Maurras met son gilet jaune !
Le maître de l’Action française se serait surtout réjoui de constater, à
cette occasion, la persistance du rayonnement des analyses qu’il avait
posées au début du XXe siècle.
Éric Zemmour rappelait, mercredi, dans une conférence à l’ISSEP,
l’école de sciences politiques récemment créée à Lyon par Marion
Maréchal, que de Gaulle et la Ve République devaient à
Maurras, d’une part, l’idée de restauration de la durée et de l’autorité
au sommet de l’État, contre les faiblesses du régime parlementaire et,
d’autre part, la ligne générale de leur politique étrangère, celle d’une
grande puissance moyenne cherchant à fédérer les non-alignés pour
résister aux grands blocs antagonistes.
Il aurait pu ajouter que la troisième leçon, celle de la distinction du « pays réel » et du « pays légal »,
justement, aurait elle aussi mérité d’être entendue !
Maurras, à
travers elle, apparaît en effet comme un précurseur, non seulement de
l’idée de décentralisation (ce qui est bien connu), mais aussi du
populisme en ce sens qu’il a perçu et décrit avant tout le monde le
divorce du peuple et des élites illégitimes qui trahissent la nation au
profit des idéologies ou d’une fausse conception de l’universel.
La LICRA a souvent portée plainte contre le journal l'Echo des Montagnes.
A cette occasion, votre rédacteur en chef s'est posé la question suivante: "Qui soutient la LICRA,qui n'est pas une personne morale ni physique, donc la LICRA ne peut ester en justice.
Voici la réponse à ma question:
Voici la liste des 120 parlementaires membre de l'intergroupe LICRA (lobby juif) à l'Assemblée Nationale :
Certains
députés parmi eux sont d’ailleurs de véritables représentants de la
LICRA au sein de l’Assemblée nationale. Comme Jean-Michel Mis, député
mais aussi secrétaire général de la LICRA de Saint-Etienne. Ou comme
Naïma Moutchou, nouvelle élue du Val d’Oise mais aussi avocate de la
LICRA depuis plusieurs années, siégeant à la commission juridique de la
LICRA.