LA VALLS A ZÉRO TEMPS
OU
VALLS NO TOT DRET
L’Écho des Montagnes, dans le légitime but de vous informer, vous livre le vrai Valls, à contre-temps .
Un «caniche» de Hillary Clinton, piégé par sa psychorigidité.
Le sobriquet lui colle à la peau :
Manuel Valls est un sarkozyste de gauche. Pis, l’alter ego de Nicolas
Sarkozy dont il fut son successeur au ministère de l’Intérieur est en
fait le plus fervent adepte socialiste des néo-conservateurs américains,
plus exactement un socialiste «néo conservateur américain avec un
passeport français», pour paraphraser l’expression du transfuge
socialiste Eric Besson, spécialiste de la culbute idéologique.
Le Roi Manu est nu, démasqué par sa
psychorigidité et sa docilité aux oukases américains et israéliens au
point que si Tony Blair, l’ancien premier ministre britannique
travailliste, est passé à la postérité pour être le «caniche de George
Bush Jr» pour sa servilité à l’égard du président américain lors de
l’invasion américaine de l’Irak, en 2003, son homologue socialiste
français aura été le «caniche d’Hillary Clinton» la grande calcinée des
élections présidentielles américaines de 2016, la fausse démocrate
ordonnatrice de la destruction de la Libye.
Son opposition obsessionnelle et
compulsive à la libération de Georges Ibrahim Abdallah, le doyen des
prisonniers politiques dans le monde, aura été sa marque de fabrique à
son passage au pouvoir.
Elle paraît devoir se retourner contre
lui, piégé par lui même révélant par là même et son mépris du droit de
son pays et sa servilité à l’égard de ses maîtres américains et
israéliens.
Une imposture de la part de cet ancien
pro palestinien avéré muté en philo sioniste exacerbé à la faveur de sa
matrimonialité nouvelle.
La camarade Rima, alias Jacqueline Esber, liquidateur de l’attaché militaire israélien à Paris Yacov Barsimentov.
Par un curieux hasard de l’histoire, sa
candidature à la présidentielle française en substitut à la défaillance
de son chef nominal François Hollande a coïncidé avec les révélations du
journal libanais «Al Akhbar» sur l’identité du véritable meurtrier de
Yacov Barsimentov, l’attaché militaire israélien à l’ambassade
israélienne de Paris, en 1982, à l’origine de l’inculpation de Georges
Ibrahim Abdallah, le militant chrétien libanais pro-palestinien.
Cette révélation, 34 ans après
l’assassinat du faux diplomate israélien, en pleine campagne électorale
française, place en porte à faux le sauveur du Parti Socialiste en
pleine déroute. Et le renvoie à ses propres forfaitures, remettant en
question le bien fondé de l’incarcération du militant communiste
libanais.
Pour le locuteur arabophone, le récit de cette affaire sur ce lien
Native du district d’Akkar, dans le nord
du Liban, mais habitant le quartier d’Achrafiyeh, le secteur de la
bourgeoisie chrétienne de Beyrouth, l’étudiante en droit de l’Université
Libanaise sera gagnée par l’euphorie révolutionnaire impulsée par la
dynamique des guerres de libération nationale des décennies 1960-1970,
-des Vietnamiens et Algériens, des guérilleros latino américains et des
fedayins palestiniens-, au point de s’engager dans les «Fractions Armées
Révolutionnaires Libanaises» (FARL), l’organisation de rattachement de
Georges Ibrahim Abdallah, célèbre pour ses attentats de Paris en 1986,
au plus fort de la co belligérance de la France aux côtés de l’Irak dans
sa guerre contre l’Iran.
En prévision de l’invasion israélienne
de Beyrouth, en juin 1982, et à la faveur des troubles sociaux en
Pologne sous l’égide du syndicat Solidarnosc, Israël sous l’autorité du
premier ministre ultra droitier Menahim Begin, un ancien des services
israéliens, se livre, coup sur coup, à l’annexion du Golan syrien, à
l’annexion définitive de Jérusalem comme capitale éternelle d’Israël,
multipliant les raids contre les positions palestiniennes.
L’invasion devait déboucher sur
l’intronisation du chef milicien phalangiste pro-israélien Bachir
Gemayel à la présidence libanaise et conduire à un traité de paix entre
le Liban et Israël. Le projet capotera sous les coups de butoir de la
Résistance libanaise.
Dans la foulée, la militante aux solides
convictions révolutionnaires décide alors de porter le combat sur le
terrain de ses ennemis. De pourchasser les Israéliens et leurs alliés
Américains sur leur lieu de déploiement et non de subir leurs assauts
répétés sur le sol national. De modifier les règles d’engagement du
combat.
Coiffée d’un bonnet blanc, muni d’un
pistolet tchèque de 7,6 mm, Rima procède, le 3 avril 1982, à la
liquidation de Yacov Barsimentov, officiellement attaché militaire
israélien à Paris, en fait agent du Mossad, honoré en Israël au «Israël
intelligence héritage and commémoration», le monument dédié à la mémoire
des agents de la centrale israélienne du renseignement, mort en service
commandé.
C’est ce même pistolet d’ailleurs qui
avait déjà servi pour assassiner le 18 janvier 1982, du
Lieutenant-colonel Charles Ray, officiellement attaché militaire à
Paris. En fait, un agent de la DIA (service des renseignements
américains) et vétéran du Vietnam, ancien membre de l’équipe de
l’opération «Air Lift», les bombardements aériens massifs du Vietnam du
Nord. Pas de civils innocents, ni de blanches colombes, mais des hommes
de l’ombre aux mains tachés de sang.
Pour un pays régulièrement envahi par
Israël, en 1978, dans le cadre de l’opération Litani, en 1982, opération
paix en Galilée, quasi quotidiennement bombardé au sud Liban, le
comportement de la militante communiste relevait de l’acte de guerre, un
acte de légitime défense, soutenait-elle, non d’un crime crapuleux de
droit commun.
Jacqueline Esber, alias «Camarade Rima»,
est décédée mi novembre 2016, au Liban, à 57 ans, au terme d’une vie
clandestine consacrée à la lutte souterraine, pourchassée par les
services américains, israéliens, occidentaux et leurs nombreux agents
libanais sur place.
La révélation de l’identité du véritable
liquidateur de l’agent israélien Barsimentov, un véritable coup de pied
dans la fourmilière, pourrait ébranler l’édifice judiciaire sur lequel
se fondait l’incarcération de Georges Ibrahim Abdallah. En la frappant
de caducité, révéler au grand jour les manigances
politico-administrativo-judiciaires pour faire du captif libanais un
«emmuré vivant», dans la digne tradition des lettres de cachot de la
Monarchie; Et poser d’une manière sous jacente la responsabilité de
Manuel Valls dans ce qui pourrait être sinon une forfaiture à tout le
moins un déni de droit
Pour aller plus loin :
Le témoignage de Yves Bonnet, à l’époque directeur de la DST :
et celui de Jacques Marie Bourget, ancien correspondant de guerre au Liban :
Un homme d’ordre, un homme aux ordres
Mais de cela, Manuel Valls n’en a cure, à
tout le moins tant qu’il ne se rêvait pas d’un destin présidentiel. Cet
homme d’ordre est un homme aux ordres. L’accusation n’est pas gratuite.
Elle se fonde sur un document authentique.
Laurent Fabius (Affaires étrangères) et
Manuel Valls (Intérieur) ont, en fait, obéi aux injonctions d’Hillary
Clinton, à l’époque secrétaire d’état, en empêchant la libération de
Georges Ibrahim Abdallah, qui leur recommandait instamment de tout faire
pour entraver la mise en oeuvre de la décision de la Justice ordonnant
la remise en Liberté du militant pro-palestinien.
Un document l’atteste et prouve par ricochet la servilité du candidat à la magistrature suprême française.
Et maintenant, entendez le Valls, qui aime Israël, plus que tout,
la smala y comprise.
Cliquez sur pour entendre son discours:
[Historische Reden] 1933-02-24 - Adolf Hitler - Im Muenchner Buergerbraeukeller nach der Machtuebernahme (1m 43s).mp3
Frédéric BERGER