, we began to change America's relationship with the people of Cuba. We are recognizing the struggle and sacrifice of the Cuban people, both in the U.S. and in Cuba, and ending an outdated approach that has failed to advance U.S. interests for decades. In doing so, we will begin to normalize relations between our two countries. I was born in 1961, just over two years after Fidel Castro took power in Cuba, and just as the U.S. severed diplomatic relations with that country. Our complicated relationship with this nation played out over the course of my lifetime -- against the backdrop of the Cold War, with our steadfast opposition to communism in the foreground. Year after year, an ideological and economic barrier hardened between us. That previous approach failed to promote change, and it's failed to empower or engage the Cuban people. It's time to cut loose the shackles of the past and reach for a new and better future with this country. I want you to know exactly what our new approach will mean. First, I have instructed Secretary of State John Kerry to immediately begin discussions with Cuba to re-establish diplomatic relations that have been severed since 1961. Going forward, we will re-establish an embassy in Havana, and high-ranking officials will once again visit Cuba. Second, I have also instructed Secretary Kerry to review Cuba's designation as a State Sponsor of Terrorism -- a review guided by the facts and the law. At a time when we are focused on threats from ISIL and al Qaeda, a nation that meets our conditions and renounces terrorism should not face such a sanction. Third, we'll take steps to increase travel, commerce, and the flow of information to -- and from -- Cuba. These steps will make it easier for Americans to travel to Cuba. They will make it easier for Americans to conduct authorized trade with Cuba, including exports of food, medicine, and medical products to Cuba. And they will facilitate increased telecommunications connections between our two countries: American businesses will be able to sell goods that enable Cubans to communicate with the United States and other countries. Learn more about the steps we're taking to change our policy. These changes don't constitute a reward or a concession to Cuba. We are making them because it will spur change among the people of Cuba, and that is our main objective. Change is hard -- especially so when we carry the heavy weight of history on our shoulders. Our country is cutting that burden loose to reach for a better future. Thank you, President Barack Obama
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Découvrez le nouveau surnom de notre président « d’exception
Eh oui...!!! Pourquoi est-il surnommé GRANULÉ, là-bas, dans son propre fief corrézien ?
Nous
étions hier en Corrèze chez un éleveur, sous la pluie, dans la boue ,un
ciel de plomb, à Collonge la rouge à proximité de Brive.
Il
nous disait que le passage en Corrèze d' Hollande, venu en
falcon pour voter, ne s’était pas si bien passé que ça, au point qu’il a
tenté de fuir... comme à son habitude ! les hommes de la terre, lui ont
tout de même crié ceci : "Savez vous comment l’on vous surnomme ici
???"
Granulé.
Pourquoi Granulé ? Parce que vous êtes "Gras, Nul et Laid".
Toute la pressetituée a été silencieuse sur ce fait divers. Étant aux lèches bottes du gouverne--ment, elle n’en n'a pas parlé, bien sûr!...
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