LES JUIFS S'ENTRETUENT
L’Écho des Montagnes, dans le légitime but de vous informer, constate que les juifs continuent de s'entretuer, en faisant des millions de victimes innocentes.
Hitler, Staline, juifs et francs-maçons ont massacré des millions d'innocents.
Témoignage d'un lecteur assidu de l’Écho des Montagnes:
"JE N'AI RIEN A VOIR AVEC HITLER ET SES AMIS FRANCAIS: LA
MAGIGTRATURE-LES COMPLICITES DE TOUT L'APPAREIL D'ETAT-MITERRAND-ETC....
CEPENDANT IL FAUT GARDER LES PIEDS SUR TERRE.
EN 1938 IL FUT L'HOMME DE L'ANNE
EN 1939 PRIX NOBEL DE LA PAIX. ETC...
EN
2016 IL FAUT SE POSER LA QUESTION EN FAIT LES:OBAMA-HOLLANDE ETC... NE
SONT-ILS PAS PIRE???EFFECTIVEMENT AVEC DES METHODES NOUVELLES. HOLLANDE
A MIS A FEU ET A SANG L'AFRIQUE-LUI AUSSI EST L'HOMME DE L'ANNEE 2016-A FABIUS L'EMPOISONNEUR ILVEULENT DECERNER LE PRIX NOBEL A CET INDIVIDU.
A BIEN DES EGARDS LE PROFESSEUR MORISON A RAISON-LE PEN EGALEMENT. L'AVENIR NOUS DIRA QUI AVAIT RAISON!!!!
LES MONSTRES-FASCISTES-DEGENERES SONT NOS POLITIQUES ET LEURS B.H.L."
J.Ne pleurez pas sur le sort du juif-marocain Squarcini, brigadier chef de la poulice na-sion-ale française et agent du Mossad.
DOSSIER CHOC:
Mis en examen mercredi 28 septembre pour trafic d'influence, Bernard Squarcini, patron du renseignement intérieur sous Nicolas Sarkozy, travaille aujourd'hui pour une société sous contrôle israélien.
La "chute" d'un "grand flic" : tel est le résumé simpliste promulgué aujourd'hui par une majeure partie de la presse hexagonale au sujet de la mise en examen de Bernard Squarcini. Reconverti depuis 2012 dans le conseil privé, cet ancien haut-fonctionnaire, né au Maroc d'un père corse, est notamment accusé d'avoir acquis ou conservé des rapports secret-défense.
Depuis juin 2013, Squarcini -qui a fondé juste auparavant sa propre boîte de consulting ("Kyrnos")- est devenu l'un des dirigeants d'un puissant et mystérieux cabinet américain d'intelligence économique fondé en 1996 et dénommé "Arcanum". En septembre 2015, Squarcini a pris la tête de sa nouvelle antenne européenne -basée à Paris.
Affilié au fonds d'investissement RJI Capital, Arcanum est présidé par Ron Wahid, un ex-employé du Sénat américain qui a travaillé ensuite dans l'équipe de transition Bush-Cheney en 2000/2001.
Sa particularité : Wahid co-dirige la "Fondation pour la défense des démocraties", think-tank emblématique
de la mouvance néoconservatrice et dont l'engagement radical en faveur
d'Israël a été souligné l'an dernier par le site américain Slate.
En février 2014, le magazine Les Inrocks avait d'ailleurs incidemment rapporté -dans un portrait consacré à Squarcini- que cette société "basée à Londres" était "truffée d’anciens du Mossad". Et parmi ces derniers, il convient de désigner le premier d'entre eux : en février 2012, Arcanum avait embauché Meir Dagan, patron du Mossad de 2002 à 2010. Panamza avait déjà évoqué ce criminel de guerre décédé
en mars dernier : l'homme (à gauche de l'image, avec le Premier
ministre Ariel Sharon et son prédecesseur Ephraïm Halevy) était membre
du comité international de United Hatzalah, l'association israélienne
(dirigée par un néoconservateur américain) qui fut à l'origine de la
propagation de la photographie non-floutée du massacre du Bataclan.
Et ce n'est pas tout : en 2012, Wikileaks avait publié les cinq millions d'emails de Stratfor, influent cabinet texan de renseignement privé. Présenté comme "confidentiel",
l'un des documents internes -datant de février 2010- provenait
directement d'Arcanum et présentait en détail cette société. On y
découvre ainsi qu'Arcanum indique avoir été fondé par "des professionnels hautement estimés du renseignement issus des États-Unis, de Grande-Bretagne et d'Israël". Ron Wahid y est notamment présenté comme un expert antiterroriste du département américain de la Défense "depuis le 11 septembre 2001".
Quant au vice-président d'Arcanum, son profil est plus explicite : l'arabophone Eitan Arusy a fait "carrière" en tant qu'officier du "renseignement militaire israélien".
Pourquoi
les médias français passent-ils sous silence
l'activité problématique de Squarcini, fin connaisseur des secrets de la
Vème République, auprès d'une telle société sous contrôle
anglo-israélien?
Mystère et boule de suif (pardon de juif).
Depuis sa garde à vue (lundi et mardi) et sa mise en examen (annoncée mercredi), seul son rôle de "consultant auprès de LVMH" est évoqué par la presse française. Faites vous-même une recherche par mot-clé : "Arcanum" n'est jamais mentionné ces derniers jours.
Un
dernier détail troublant doit être souligné : en novembre 2012,
l'auteur de ces lignes avait révélé que Squarcini avait étrangement
bénéficié de la protection du Crif. Son président Richard Prasquier
(aujourd'hui dirigeant d'un fonds israélien) était intervenu auprès du père d'une victime de la sombre affaire Merah pour le dissuader de poursuivre en justice l'ex-patron de la DCRI, organisme policier qui avait entretenu des liens étroits et obscurs avec le jeune Toulousain.
Cette affaire révélait une proximité inattendue entre le "grand flic" corse chargé de défendre les intérêts de la France et le lobbyiste d'une organisation politico-communautaire totalement au service du régime colonial de Tel Aviv.
Aujourd'hui, un nouvel indice mérite d'être exposé : le 15 juin 2015,
Squarcini avait formellement rejoint l'équipe de campagne de Christian
Estrosi, alors deputé-maire de Nice et candidat aux élections
régionales.
Son rôle? Le conseiller en matière de "sécurité".
Christian Estrosi m’a demandé de lui apporter un brin d’expertise sur des sujets pour lesquels j’ai quelque expérience. Sur un territoire que je connais bien, pour y avoir exercé des fonctions de 2004 à 2007.
Le Monde rappella pourtant que le Conseil régional n'a pas de compétence en matière de sécurité.
Avec la présence incongrue de Squarcini dans l'entourage d'Estrosi, c'est l'ombre d'Israël sur l'attentat de Nice qui s'étend.
Frédéric BERGER von Goëtz von Berlischingen
Vive la Savoie
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