CAHUZAC ET LE KOWEÏTGATE
L’Écho des Montagnes, dans le légitime but de vous informer, revient un peu sur l’affaire CAHUZAC.
Affaire qui prouve que presque tous les zélus-maçonniques sont pourries.
D’ailleurs ils ne peuvent être que pourries, car ils sont aux ordres d’Usraël.
Le journaliste vedette de la télé suisse RTS parle de 15
millions d’€ sur ce compte, et pas de 600.000 et évoque une rencontre
entre Moscovici et son alter ego suisse qui ont évoqué l’affaire Cahuzac
lors du forum de Davos:
Sans
compter que l’affaire Cahuzac risque de faire ressurgir une affaire
plus grande encore, celle du Kuwait-gate et les énormes
rétro-commissions dont ont largement bénéficié les politiques de tout
bord. Les documents sur le Kuweit-Gate à télécharger en PDF : ICI ou ICI.
En pleine affaire Woerth, en juillet 2010, reçu par
Jean-Pierre Elkabach, Jérôme Cahuzac estimait qu’une dissolution de
l’assemblée nationale était la solution la plus probable pour le
président de l’époque, Nicolas Sarkozy:
LE KOWEÏTGATE: rappel
CAHUZAC / UBS, c’est l’arbre qui cache la forêt !
N’oublions pas que Monsieur Pierre Moscovici (ami de DSK comme Cahuzac) a été le plus jeune secrétaire national du PS en 1991 et, en 1992 il devient trésorier du PS et le reste jusqu’en 1994. Nous comprenons mieux pourquoi il a essayé par Bercy de défendre Cahuzac
en demandant à l’UBS une réponse pour le moins étonnante. Depuis décembre 2012, Pierre Moscovici « gère » donc en direct le dossier Cahuzac avec les services fiscaux (JDD du 9.02.2013). Il serait intéressant de prendre connaissance de la réponse de l’UBS aux autorités
fédérales suisses transmises aux services fiscaux français !
L’UBS ne répond pas ,parce que si l’UBS répond, elle devra répondre pour tous les comptes des politiques corrompus qui ont été ouverts en 1991 comme celui de Monsieur Jérôme Cahuzac. Chacun ayant bénéficié de rétro commission du fabuleux contrat sur l’extinction des puits de pétrole en feu au Koweït (plus de 22 milliards US$ !)
Monsieur Jérôme Cahuzac vient de prendre comme nouvel avocat, Maître Jean VEIL !
Également avocat de D$K, Maître Jean VEIL a fait annuler le reportage sur l’extinction des puits de pétrole en feu au Koweït en 1991 qui devait être diffusé le 12 Mai 2000 dans l’émission Sans Aucun Doute présentée par Julien Courbet qui a notamment déclaré « Cette
affaire pourrait remonter très très très haut… ». Ce reportage est publié sur le site :
(http://nemesistv.info/video/MMO7W747W4W5/dsk-kuwait-gate#)
Bernard Nicolas, journaliste d’investigation, interrogé par Sophie Coignard (Le Rapport OMERTA 2 -page 261) – Vous avez déjà été victime de censure dans l’exercice de votre métier ?
« Plusieurs fois. Dès lors qu’il était question de personnage politique de premier plan, les ennuis commençaient à TF1……Une fois, j’avais fait un reportage sur une histoire politico-financière compliquée qui devait passer dans l’émission de Julien Courbet Tout est possible. Dans la journée, une autopublicité annonce le thème de mon enquête. La direction de TF1 s’inquiète : cette affaire peut-elle être gênante pour Dominique Strauss-Khan ?…..J’étais interloqué : rien n’indiquait dans mon enquête que DSK fût mêlé en quoi que ce soit à cette affaire. Soit on se trompait en haut lieu, soit on en savait plus long que moi…..Les téléspectateurs qui ont vu la bande-annonce n’ont jamais vu la suite… »
Il est utile de préciser qu’initialement l’UBS était l’abréviation de l’Union des Banques Suisses, après sa fusion avec la Société des Banques Suisses (SBS) en 1998, l’UBS prend le nom de Union Bank of Switzerland (UBS). Cette fusion a permis de faire le ménage dans
beaucoup de comptes notamment par la création d’une société dont la raison sociale est UBS SA avec siège à Genève – 8 rue du Rhône a été enregistrée au Registre du Commerce de Genève en date du 23.06.1999 et radiée le 22 octobre 2002 sous le Numéro fédéral CH-660-1164999-1 Numéro de dossier 6513/199 dont un des administrateurs étaient Monsieur ROBERT Alain. Or, il est surprenant de constater que Monsieur Robert Alain travaille toujours à l’UBS à Zurich !
En d’autres termes, serait-ce à dire que UBS SA a pratiqué des opérations bancaires, probablement hors du bilan de la Maison mère, au travers d’établissements « Banques écran » qui n’auraient pas de licence bancaire ? La Commission Fédérale des Banques (CFB) devrait se saisir de ce dossier, mais pour l’instant semble plutôt vouloir étouffer l’affaire. Serait-ce sous la pression du Gouvernement Suisse ? La corruption, tout comme en France dans cette affaire, se tient-elle aux plus hautes instances du Gouvernement ?
Pour information, il est utile de préciser que le 4 février 1997, le Journal de Genève sous la plume de son rédacteur en Chef (courageux), Christian CAMPICHE, avait titré en 1ère page « OÙ SONT PASSES LES MILLIARDS DU KOWEÏT ? ». Cette édition qui avait ébranlé
la classe politique française, a été purement et simplement retirée de la distribution des points de vente en France !
Dans le cadre de ses investigations notamment avec le fils du Ministre du Pétrole du Koweït de l’époque, Daniel Levavasseur (ancien agent de la DST) avait retracé la piste de l’argent en² démontrant que c’était la BNP Los Angeles (USA) via la BNP Luxembourg, qui a participé
en 1991 aux transferts des 23.005.341.300 US$ avant leur éclatement en utilisant de nombreuses sociétés off-shore suivantes :
IBAC SERVICE PTE LTD (Singapour) TEXRICE NV (Curacao) INCOME
MANAGEMENT REALITY INVESTORS GROUP, INCOME PROSPECTIES, CITY
INVESTMENT dans différentes banques suisses, américaines et canadiennes.
La société SB HOLDING est une société anonyme de droit Suisse créée le 1er mai 1991 et dotée d’un important fond de placement en juin 1995, dont le siège social est au 56 rue du Stand, 1204 Genève. Des bureaux commerciaux et logements pour les cadres dirigeants sont
également installés au 6 rue Jean Gougeon, 75008 Paris. Ses Administrateurs sont Jacques TORRENT, Paul BEGUIN et Philippe AYME-JOUVE. Ses banques de référence sont la SBS (Société des Banques Suisses) et la SBA (Société des Banques Arabes). La société SB
Holding conseille et assiste la société ELF (…) Monsieur Philippe Ayme-Jouve adresse le 20 août 1999 un premier rapport d’activité sur les comptes de Monsieur Christian Basano :
- Je vous fais parvenir mes premières informations et mes commentaires, car malgré beaucoup de réticences de la part de mes informateurs, il se dégage une ligne qui semble être très positive, tant au niveau des informations obtenues que de leurs contenus financiers.
- Il va sans dire qu’il est très difficile de parvenir à avoir des renseignements clairs, nets et précis.
- D’autre part, il s’agit de renseignements ultra-confidentiels où les personnes nieraient toute implication dans le cas où leurs noms ou celui de leurs établissements seraient cités sans que des documents officiels soient présentés.
- Que divers organismes bancaires ont travaillé directement avec le nom de monsieur Basano pour la réception et le transfert des fonds ?
- Que des organismes financiers ou bancaires ont simplement servi de relais dans l’utilisation du nom de monsieur Basano pour l’ouverture de comptes mais que souvent ces comptes n’ont servi que pour une seule transaction, et qu’ils restent à ce jour, malgré tout
ouverts.
- La plupart de ces comptes sont organisés à plusieurs tiroirs, avec un compte principal qui réceptionne le virement, mais qui exécute immédiatement la répartition qui se fait automatiquement sur des comptes secondaires sous le même N° avec des lettres ou des
chiffres b,c,d, de ce fait la transaction semble être moins importante.
M° Gilbert Collard, avocat de Joseph Ferraye, qui était présent sur le plateau de Sans Aucun Doute, avait très justement déclaré :
« Ce serait la plus grosse escroquerie du siècle sur fond de politique et de guerre du Golfe ! la plus grande escroquerie du siècle, escroquerie incroyable, enjeu colossal; on ne joue plus avec des rigolos, on joue avec de vrais tueurs, des hommes prêts à tout sous
prétexte qu’un Etat a des intérêts qui sont reliés par d’autres États ».
Les Ripoux de la République peuvent commencer à se faire du souci…
Frédéric BERGER
divers documents/
Frédéric BERGER
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