VACCINS ET BÉBÉS
L’État de SAVOIE protège ses Anciens qui ont un ministère dénommé "Le Conseil des Sages".
Ce conseil a pour mission de protéger nos enfants savoisiens, avenir de notre État.
Le conseil demande la publication de l'article de Christian Cotten , dont voici la teneur.
Bien sur, dans le légitime but de vous informer.
Opposer le Code de Nuremberg à l’obligation vaccinale
Le CFR américain (Council of Foreign Relations) a
exprimé son inquiétude à la lecture d’une décision de la Cour
de Justice européenne (équivalent de la Cour suprême aux
Etats-Unis). Cette dernière autorise la possibilité de poursuivre
des fabricants de vaccins sans apporter de preuves scientifiques dès
lors qu’il existe un lien de causalité entre, par exemple, un
vaccin de Sanofi Pasteur contre l’hépatite B et la sclérose en
plaques. L’affaire visait un cas français : un homme en
parfaite santé avait déclaré une sclérose après une vaccination,
il est décédé en 2011.
Pour la Cour de Justice Européenne, les citoyens européens doivent
être en mesure de poursuivre les fabricants à l’exclusion de
toute preuve rapportée, en raison de la disproportion de moyens
entre les consommateurs individuels et les grandes entreprises. Les
tribunaux européens ont le devoir de protéger la santé et la
sécurité des consommateurs. Il faut assurer une répartition
équitable entre la personne lésée et les risques inhérents à la
production technologique moderne des producteurs de vaccins. Cette
décision est partagée par la Suède qui vient de décréter
inconstitutionnelle l’obligation vaccinale.
Dans la foulée, la présidence américaine a ouvertement posé la
question de l’équilibre entre la sécurité du citoyen et
l’utilité des vaccins.
La décision prise par la Cour de Justice européenne va t-elle
contrecarrer la volonté de la ministre de la Santé d’Emmanuel
Macron visant à imposer une vaccination obligatoire pour onze
vaccins ? On peut en douter car il existe plusieurs lectures du
sujet et les mondialistes veulent vacciner de force la nouvelle
génération de 0 à 10 ans.
Le code de Nuremberg
« La vaccination obligatoire, qui revient à une
expérimentation humaine sans consentement, est contraire au Code de
Nuremberg », expliquait Mary Holland, docteur en droit et
professeur d’Université à la tribune des Nations Unies, le 4 mai
2016.
En effet, à la suite des atrocités médicales nazies, le monde a
adopté le Code de Nuremberg qui affirme que « le consentement
volontaire du sujet humain est absolument essentiel ». Le pacte
international relatif aux droits civils et politiques souligne
également l’interdiction de l’expérimentation dans son texte de
1966. Il stipule : « Nul ne peut être soumis sans son
libre consentement à une expérience médicale ou scientifique. »
Opposer le Code de Nuremberg et le pacte des droits civils et
politiques à la vaccination de force est parfaitement approprié.
Nous sommes bien confrontés à une expérimentation humaine de génie
génétique d’ampleur mondiale qui comprend deux volets :
1°) le volet chimico-biologique puisque les vaccins contiennent du
Phénol, Thimerosal, Mercure, Aluminium, Ethylène Glycol, Formol,
Benzetonium, Squalène, SV40, cellules cancérisées, Benzonase, ADN
et ARN viraux, Edulcorants, OGM, albumine humaine, antibiotiques sous
forme de trace de néomycine, polymyxine B, kanamycine, gentamycine,
streptomycine, trométamol. Ces éléments combinés sont mutagènes
et à certaines doses mortels.
2°) le volet nanométrique puisque les vaccins contiennent des
nano-composants de tungstène, titane, zirconium, hafnium, strontium,
aluminium, nickel, fer, antimoine, chrome, or, zinc, platine, argent,
bismuth, cérium, cuivre, plomb, étain, baryum, vanadium, magnésium,
souffre, silicium, calcium, sodium, manganèse…
Les preuves de la présence de ces nanocomposants vaccinaux ont été
apportées par les docteurs Antonietta M Gatti et Stefano Montanari
pour le Conseil National de Recherche d’Italie. Les résultats de
leurs nano-diagnostics ont été publiés dans l’International
Journal of Vaccines le 23 Janvier 2017. ).
Les résultats de ce nano-diagnostic sur 44 vaccins dont les onze
obligatoires sont sur les bureaux de tous les fabricants de vaccins.
Ces derniers, n’ayant aucune réponse scientifique à apporter,
s’empressent de mettre leurs sbires aux postes des ministères de
santé publique. Ils entendent tuer dans l’œuf cette information
et prendre des mesures très coercitives pour imposer leurs vaccins.
Protections juridiques
Il existe d’autres protections juridiques par exemple :
l’article 3 de la Déclaration des droits de l’homme, le nouveau
Code civil qui reconnaît le principe du respect à l’intégrité
du corps humain, l’article 36 du code de déontologie médicale,
les différents arrêts de la Cour sur l’information transparente
due au patient. Citons aussi la loi Kouchner disant qu’aucun acte
médical ne peut-être pratiqué sans consentement libre et éclairé
du patient. Enfin, l’article 1111 de la santé publique dit que
tout citoyen a le droit à la liberté d’accepter ou de refuser un
acte médical, et la vaccination est un acte médical.
Cependant, la preuve est faite qu’il s’agit d’une
expérimentation vaccinale nano-chimico-biologique sans le
consentement des populations, cela relève bien du Code de Nuremberg
et du pacte international relatif aux droits civils et politiques. Il
s’agit donc bien de traduire tous les acteurs de cette folie
vaccinale expérimentale devant une Cour de Justice Internationale
qu’ils aient réussi ou non à imposer leurs soupes vaccinales…
L’Italie sous dictature vaccinale
En Italie, un décret a été publié le 7 juin rendant douze vaccins
obligatoires. Pour avoir accès aux crèches et à l’école
maternelle, les parents devront donc faire obligatoirement vacciner
leurs enfants. Faute de quoi, ils devront se replier sur les nounous.
Cette partie du dispositif concerne les enfants de moins de six ans.
En revanche, ils pourront inscrire leurs enfants dans le primaire,
mais devront payer une amende salée (entre 500 et 7500 euros) s’ils
ont oublié de faire vacciner leur progéniture. Par ailleurs, les
parents réfractaires seront également signalés au tribunal des
mineurs et pourront être temporairement déchus de leur autorité
parentale. « L’objectif de ce décret est d’éviter que les
difficultés se transforment en urgences », estime la ministre
de la Santé italienne. Urgences, cela veut dire épidémies et
augmentation du taux de mortalité enfantine…. Et, pour débusquer
les parents qui feraient de la voltige anti-vaccins ainsi que les
médecins complaisants prêts à signer de faux certificats, le
ministère annonce des contrôles perlés et ponctuels dans les
établissements italiens.
Ministères et Commissions dans les
griffes des labos
Quelle est l’une des fonctions du directeur de cabinet de la
Ministre de la santé italienne De Lorenzin ? Il siège au
conseil d’administration du laboratoire Glaxo, qui a reçu
l’exclusivité pour la fourniture des vaccins obligatoires. Comme
par enchantement, c’est une italienne, Mme Testori-Coggi, qui siège
à la Direction Générale de la Santé de l’Union européenne.
Cette dernière avait osé dire, le 5 octobre 2010, qu’à
l’occasion des futures pandémies, la Commission européenne devait
décider, sur une base juridique forte et contraignante, et à
l’instar de ce qui se fait déjà pour les animaux, qui doit être
vacciné.
Testori-Coggi : « Savez-vous que pour
les animaux, pas pour les humains mais pour les animaux, c’est la
Commission qui décide des stratégies de vaccination, qui va acheter
le vaccin, ou quelle est la part qui doit être vaccinée, combien
d’animaux doivent être vaccinés. Pour les animaux, nous avons
cela, ce n’est pas contesté du tout. Il y a le caractère
contraignant lié à une base juridique forte. Et puis, nous avons
des années d’expérience. Alors je pense qu’en matière de santé
publique, nous en sommes aux premiers balbutiements pour commencer et
puis, à un moment, nous y arriverons également pour les êtres
humains. ».
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire