|
|
|
Rien n'est sacré, tout peut se dire. En hommage au Lieutenant X, surnommé "LAVAPEUR", chef des résistants à LA PLAGNE en SAVOIE.Ce journal, LANCEUR D'ALERTE, est enregistré au tribunal de grande instance d'Albertville.ISBN:22191 ISSN:12996769 Dépôt légal: à parution MI CHAMICHA, BEALIM ADONAÏ voir déclaration universelle des droits de l'Homme de 1948 et Article 19 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques de l'ONU,
LES POUBELLES FRANCAISES DE FRED
mercredi 31 janvier 2018
SAVOIE, LUNE, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER, FUTURA
dimanche 28 janvier 2018
SAVOIE, NEIGE, VIN, LIMITATION DE VITESSE, SANTÉ, LIBERTÉ, ONU, VOITURE, SKI, ALPES, ECHO DES MONTAGNES, FRÉDÉRIC BERGER
BOIRE OU SKIER?
En Savoie Souveraine, dès le rétablissement de nos droits par l'ONU, au plus tard dans 2 années, il n'existera pas de limita-sion de vitesse, ni d’alcootest, ni aucune mesures liberticides à la française, qui ne servent que de prétexte à remplir les poches des zélus.
Donc analysons ce dilemme: boire ou skier?
Je vous rappelle que les panneaux de circula-sion routière à la française affichent une limita-sion de vitesse à 80km/h.
Bon en Savoie ,nous les seigneurs citoyens de la Savoie avons compris, donc nous avons repris cette obliga-sion de la manière suivante, avec bien entendu que des produits de notre pays chéri, la Savoie.
Cliquez avec un tire-bouchon sur les bouteilles, mais tout doux:
Que boire alors?
Santé
Peut-on boire de la neige ?
Par Delphine Bossy, Futura
Consommer la neige,
c'est tentant.
Au ski, on se dépense, on transpire et on se déshydrate.
Entouré de toute cette eau solide, il est parfois difficile de résister.
Alors, peut-on boire de la neige sans risque ?
Au ski, il arrive que la gourde soit vide. Et en cas de soif extrême, pourquoi ne pas consommer de la neige ? Après tout, il s'agit d'eau en phase solide.
Néanmoins, son changement de phase a modifié quelques-unes de ses
propriétés chimiques : la consommer peut avoir des conséquences néfastes
sur l'organisme humain.
Bien sûr, en déguster quelques flocons une fois n'a jamais été un
problème de santé publique, mais il faut éviter de le faire
régulièrement.
Lorsque l'eau
change de phase et devient de la neige, deux paramètres principaux sont
modifiés : la température du fluide et la quantité de minéraux. En
effet, croquer de la neige, dont la température est de 0 °C, peut
provoquer un choc thermique. L'organisme perd de la chaleur (plutôt à éviter en montagne) et des diarrhées aiguës peuvent survenir. Il vaut donc mieux faire fondre la neige.
La neige n’a pas de goût
Par
ailleurs, la neige est déminéralisée. Son filtrage est naturel, et elle
est moins désaltérante sans minéraux. Ce n'est pas néfaste en soi, mais
la boire peut conduire l'être humain à vouloir en consommer plus ou
d'autres sources encore moins potables. La question de l'effet des
minéraux dans l'eau sur la santé humaine fait l'objet de nombreuses
études. D'après l'OMS, la consommation d'eau déminéralisée modifie l'homéostasie de l'organisme. Celle-ci contrôle l'équilibre d'un milieu, qui se traduit dans notre corps par le maintien de la température corporelle, la constance du débit sanguin, etc. Des études ont montré que chez les animaux, l'eau déminéralisée entraîne une diurèse ou peut diluer les électrolytes dans l'intestin et endommager la fonction d'organes vitaux.
En montagne,
il est arrivé que des escaladeurs aient d'importants problèmes de santé
en ayant consommé uniquement de la neige fondue durant leur expédition.
En outre, œdèmes au cerveau ou acidoses
métaboliques ont été observés sur des enfants dont toutes les boissons
n'étaient préparées qu'avec de l'eau déminéralisée. Le manque de
minéraux peut aussi évidemment être à terme très dangereux.
L'eau douce apporte une importante quantité de calcium et de magnésium,
essentiels pour notre corps. Certes, l'eau n'est pas le seul vecteur
d'apport de ces minéraux, mais la majorité des régimes alimentaires ne
couvrent pas une éventuelle carence.
Boire
de la neige, une fois fondue, de temps en temps, ne devrait pas avoir
d'effets notables sur l'organisme. Néanmoins, il faut éviter la
consommation régulière et, sans autre choix, saler un peu l'eau ou la
mélanger à une soupe par exemple, permettra de combler provisoirement la
carence.
à la vôtre :
SUISSE, SAVOIE, CENSURE INTERNET, ONU, CORRUPTION, CONTÉ DE VAUX, STÉPHANE PARRONE, OCHR, DONALD TRUMP, GERHARD ULRICH, FRANC-MAÇON, ECHO DES MONTAGNES, FRÉDÉRIC BERGER
Plainte contre la Suisse pour censure illicite de l’Internet.
L'État Souverain de Savoie a toujours pris la défense des ses Amis Suisses et réciproquement.
Donc voici une nouvelle preuve de notre fidélité avec nos amis de la Confédération Helvétique.
Pas une pomme de discorde entre Gerhard Ulrich et la Savoie, même pas celle de Guillaume Tel.
Preuve:
Écoutons Gerhard, cela vous servira aussi:
"Gerhard
ULRICH Morges,
le 27.01.18
Avenue de Lonay 17
CH-1110 Morges
|
|
Alain
BERSET
Président de la Confédération
La Forge – Route du Centre 35
CH-1782 Belfaux
|
cc:
A qui de droit
Plainte
contre la Suisse pour censure illicite de l’Internet
Monsieur le Président
de la Confédération,
Il est sûr et certain
que vous n’avez pas informé le Président des États Unis, Donald TRUMP, que la
Suisse pratique la censure. Quelqu’un doit alors informer le monde. J’ai utilisé
toutes les voies légales nationales pour tenter, en vain, de lever cette
censure soutenue en dernière instance par le «juge» fédéral Christian DENYS. Il
n’est de loin pas le seul magistrat fédéral qui dysfonctionne régulièrement.
A la Cour Européenne
des Droits de l’Homme la situation est identique. Veuillez trouver la plainte
contre la Suisse pour censure auprès de l’ONU ci-joint. Voir annexe.
Dans ce système
d’injustices la désobéissance devient un devoir civique. A bon entendeur
Gerhard
ULRICH
PS : Les députés
vaudois viennent d’élire Stéphane PARRONE juge cantonal, pour le récompenser
pour sa corruption:
Cliquez surtout sur ce formidable document, fignoléavec un couteau suisse, aux mains de Gerhard Ulrich, remarquable; à protéger, à sauvegarder, à diffuser, ski vous plaît.
180127PlainteOCHR-f.pdf
Frédéric Berger von Götz von Berlischingen
samedi 27 janvier 2018
SAVOIE, HUMOUR, SCIENCE, DESSINATEUR, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER
HUMOUR
L'actualité scientifique par les dessinateurs : c'est drôle !
Découvertes surprenantes, études insolites : la science
est une immense source d'inspiration pour les dessinateurs. Tourisme
spatial, progrès de la robotique et de la médecine... Découvrez un drôle
de regard sur la science !
jeudi 25 janvier 2018
CHAT, GAUCHE, DROITE, FUTURA SCIENCE, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER
Chez les chats, on est gaucher ou droitier?
Par quel pied entamez-vous la montée d'un escalier ? Observez et vous le saurez. Chez les chats aussi, on entre dans sa litière du bon pied. Mais, sur ce point, monsieur et madame ont des opinions différentes. Régalez-vous avec ce sujet scientifique original.
mercredi 24 janvier 2018
SAVOIE, FRANCE, MIGRANT, IMMIGRES, MOSQUEE, CORAN, CATHEDRALE, TEMPLIER, MUSULMAN, CHRETIEN, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER
SAVOIE, TERRE HOSPITALIÈRE
Cliquez sur les preux Chevaliers:
La Savoie a toujours été une terre hospitalière, avant l'Annexion militaire de ce pays souverain par la France.
Mais la France n'est pas une terre hospitalière.
Loin s'en faut.
A tous les coins de rue des robots en armes prêts à tuer, à emprisonner, à bastonner et à gazer.
Il y a en France beaucoup de musulmans qui se disent hospitaliers; ils sont environ 27 millions de musulmans.
Ils disent aussi que leur religion est pacifique et fraternelle, donc je propose ceci:
Cliquez sur la photographie, merci:
Explication:Valable pour tous les pays européens.
Dans
les mosquées, il y a le chauffage central, des toilettes, des tapis de
luxe, des poubelles et surtout des musulmans pour recevoir leurs frères
de Syrie,
d’Irak, d’Afghanistan etc.
Tous ces hommes qui ont "oublié" de prendre les armes pour défendre leurs biens, leurs familles, leur pays !
Combien de pays musulmans ont déjà recueilli dans le passé des mécréants ou des occidentaux ou des non-musulmans ???
Aucun!
Mesdames
et Messieurs les pouriticiens, j’aimerais savoir ?
Sachant
qu'il y a environ 2400 mosquées en France, et que si chacune prenait en
charge une vingtaine de migrants,on arrive à un total de 48000
personnes, alors où est le problème?
Comme cela chacun retrouve ses frères musulmans, ils prient ensemble, ils mangent Hallal et n'emmerdent pas les autres!
Élémentaire mon cher MACARON$$$.
La Savoie, il y a mille ans a montré l'exemple, en transformant en Tarentaise à Moutiers, une mosquée en Cathédrale et non l'inverse, comme aujourd'hui en France.
|
mardi 23 janvier 2018
SUZANNE CITRON, LE MONDE, LE MYTHE NATIONAL, ISRAËL, PALESTINE, ANTISÉMITISME, ECHO DES MONTAGNES, FRÉDÉRIC BERGER
L’historienne Suzanne Citron est décédée.
L’enseignante et auteure du « Mythe national », qui déconstruit les strates historiographiques et idéologiques sur lesquelles s’est fabriquée la légende scolaire de la IIIe République, s’est éteinte à Paris, à l’âge de 95 ans.
Suzanne Citron aura gardé jusqu’à sa mort, le 22 janvier, à Paris, l’esprit critique chevillé au corps. Dans une tribune publiée sur LeMonde.fr, le 18 juillet 2017, l’historienne de 95 ans reprochait au président de la République, Emmanuel Macron, d’entretenir une confusion sur l’histoire de France en invitant le premier ministre israélien pour la commémoration de la rafle du Vél’d’Hiv. Le propos était bref – trois paragraphes –, mais sans concession.
« Je dénie formellement toute justification à la présence d’un homme cautionnant les exactions et les méfaits de la colonisation israélienne en Palestine et je récuse la sempiternelle et démagogique confusion entre antisémitisme et critique de l’État d’Israël », écrivait-elle.
Comme souvent lorsqu’elle prenait la plume, l’historienne rappelait son parcours, celui de Suzanne Grumbach, née le 15 juillet 1922, à Ars-sur-Moselle (Moselle), issue d’une famille bourgeoise juive, dont l’adolescence heureuse au lycée Molière, à Paris, fut brisée par la débâcle de juin 1940. Un « premier choc avec la grande histoire » qu’elle avait raconté dans Mes lignes de démarcation (Syllepse, 2003).
Elevée dans le culte de la France dreyfusarde et dans la mémoire de la Grande Guerre, elle éprouve la honte de la capitulation. Après que son père est fait prisonnier en Allemagne et que deux cousins sont raflés, elle passe la ligne de démarcation clandestinement à bicyclette, le 15 août 1941. A Lyon, elle poursuit ses études d’histoire tout en participant à des activités de résistance. Arrêtée par la Gestapo à Lyon, elle est internée à Drancy le 4 juillet 1944, avant d’être libérée le 17 août.
Prise de distance critique avec l’histoire de France
Agrégée d’histoire en 1947, elle exerce pendant plus de vingt ans comme professeur de lycée à Enghien-les-Bains (Val-d’Oise).
La guerre d’Algérie sera pour elle un « second choc intérieur ». Révoltée par le vote des pouvoirs spéciaux en Algérie par le gouvernement du socialiste Guy Mollet en 1956, l’historienne se penche sur le colonialisme français, les enfumades pendant la conquête de l’Algérie, les répressions des années 1930 en Indochine et les massacres à Madagascar en 1947. Les révélations de ces occultations dans le récit national républicain traditionnel seront essentielles dans sa prise de distance critique avec l’histoire de France.
L’historienne mariée au musicologue, Lucien Citron, s’engage dans les mouvements pédagogiques des années 1960-1970 pour la rénovation des contenus de l’enseignement. Au lendemain de mai 1968, elle publie dans Le Monde un long point de vue intitulé Ce que nous attendons du ministère de l’éducation dans lequel elle esquisse les grandes lignes d’une réorganisation d’ensemble de la scolarité. Ses réflexions autour d’un abandon des programmes cloisonnés et encyclopédiques seront prolongées dans L’Ecole bloquée (Bordas, 1971).
Historienne de l’enseignement de l’histoire, sa thèse de doctorat, qu’elle soutient à l’université de Paris-X en 1974, s’intitule Aux origines de la Société des professeurs d’histoire : la réforme de 1902 et le développement du corporatisme dans l’enseignement secondaire (1902-1914). Devenue professeure à l’université de Villetaneuse (Paris-XIII), elle continue de signer régulièrement des tribunes dans Le Monde, appelant notamment, en 1982, à une « croisade » pour une école nouvelle qui se soucie des droits et des aspirations de l’enfant.
Travail de déconstruction
En 1985, l’historienne démissionne du Parti socialiste où elle militait depuis dix ans. Elle reproche au ministre de l’éducation, le socialiste Jean-Pierre Chevènement, d’avoir rétabli une histoire nationale plaçant la France au centre du monde. Retraitée, Suzanne Citron se consacre alors à la question qui la préoccupe : dans une France en mutation économique, sociologique, culturelle, quelle histoire enseigner ? Dans Enseigner l’histoire aujourd’hui. La mémoire perdue et retrouvée (Les Editions ouvrières, 1984), elle égratigne quelques stéréotypes de l’histoire nationale, critiquant notamment le fait qu’on enseigne encore la Grande Guerre comme une « victoire du droit ».
Un travail de déconstruction qu’elle poursuit dans Le Mythe national. L’histoire de France revisitée (Les Editions ouvrières, 1987). L’ouvrage démonte méthodiquement les strates historiographiques et idéologiques sur lesquelles s’est fabriquée la légende scolaire de la IIIe République, la projection dans le passé d’une France sans commencement, la substitution d’ancêtres gaulois aux ancêtres troyens des Francs, la construction d’une logique d’Etat remontant à Clovis et symbolisée par une succession de personnages glorieux.
Plusieurs fois réédité, l’ouvrage devient une référence. Dans sa dernière version (Les éditions de l’Atelier, 2016), l’historienne notait des avancées majeures dans les programmes d’histoire au cours des trente dernières années : l’émergence d’une histoire critique de Vichy, de la guerre d’Algérie, de la colonisation et l’irruption dans l’espace public de l’histoire de l’immigration. Elle n’en dénonçait pas moins la permanence en filigrane de la matrice du Petit Lavisse, manuel à l’usage des écoliers sous la IIIe République. « Ce récit ne permet pas aux enfants français nés en France ou venus des quatre coins du monde de se situer dans l’histoire humaine avant de découvrir leur appartenance à la France comme être historique », écrivait-elle encore dans la préface de la seconde édition de La Fabrique scolaire de l’histoire (Agone, 2017), ouvrage dirigé par le collectif Aggiornamento histoire-géographie, fondé au domicile de l’historienne en 2011.
Ses membres se placent d’ores et déjà comme les héritiers des combats de Suzanne Citron. Lors de L’Emission politique, sur France 2, en mars 2017, son amie, l’historienne Laurence De Cock, principale animatrice d’Aggiornamento, avait offert un exemplaire du Mythe national à François Fillon, candidat LR à la présidence de la république, qui proposait de privilégierl’enseignement du récit national à l’école.
Les téléspectateurs avaient voulu en savoir plus. Résultat : une semaine plus tard, l’ouvrage était en rupture de stock…
(Antoine Flandrin, Le Monde).
vendredi 19 janvier 2018
SAVOIE, FRANCE, PIETER KERSTENS, MARQUISE, THOMAS PESQUET, ESPACE, TERRE, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER
LA FRANCE à FRIC
L’Écho des Montagnes, dans le légitime but de vous informer, vous livre gratuitement, 3 sujets passionnants concernant la FRANCE ACTUELLE ou "la France à fric".
1er sujet:
|
Pieter KERSTENS. Cliquez ICI = http://francepresseinfos. |
Lettre à la Marquise: un délice de langue française, courtoisement écrite.
Cliquez sur le lien suivant:
Lettre_a_la_marquise Log.pdf
3ème sujet
La France vue d'en-haut: superbe
Thomas Pesquet : la France vue depuis l'espace
Au cours de ses 196
jours passés dans la Station spatiale, l'astronaute français Thomas
Pesquet a pris autant de photographies de la Terre qu'il a pu.
Il a évidemment beaucoup photographié la France.
À 400 km d'altitude, elle est encore plus belle ! Admirez donc votre
région, votre ville ou même votre quartier !
Frédéric BERGER jeudi 18 janvier 2018
SAVOIE DIEU, , SAVOIE INDÉPENDANTE, FRÉDÉRIC BERGER VON GÖTZ VON BERLISCHINGEN, DÉMOCRATIE,
LA DÉMON-CRATIE FRANÇAISE
OU
L'imposture de la démocratie : vers un nouveau régime politique
Par Frédéric BERGER von Götz von Berlischingen.
L’État de Savoie est contre le régime dit de "démocratie", qui en réalité est une dictature des jérusalistes maçonniques.
C'est aussi une des raisons pour laquelle la Savoie se bat pour retrouver sa Souveraineté
dans un régime de droit divin.
"Nulla potesta nisi a Deo.
Nul pouvoir qui ne vienne de Dieu"
Témoignage de ce combat:
Cliquez sur:
https://youtu.be/kinPrcFrxc4
ET
mercredi 17 janvier 2018
SAVOIE, CODE DE NÜREMBERG, NOURRISSON, CHRISTIAN COTTEN, CFR, NAZI, ADOLF HITLER, EM MARCHE, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER
VACCINS ET BÉBÉS
L’État de SAVOIE protège ses Anciens qui ont un ministère dénommé "Le Conseil des Sages".
Ce conseil a pour mission de protéger nos enfants savoisiens, avenir de notre État.
Le conseil demande la publication de l'article de Christian Cotten , dont voici la teneur.
Bien sur, dans le légitime but de vous informer.
Opposer le Code de Nuremberg à l’obligation vaccinale
Le CFR américain (Council of Foreign Relations) a
exprimé son inquiétude à la lecture d’une décision de la Cour
de Justice européenne (équivalent de la Cour suprême aux
Etats-Unis). Cette dernière autorise la possibilité de poursuivre
des fabricants de vaccins sans apporter de preuves scientifiques dès
lors qu’il existe un lien de causalité entre, par exemple, un
vaccin de Sanofi Pasteur contre l’hépatite B et la sclérose en
plaques. L’affaire visait un cas français : un homme en
parfaite santé avait déclaré une sclérose après une vaccination,
il est décédé en 2011.
Pour la Cour de Justice Européenne, les citoyens européens doivent
être en mesure de poursuivre les fabricants à l’exclusion de
toute preuve rapportée, en raison de la disproportion de moyens
entre les consommateurs individuels et les grandes entreprises. Les
tribunaux européens ont le devoir de protéger la santé et la
sécurité des consommateurs. Il faut assurer une répartition
équitable entre la personne lésée et les risques inhérents à la
production technologique moderne des producteurs de vaccins. Cette
décision est partagée par la Suède qui vient de décréter
inconstitutionnelle l’obligation vaccinale.
Dans la foulée, la présidence américaine a ouvertement posé la
question de l’équilibre entre la sécurité du citoyen et
l’utilité des vaccins.
La décision prise par la Cour de Justice européenne va t-elle
contrecarrer la volonté de la ministre de la Santé d’Emmanuel
Macron visant à imposer une vaccination obligatoire pour onze
vaccins ? On peut en douter car il existe plusieurs lectures du
sujet et les mondialistes veulent vacciner de force la nouvelle
génération de 0 à 10 ans.
Le code de Nuremberg
« La vaccination obligatoire, qui revient à une
expérimentation humaine sans consentement, est contraire au Code de
Nuremberg », expliquait Mary Holland, docteur en droit et
professeur d’Université à la tribune des Nations Unies, le 4 mai
2016.
En effet, à la suite des atrocités médicales nazies, le monde a
adopté le Code de Nuremberg qui affirme que « le consentement
volontaire du sujet humain est absolument essentiel ». Le pacte
international relatif aux droits civils et politiques souligne
également l’interdiction de l’expérimentation dans son texte de
1966. Il stipule : « Nul ne peut être soumis sans son
libre consentement à une expérience médicale ou scientifique. »
Opposer le Code de Nuremberg et le pacte des droits civils et
politiques à la vaccination de force est parfaitement approprié.
Nous sommes bien confrontés à une expérimentation humaine de génie
génétique d’ampleur mondiale qui comprend deux volets :
1°) le volet chimico-biologique puisque les vaccins contiennent du
Phénol, Thimerosal, Mercure, Aluminium, Ethylène Glycol, Formol,
Benzetonium, Squalène, SV40, cellules cancérisées, Benzonase, ADN
et ARN viraux, Edulcorants, OGM, albumine humaine, antibiotiques sous
forme de trace de néomycine, polymyxine B, kanamycine, gentamycine,
streptomycine, trométamol. Ces éléments combinés sont mutagènes
et à certaines doses mortels.
2°) le volet nanométrique puisque les vaccins contiennent des
nano-composants de tungstène, titane, zirconium, hafnium, strontium,
aluminium, nickel, fer, antimoine, chrome, or, zinc, platine, argent,
bismuth, cérium, cuivre, plomb, étain, baryum, vanadium, magnésium,
souffre, silicium, calcium, sodium, manganèse…
Les preuves de la présence de ces nanocomposants vaccinaux ont été
apportées par les docteurs Antonietta M Gatti et Stefano Montanari
pour le Conseil National de Recherche d’Italie. Les résultats de
leurs nano-diagnostics ont été publiés dans l’International
Journal of Vaccines le 23 Janvier 2017. ).
Les résultats de ce nano-diagnostic sur 44 vaccins dont les onze
obligatoires sont sur les bureaux de tous les fabricants de vaccins.
Ces derniers, n’ayant aucune réponse scientifique à apporter,
s’empressent de mettre leurs sbires aux postes des ministères de
santé publique. Ils entendent tuer dans l’œuf cette information
et prendre des mesures très coercitives pour imposer leurs vaccins.
Protections juridiques
Il existe d’autres protections juridiques par exemple :
l’article 3 de la Déclaration des droits de l’homme, le nouveau
Code civil qui reconnaît le principe du respect à l’intégrité
du corps humain, l’article 36 du code de déontologie médicale,
les différents arrêts de la Cour sur l’information transparente
due au patient. Citons aussi la loi Kouchner disant qu’aucun acte
médical ne peut-être pratiqué sans consentement libre et éclairé
du patient. Enfin, l’article 1111 de la santé publique dit que
tout citoyen a le droit à la liberté d’accepter ou de refuser un
acte médical, et la vaccination est un acte médical.
Cependant, la preuve est faite qu’il s’agit d’une
expérimentation vaccinale nano-chimico-biologique sans le
consentement des populations, cela relève bien du Code de Nuremberg
et du pacte international relatif aux droits civils et politiques. Il
s’agit donc bien de traduire tous les acteurs de cette folie
vaccinale expérimentale devant une Cour de Justice Internationale
qu’ils aient réussi ou non à imposer leurs soupes vaccinales…
L’Italie sous dictature vaccinale
En Italie, un décret a été publié le 7 juin rendant douze vaccins
obligatoires. Pour avoir accès aux crèches et à l’école
maternelle, les parents devront donc faire obligatoirement vacciner
leurs enfants. Faute de quoi, ils devront se replier sur les nounous.
Cette partie du dispositif concerne les enfants de moins de six ans.
En revanche, ils pourront inscrire leurs enfants dans le primaire,
mais devront payer une amende salée (entre 500 et 7500 euros) s’ils
ont oublié de faire vacciner leur progéniture. Par ailleurs, les
parents réfractaires seront également signalés au tribunal des
mineurs et pourront être temporairement déchus de leur autorité
parentale. « L’objectif de ce décret est d’éviter que les
difficultés se transforment en urgences », estime la ministre
de la Santé italienne. Urgences, cela veut dire épidémies et
augmentation du taux de mortalité enfantine…. Et, pour débusquer
les parents qui feraient de la voltige anti-vaccins ainsi que les
médecins complaisants prêts à signer de faux certificats, le
ministère annonce des contrôles perlés et ponctuels dans les
établissements italiens.
Ministères et Commissions dans les
griffes des labos
Quelle est l’une des fonctions du directeur de cabinet de la
Ministre de la santé italienne De Lorenzin ? Il siège au
conseil d’administration du laboratoire Glaxo, qui a reçu
l’exclusivité pour la fourniture des vaccins obligatoires. Comme
par enchantement, c’est une italienne, Mme Testori-Coggi, qui siège
à la Direction Générale de la Santé de l’Union européenne.
Cette dernière avait osé dire, le 5 octobre 2010, qu’à
l’occasion des futures pandémies, la Commission européenne devait
décider, sur une base juridique forte et contraignante, et à
l’instar de ce qui se fait déjà pour les animaux, qui doit être
vacciné.
Testori-Coggi : « Savez-vous que pour
les animaux, pas pour les humains mais pour les animaux, c’est la
Commission qui décide des stratégies de vaccination, qui va acheter
le vaccin, ou quelle est la part qui doit être vaccinée, combien
d’animaux doivent être vaccinés. Pour les animaux, nous avons
cela, ce n’est pas contesté du tout. Il y a le caractère
contraignant lié à une base juridique forte. Et puis, nous avons
des années d’expérience. Alors je pense qu’en matière de santé
publique, nous en sommes aux premiers balbutiements pour commencer et
puis, à un moment, nous y arriverons également pour les êtres
humains. ».
SAVOIE, NOTRE DAME DES LANDES, ZADISTE, LIZZIE BROCHERE, LEO LEIBOVICI, SAVOIE INDEPENDANTE, FREDERIC BERGER
NOTRE- DAME- DES- LANDES
Y aura-t-il un aéroport à Notre-Dame-des-Landes ?
Non, le gouverne-ment français a tranché: pas d'aéroport, mais de la matraque.
Pourquoi?
Après des décennies de débat, l’État français a enfin trancher.
En jeu : un magnifique bout de nature encore épargné par le bétonnage mais aussi un état d’esprit, une façon de vivre que des milliers de militants sont prêts à protéger coûte que coûte.
On appelle ça une zone à défendre et, loin de la description apocalyptique que certains en font, l’endroit est exemplaire en bien des domaines, comme en atteste cette magnifique vidéo.
Sur place, les Zadistes de Notre-Dame-des-Landes expérimentent de nouveaux modes de vie, de nouvelles façons de travailler la terre, de tisser des liens, de produire et de partager l’espace.
Pour se donner une idée de l’endroit, il n’y a qu’à jeter un œil à ce splendide court-métrage réalisé par Léo Leibovici avec la complicité de l’actrice Lizzie Brochere.
C’est beau, c’est inspirant… et ça donne une furieuse envie de rejoindre le mouvement.
L’ÉTAT de SAVOIE est aux côtés des zadistes et des fermiers de Notre-Dame-Des-Landes et mettra tout en œuvre pour les soutenir.
Regardez:
(Si la vidéo ne s’affiche pas, cliquez ici.)
De quoi avons-nous le plus besoin ?
D’un énième aéroport pour voyager toujours plus vite ou d’un bout de nature préservant la biodiversité et l’art de vivre ensemble ?
La seule question qui se pose, c’est celle-ci.
mardi 16 janvier 2018
ALGERIE, ORAN, ALBERT CAMUS, PRIX NOBEL DE LITTERATURE, BÔNE, MONDOVI, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER
ALBERT CAMUS, SOUVENONS-NOUS…
Le 4 janvier 1960, dans un accident de voiture, décédait Albert Camus, Prix Nobel de littérature, né à Mondovi (à 18 kilomètres de Bône).
Il avait 46 ans.
Souvenons-nous !
Souvenons-nous de ce qu’il a été, ce qu’il a fait et de son œuvre magnifique aujourd’hui lue et reconnue dans le monde entier.
Imaginons ce qu’il aurait pu encore nous donner...
Il aimait profondément sa terre, y était indéfectiblement attaché et était fier de lui appartenir.
Cliquez sur: https://youtu.be/Z4mrxNbMgrc
ou
Frédéric BERGER
Inscription à :
Articles (Atom)