LES POUBELLES FRANCAISES DE FRED

LES POUBELLES FRANCAISES DE FRED

jeudi 26 août 2021

passeport SANITAIRE, THALES, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER, RESTAURANT, BAR, CINEMA

   NOUVELLE DU FRONT

La passeport sanitaire n’est pas une fin en soi. Il est un début, un précédent, une mise en bouche. Vous saurez désormais dans l’attente de quoi il sera maintenu après le 15 novembre.  

Cliquez sur:  https://www.profession-gendarme.com/scoop-quest-ce-que-le-great-reset-recherche-vraiment-avec-le-passe-sanitaire/

Des Français ont trouvé la parade, cliquez sur:

mercredi 25 août 2021

SAINT BARTHELEMY, 24 AOÛT 1572, PARIS, FRANCE, CATHOLIQUE, PROTESTANT, MUSULMAN, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

  

Le 24 août 1572, c’était la Saint-Barthélemy : et aujourd’hui ?

C’était il y a bien longtemps. La France se déchirait alors entre catholiques et protestants. En ce mois d’août 1572, les événements s’étaient succédé : paix de Saint-Germain, le 8, mettant fin officiellement aux querelles religieuses ; mariage d’Henri de Navarre, futur Henri IV et protestant impénitent, avec sa cousine Marguerite de France, le 18 ; tentative d’assassinat de l’amiral de Coligny, protestant, probablement par le parti des Guise, catholiques, le 22. Le peuple de Paris, farouchement catholique à l’époque (on se pince en l’écrivant), est en ébullition : il voit la paix comme une reddition, le mariage comme une coûteuse trahison de la maison royale, l’assassinat manqué comme une simple première manche.

Les partisans de Coligny réclament justice. Le roi la leur promet. Le 24 au soir, le roi tient un « conseil étroit » (on dirait, aujourd’hui, « restreint », mais vous voyez l’esprit) au cours duquel la décision est prise d’éliminer les chefs protestants pour apaiser la tension. Les ducs de Guise et d’Aumale sont à la manœuvre. Sur ordre, les portes de  sont fermées.

Une équipe tire Coligny de son lit, l’achève et le défenestre. Les nobles protestants, qui sont revenus au Louvre après la paix de Saint-Germain, sont massacrés dans le quartier. Plus tard dans la nuit, les Parisiens, persuadés que les protestants sont à l’origine des troubles, les massacrent indistinctement. Des centaines de cadavres dénudés flottent sur la Seine.

Bientôt, la folie meurtrière s’étend en province. Les principales villes du royaume tuent, à leur tour, leur population protestante. Le roi Charles IX est impuissant à contenir ses peuples. Il endosse pourtant la responsabilité de l’assassinat de Coligny et de la noblesse protestante.

Tandis que les conversions se multiplient, comme on s’en doute, les protestants du midi entrent en résistance. C’est le début de l’épopée cévenole – qui est encore une autre histoire…

Que retenir de cette terrible nuit, alors que la rentrée approche ? Affrontements religieux, jeux politiques un peu minables, dirigeants faibles, peuple prompt à la colère : on pourrait croire que rien n’a changé. Sauf que les catholiques sont devenus les tenants d’une ridicule  républicaine et que les protestants ont été (grand) remplacés par des musulmans.

Je crois, au contraire, que tout a changé, que nous vivons une Saint-Barthélemy d’une tout autre sorte : permanente, à bas bruit. Une Saint-Barthélemy d’agressions, de coups de couteau, de rodéos et d’incivilités. Des morts tous les jours, des femmes violées tous les soirs, ou presque, un pays faible et divisé. Une Saint-Barthélemy qui s’appuie, comme jadis le peuple de Paris, sur l’impunité des coupables, la  de la société, la lâcheté du pouvoir qui veut se maintenir « quoi qu’il en coûte ». Une Saint-Barthélemy si durable et si scandaleuse, occultée par un Covid que l’on érige en peste noire. Pour tenter de nous la faire oublier ?

Comme autrefois (regardez ce qui se passe dans nos « quartiers de reconquête républicaine »), ce sera bientôt, pour ce qui reste du peuple jadis chrétien, la conversion, le refuge au désert ou le combat.

Arnaud Florac

mardi 24 août 2021

RENE HOFFER, POLYNESIE FRANCAISE, COVID, HEURE, ZERO, TAHITI, PAPEETE, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

                                ALERTE; HEURE ZERO


Le président de « la Polynésie française », des françaises et des français                Tahiti le 23 août 2019+2

René, Georges,  Hoffer

BP 13722

98717 – PUNAAUIA

Tél 87 77 71 70 e-mail : rollstahiti@gmail.com


PLAIDE :


devant le  Tribunal administratif, Juge des référés, Avenue Pouvana’a 


à Oopa TAHITI,


Exception d’illégalité du décret 2021-1068 du 11 août 2021 déclarant l’état d’urgence sanitaire (PJ03)

Ce décret en son article 1er mentionne que cette déclaration est à compter de tel jour « à 0 heure » ; or cette heure n’existe pas et donc un tel point de départ n’étant pas défini, inexitemps,


 il vicie d’entrée le décret.


Félicitation, Monsieur le Président René Hoffer.



MAÎTRE JEAN-PIERRE JOSEPH, GRENOBLE, INTERDICTION, OBLIGATION, VACCIN, MEURTRE, GENOCIDE, SANG, AVORTEMENT, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

  NOUVELLE DU FRONT


En FRANCE, les 2 mamelles sont:

         --interdiction

         --obligation

Lisez le mémoire instructif de Maître Joseph, avocat et batonnier à Grenoble.

, avec sa lettre de motivation jointe= excellent.

Maître Joseph a été mon avocat contre les francs-maçons du Crédit Mutuel et on a gagné.

Cliquez sur; “La vaccination, pour l’instant, n’est obligatoire pour personne” Me Joseph 

https://www.profession-gendarme.com/90368-2/

et c'est complémentaire; vidéo simple à comprendre et très efficace:

Effet catastrophique de la vaccination Covid sur le sang humain






jeudi 19 août 2021

LUC MONTAGNIER, MORT, VACCIN, GENOCIDE, CHAMBRE A GAZ, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

    ALERTE: NOUVELLE DU FRONT TERRIFIANTE


Les prédictions mortelles du Professeur Luc Montagnier sur les vaccinés!


C’est une bombe qui vient d’être lancée dans le ciel de la science, et plus précisément dans le domaine de la médecine en pleine période de lutte contre la pandémie du Covid-19 et des appels planétaires pour une massive et rapide vaccination des populations.

Le lauréat du prix Nobel de Médecine en 2008,Luc Montagnier a confirmé dans une interview traduite et publiée par la RAIR Foundation USA, qu’il n y a aucune chance de survie pour les personnes ayant reçu une forme quelconque du vaccin.

Dans cette interview choquante à plus d’un titre et qui aura certainement son lot de polémique et de critiques acerbes, le plus grand virologue du monde Luc Montagnier dira, sans retenue :
»il n y a aucun espoir et aucun traitement possible pour ceux qui ont déjà été vaccinés. Nous devons être prêts à incinérer les corps ».

Le génie scientifique soutient les affirmations d’éminents virologues qui ont étudié les différents constituants du vaccin en pointant leurs failles arrive à cette énigmatique conclusion :
« ils (les vaccinés par vaccin ARNm: Pfizer et Moderna) mourront tous d’une amélioration dépendante des anticorps. Rien de plus ne peut être dit » dira le lauréat du Prix Nobel, ajoutant :
« c’est une énorme erreur, non ? Une énorme erreur scientifique ainsi qu’une erreur médicale. C’est une erreur inacceptable ».
« Les livres d’histoire le montreront, car c’est la vaccination qui crée les variants,

de nombreux épidémiologistes le savent et observent le silence sur le problème connu sous le nom du « renforcement dépendant des anticorps », conclura Luc Montagnier..

Note de la rédaction:

Amies non-vaccinées, Amis non-vaccinés, les vacciné(e)s

sont très dangereux, car contagieux.

Les vacciné(e)s mourront encore plus vite car ils vivent ensemble: au restaurant, au cinéma, ect.

Evitez les, car leurs contagions sont multiples  variants.

Les cocus =les vaccinés, si vous voulez mourir debout et

non comme un légume cuisiné à la sauce Gates, devenu  une macronade,

alors

appliquez la devise du ROI de Savoie, VICTOR AMEDEE II 

DE SAVOIE: Spoliatis arma supersus"!


mercredi 18 août 2021

PASSE SANITAIRE, COVID, VACCIN, ONU, ESPAGNE, CATALOGNE, ATTALI, GENOCIDE, ESCLAVE, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

                       NOUVELLE DU FRONT


Preuves que le passe sanitaire et les vaccins COVID étaient prévu depuis 2019. Attali en parlait même en...1979


Attali en 1979 nous dit que ''Chacun aura envie de se conformer comme un esclave" dans une dictature sanitaire à l'avenir...



Merci ROUSSEAU

Note de la rédaction:

Bien sur ce passe sanitaire génocidaire de l'humanité ne peut qu'être réalisé qu'avec l'aide et la complicité des zélus, des ministres, des chefs d'état, d'une certaine police et d'une certaine gendarmerie avec le sourire d'une certaine armée.

Preuve ce dossier horrible de corruption à tous les niveaux.

Plainte à l'ONU pour dissimulation de 1 182 meurtres!

L'alliance DENUNCIANTES DEL AUTORITARISMO JUDICIAL (DÉNONCIATEURS DU JUDICIAIRE AUTORITARISME) a dénoncé devant le Comité des Nations Unies contre la torture et les traitements dégradants la dissimulation de 1 182 meurtres en Espagne.

En mars 2021, l'Alliance a déposé une plainte pénale auprès du bureau du procureur général. En 2009, la Haute Cour de justice de Catalogne, à Barcelone, enquêtant sur 816 meurtres, a trouvé la documentation de 312 autres meurtres, soit un total de 1 182 meurtres. Les meurtres ont été commis par une bande criminelle créée par José María Mena Álvarez, ancien procureur en chef de ce tribunal, dont les principaux collaborateurs étaient deux membres de la police judiciaire qui étaient sous ses ordres. L'une des personnes assassinées était le père du président de cette Cour. Le Procureur Général de cette Cour a dénoncé ces meurtres au Conseil Général du Pouvoir Judiciaire.
Devant la Haute Cour de justice de Catalogne, l'enquête a été clôturée après une réunion entre le président et Mena. On peut supposer que cette dernière a dénoncé le Président pour le meurtre de ses enfants.

Le Conseil Général du Pouvoir Judiciaire a également classé la plainte.
En 2021, après la plainte pénale, Javier Marzal a demandé au Conseil général du pouvoir judiciaire (CGPJ) le dossier où la plainte a été traitée, mais le président de cet organe n'a pas répondu. Il a déposé une plainte auprès du Médiateur, qui a couvert l'absence de réponse du CGPJ. Il a dénoncé le CGPJ au Conseil pour la transparence et la bonne gouvernance, qui n'a pas non plus répondu dans le délai imparti de trois mois.

Face à la dissimulation par tous ces organismes, commandée par le gouvernement espagnol, l'Alliance a déposé une plainte auprès de l'ONU.

Ces meurtres font partie de ce que l'on appelle le dossier Royuela, qui constitue le plus grand complot criminel de l'histoire européenne et est le fruit de plus de 25 ans d'enquête d'Alberto Royuela, emprisonné en représailles pour avoir dénoncé ce gang. Fin 2019, Santiago Royuela (fils d'Alberto) a créé une chaîne YouTube pour dénoncer les crimes de ce gang (plus de 2 000 assassinats, trafic international d'armes et de drogue, 8 680 condamnations judiciaires truquées, avortements clandestins...). Santiago a téléchargé une partie de la documentation sur une page Internet, à laquelle il a donné le nom de son frère assassiné : www.javierroyuelasamit.com.
Alberto Royuela, Santiago Royuela, le juge Fernando Presencia et Javier Marzal sont les principaux dénonciateurs de cette bande criminelle, accompagnés de plusieurs journalistes et youtubers.
En juillet 2021, plusieurs dénonciations du juge Presencia sont parvenues à Europa Press (principale agence de presse espagnole) et un sénateur a demandé à Margarita robles, ministre de la défense, ses millions d'euros dans des paradis fiscaux, obtenus grâce à ses relations avec cette bande criminelle.

Le 6 août 2021, Santiago Royuela a dénoncé 322 meurtres à l'Audiencia Nacional. L'Alliance prépare sa dénonciation pour ces meurtres et d'autres dénonciations, avec Santiago Royuela.

Le dossier Royuela explique comment la corruption a représenté 8% du PIB espagnol, tel que publié par Eurostat (Union européenne) en 2018, dépassant les bénéfices de toutes les grandes entreprises et multinationales réunies.


Javier Marzal

Porte-parole de l'alliance DENUNCIANTES DEL AUTORITARISMO

 JUDICIAL (DÉNONCIATEURS DU JUDICIAIRE AUTORITARISME)




lundi 16 août 2021

EMIRAT ISLAMIQUE D'AFGHANISTAN, TALIBAN, KABOUL, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

  Kaboul.

 L'essentiel :


- Les talibans ont annoncé l'annonce imminente de la création de l'Emirat islamique d'Afghanistan ;

- CNN : les États-Unis envisagent d'envoyer des forces supplémentaires en Afghanistan ;

- L'aéroport de Kaboul a été la cible de tirs, selon les rapports de l'ambassade américaine ;

- Macron convoque le Conseil de défense sur la situation en Afghanistan. Il aura lieu demain ;

- Londres n'est intéressée par aucun pays reconnaissant le gouvernement taliban, a déclaré Boris Johnson ;

- Les talibans garantissent la sécurité des missions diplomatiques étrangères, a déclaré l'ambassadeur de Russie à Kaboul. Il n'y a aucune menace pour le personnel et les installations de la mission diplomatique russe ;

- Le gouvernement afghan refuse de transférer pacifiquement le pouvoir au conseil de coordination formé pour la passation du pouvoir

Envoyé spécial du président de la Fédération de Russie : le chef évadé de l'Afghanistan Ghani mérite un procès

L'ancien président afghan Ashraf Ghani,(alias Samuel Macaron???) qui a démissionné et a fui le pays, mérite d'être traduit en justice par le peuple afghan, a déclaré Zamir Kabulov, envoyé spécial du président russe pour l'Afghanistan, directeur du deuxième département Asie au ministère des Affaires étrangères.

 Selon Kabulov, Ashraf Ghani a déclaré avant-hier dans une allocution télévisée au peuple afghan qu'il était "prêt à donner sa vie jusqu'à la fin". En fin de compte, cependant, il « s'est enfui de la manière la plus honteuse ».

"Doublement élu, mal gouverné et terminé honteusement. Je n'ai pas d'autre définition par rapport à cette personne. Il mérite d'être traduit en justice et responsable par le peuple afghan », a déclaré Zamir Kabulov dans une interview à la chaîne de télévision Zvezda.

 Il a également noté que si la Russie est satisfaite du comportement des talibans (le mouvement radical des talibans est interdit dans la Fédération de Russie).

Pour sa part, l' attaché de presse de l'ambassade de Russie en Afghanistan Nikita Ishchenko a expliqué à RIA Novosti comment Ashraf Ghani  (alias sosie Samuel Macaron???) a tenté de retirer de l'argent de Kaboul  , en traversant la rue du Palais ELYSEE-BOURBON:

Quatre voitures étaient remplies d'argent, ils ont essayé de pousser l'autre partie de l'argent dans un hélicoptère, mais tout ne rentrait pas. Et une partie de l'argent est restée sur le terrain de décollage.

L'emplacement exact d'Achraf Ghani n'est actuellement pas connu. Auparavant, son agent de sécurité avait déclaré que l'  ex-président était arrivé à Tachkent avec sa femme. Les médias ont rapporté qu'il aurait pu fuir au Tadjikistan. Dans le même temps, ni l'Ouzbékistan ni le Tadjikistan n'ont confirmé qu'Ashraf Ghani se trouve sur leur territoire.

Le service tadjik de Radio Liberty (reconnu dans la Fédération de Russie comme agent étranger) - Radio Ozodi, citant des sources, rapporte qu'Ashraf Ghani est arrivé à Douchanbé et s'est rapidement envolé pour Oman.

 Selon le journal, les autorités de l'aviation du Tadjikistan ont coordonné avec les dirigeants de l'Ouzbékistan, du Turkménistan et de l'Iran le vol de l'avion de l' ex-président à travers les territoires de ces pays. L'agence iranienne Mehr rapporte que Ghani pourrait être à Oman, d'où il tentera de s'envoler pour les États-Unis.


note de la rédaction indépendante de votre journal indépendant préféré:


Le président de la France colonisatrice de la Savoie, "sexe- primera (sans cocaïne,) ce soir àaux ondes de propagandes goebelésiennes.

Il ne vous dira pas ce que vous a écrit l'Echo des Montagnes.

A vous de juger!


FHBVGVB




BRETAGNE, MELLIONNEC, CÔTES D'ARMOR, PASSE SANITAIRE, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

 NOUVELLE DU FRONT


VIVE LES BRETONS!

Mellionnec, le village breton qui dit “non” au pass sanitaire!

Plutôt que d’appliquer le pass sanitaire, les trois bars et cafés de Mellionnec, village breton de 400 habitants en Côtes d’Armor, ont préféré fermer boutique. Ils préfèrent cette solution, plutôt que de choisir entre les vaccinés et les non vaccinés. Cette décision est loin de déplaire à la population, qui soutient ses restaurateurs à travers un collectif anti pass sanitaire.

samedi 14 août 2021

vendredi 13 août 2021

OBLIGATION VACCINALE, CONSEIL NATIONAL DE CERTIFICATION, BIIG PHARMA, MEDECIN, INFIRMIERE, INFIRMIER ,LOI MARTIALE, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

                        NOUVELLES DU FRONT


1- il n'existe aucune obligation vaccinale en France à ce jour. La loi du 5 août renvoie dans ses articles 12 et 14 à un décret qui n'existe pas encore à ce jour.

2- l'auto test (26 € en pharmacie boite de 5) que vous faites sans le contrôle de personne suffit car la loi du 5 août n'envisage pas les auto-tests et le décret du 5 juin 2021 qui le prévoit sous le contrôle d'un professionnel de santé ne peut pas contredire la loi article L1110-4 du code la santé publique qui lui est supérieure et qui organise le secret médical

En conclusion vous faites une déclaration sur l'honneur mentionnant que vous avez fait un auto-test négatif. C'est tout!
Ce sont vraiment des crétins au gouvernement!
Faites suivre au plus grand nombre.
Joël YOYOTTE-LANDRY  Avocat.

Par décret passé en catimini, Macron et Véran créent « le Conseil national de certification », soumis au gouvernement, pour reconduire ou retirer le droit d’exercer des médecins qui n’obéissent pas… pas un mot dans les médias

C’est énorme !!! Affreux, impensable… Les médecins sous haute surveillance des politiques et donc de Big Pharma… Macron nous aura tout fait… même l’impensable, même l’inimaginable. Reste à savoir si les médecins sont au courant (à quoi servent syndicats et ordre des médecins ? ) et s’ils vont se laisser faire…

Il n’y a plus que les médecins retraités qui peuvent dire des vérités et ne pas se soumettre.
Docteur Dominique Schwander

A partir du 15 août - Le blocage des routiers semble se confirmer


Ce blocage est organisée et planifié par Macron and CO pour installer la loi martiale, avec
la complicité docile des militaires et des merdias, soutenus par le dés-ordre des médecins et les syndicats qui vont à la soupe!

Macron a l'honneur d'avoir créer une nouvelle religion en France:  le MOUTONISME.
Les pas-frans-maçons, infiltrés puis dominés par les Illuminatis, aiment les symboles.
Notamment celui du 15 août, fête chrétienne importante.
Ces satanistes, antichrétiens (c'est dans leur serment) ont choisi cette date pour faire des émeutes afin d'instaurer la loi martiale.

Capitaine Frédéric Berger von Götz von Berlischingen

 

jeudi 12 août 2021

DOCTEUR ZELENKO, JUIF, ISRAËL, COVID-19, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

                          NOUVELLE DU FRONT


Là c'est une bombe.

Je vous supplie de l'entendre.

Le docteur ZELENKO est dans le vrai, placant Dieu au-dessus des hommes, au dessus de l'immonde déclaration des droits de l'homme.

En tant que juif, il accuse les gouvernements de corruption, de mensonge et de crime, y compris les gouvernement d'Israël.


J'espère que Dieu protégera le docteur ZELENKO, docteur courage.


Extrait d'une visio-conférence entre le Dr. Zelenko et une Beth Din (cour rabbinique)

Sous-titrage en français


FREDERIC BERGER

mercredi 11 août 2021

FRANCE SOIR, ALEXANDRE GERBI, MACRON, UBU, PRISON, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

  

Après la Révolution : le procès d’« Ubu » Macron

 Publié le 06/08/2021 à 12:36 - Mise à jour à 14:17
Accusé, levez-vous !

Auteur(s): Alexandre Gerbi pour FranceSoir

TRIBUNE - La Révolution a eu lieu. Sous l’œil impavide des forces de l’ordre et de l’Armée, le palais de l’Élysée est tombé, pris d’assaut par le peuple. Macron n’a pas réussi à s’échapper. Il a été arrêté. Voici venue, enfin, l’heure de son procès. Attention, ceci est une fiction. Même si toute ressemblance avec des événements à venir ne serait pas totalement fortuite…

Lorsque Macron entra dans la salle du tribunal pleine à craquer, un grand silence se fit. Même les remuants Gilets Jaunes, nombreux parmi le public, en restèrent bouche bée. 

Un déchet vaguement humain

Difficile, en effet, de reconnaître l’étrange personnage qui gagnait, d’un pas lent, le box des accusés. Sa mine défaite, joues creusées, teint hâve, sa frêle stature, sa barbe de trois jours étonnèrent. Mais c'est surtout son regard torve, presque fou, qui frappèrent l’assistance. Le président de la République déchu n’était plus qu'une créature chétive et pitoyable, manifestement désaxée. Difficile de croire que ce nabot dérisoire avait pu être l’artisan, le deus ex machina de la gigantesque escroquerie du Covid-19 qui avait broyé et ruiné la France pendant un an et demi. L’âme damnée dont l’influence délétère avait accompagné l’Europe et une bonne partie du monde dans un songe absurde, destructeur, liberticide et finalement criminel : « Ce n’était donc QUE ça ! », railla une voix anonyme dans la salle. Celui qui pérorait en avril 2020 en annonçant aux journalistes du Financial Times : « La bête de l’événement est là », dans une référence sibylline et que d’aucuns affirment luciférienne, cet ectoplasme livide paraissait revenu tout droit des Enfers. En un mot comme en cent, à vue d’œil, l’ancien chef de l’Etat n’était plus qu’un déchet vaguement humain…

Qu’il était loin le temps où les médias unanimes présentaient la créature de François Hollande et de Jacques Attali comme un petit génie de la finance doué pour tout, travailleur infatigable jouissant d’une intelligence hors du commun. Un être d’exception doté d’un charme et d’un charisme époustouflants. Un esprit merveilleux, fin et profond, normalien, brillant énarque, philosophe pétri de lettres, ancien secrétaire de Paul Ricœur. Certes, tout était faux ou presque dans ce storytelling dûment fabriqué. Mais beaucoup y avaient cru, même s’ils avaient le plus grand mal, aujourd’hui, à s’en souvenir…

Dans le box des accusés, il ne restait décidément plus grand-chose du fondateur d’En %arche dont le sourire s’affichait en 2016 et 2017 sur des dizaines de couvertures de magazines, volant de victoire en triomphe, comme en apesanteur. Porté par le Tout-Paris et le Tout-Monde, depuis la City de Londres jusqu’à son ami Pfizer rencontré chez Rothschild, en passant par New York, le siège de BlackRock, ce colossal fonds d’investissement aux milliers de milliards de dollars qui ouvrent toutes les portes et amadouent les plus récalcitrants… 

En fait de génie, Macron avait surtout compris très tôt où était la puissance. Et qui il fallait servir pour être bien doté en retour. Le Young Leader (promotion 2012) de la French American Foundation (FAF), avait, entre autres faits d’armes, livré le fleuron Alstom à General Electric (2014). Il avait ainsi torpillé la France au cœur, en hypothéquant son indépendance énergétique et même militaire. Mais loin de compromettre son avenir personnel, il l’avait ainsi conforté. Car ce coup de maître l’avait assuré du soutien indéfectible des puissants réseaux états-uniens. Il était devenu le bon cheval, leur parfait cheval de Troie. 

Trois ans plus tard, en 2017, une machination politico-judiciaire inouïe, aux multiples facettes, l’avait fait président de la République…
 

Entre « Rastignac », « Iago », « Machiavel »… et « Ubu »

Comme le nota Jean-Michel Aphatie lors de sa dernière chronique sur LCI : 

« Celui qui, après avoir poignardé son pays en tant que ministre des Finances, trahit de part en part sa charge de chef de l’Etat ; celui qui, pendant près de quatre ans et demi, foula aux pieds le peuple français et transgressa sans vergogne les principes les plus sacrés de la République ; ce Rastignac ne fut en réalité qu’une baudruche à l’effarante nullité, un prince du mensonge, un gros ballon vide gonflé de son seul cynisme, passé maître dans l’art de naviguer à vue. Le principal mérite de ce Iago shakespearien, de ce valet empressé des ploutocrates, résida, au fond, dans sa faculté de tirer parti de la puissance inhérente à sa fonction, mais aussi des appuis colossaux de ses maîtres, services étrangers et autres milliardaires, auxquels il avait donné les gages nécessaires. Tout en jouant, tel un Machiavel de quatre sous, de la crédulité et du moutonisme général. » 

A ce stade des événements, cette analyse était bien sûr partagée par tous, mais elle ne suffit pas à protéger son auteur : Aphatie, à l’instar de plusieurs dizaines de ses confrères et consœurs, fut balayé en pleine tentative de retournement de veste. Dès le lendemain, sur ordre du Gouvernement de Salut Public de la République Française (GSPRF) issu de la Révolution, l’éditorialiste au délicieux accent méridional avait été démis de ses fonctions comme tant d’autres journalistes, eux aussi impliqués dans l’effarante aventure macronienne. Arrêté et placé en détention pour « complicité de haute trahison » et « manquements majeurs à l’éthique de sa profession », son procès devait se tenir en même temps que celui de ses confrères, à une date non encore fixée.

 

L’homme le plus détesté de France

Malgré son délabrement physique mais aussi manifestement psychique, Macron se tenait plutôt convenablement debout dans le box, la mâchoire serrée et l’iris à présent mobile derrière la vitre blindée, installée pour prévenir une éventuelle tentative d’assassinat. Afin de lever toute équivoque, le Gouvernement de Salut Public de la République Française (GSPRF) avait annoncé que la peine de mort serait exclue, « conformément aux textes en vigueur sous la Ve République » qu’il n’était « pas question de renverser ». C’était là une utile précision. Car depuis la prise de l’Elysée par la marée humaine des manifestants et l’arrestation dans la foulée de Macron, des membres de son gouvernement, ainsi que celle d’une ribambelle de personnages-clefs impliqués dans l’escroquerie covidienne, députés, sénateurs, hauts fonctionnaires, membres du Conseil prétendument « scientifique », membres du Conseil d’Etat, du Conseil constitutionnel, etc., le chaos avait paru, au cours des jours suivants, menacer de déferler sur la France. La continuité de l’Etat et des Institutions, réaffirmée par les autorités, apparaissait donc comme l’indispensable garant de la stabilité.

Apprenant par la voix du GSPRF que le tyran déchu sauverait sa tête, les réseaux sociaux s’étaient immédiatement enflammés. Les menaces de mort contre l’homme le plus détesté de France, les images de guillotines, de pelotons d’exécution, d’écartèlement ou encore de bûchers, proliféraient comme jamais sur la Toile, accompagnées de messages personnels parfaitement explicites. Facebook comme Twitter avaient pris le parti, depuis que la Révolution était un fait accompli, de ne plus rien censurer. De son côté, l’Etat avait admis, une fois pour toutes, que ces saillies faisaient office « d’utiles exutoires, aisément compréhensibles au regard de l’ampleur des crimes » de celui que la presse surnommait désormais « Ubu », d’après le célèbre personnage d’Alfred Jarry. De fait, le nombre des victimes du défunt macronisme rendait plausible une éventuelle vengeance individuelle qui, fort heureusement, n’eut finalement pas lieu. Si jusqu’au bout le pire fut redouté, le procès put aller jusqu’à son terme sans véritable anicroche.

 

Un procès déconcertant

Au-delà de ces péripéties, ce qui fut en définitive le plus déconcertant, c’est la simplicité avec laquelle les débats furent menés. Les mensonges accumulés par Macron et sa clique étaient tellement patents et accablants, grossiers surtout, qu’on se demanda comment tout un peuple avait pu rester si longtemps sans réaction. Le philosophe centenaire, Edgar Morin, prit la parole à la barre et livra l’explication : les Français avaient été, suivant les principes énoncés par Milgram, « manipulés » et « hypnotisés » par « le gouvernement scélérat » et « les médias à sa solde ». Selon le sociologue-philosophe, il n’y avait donc nul mystère dans la manière dont les foules avaient répondu à des réflexes dès longtemps étudiés. Du Discours de la servitude volontaire de La Boétie à La Fabrique du consentement de Noam Chomsky, des travaux visionnaires de Foucault à La Stratégie du Choc de Naomi Klein, tout l’arsenal de la manipulation était disponible et prêt à l’emploi. Et c’est peu dire que les cerveaux du complot, dont Macron était l’homme-lige, en avaient fait un usage immodéré. « Il s’en sont servi et bien servi », conclut ironiquement Morin sous le regard bienveillant du président du Tribunal. 

Après cette audition, les réseaux sociaux s’insurgèrent à nouveau. Silvano Trotta, désormais courtisé par la grosse presse, tout en se félicitant de cette charge, accusa le vieil intellectuel de récupérer « in extremis » des thèses « complotistes » qu’il s’était bien gardé de reprendre à son compte durant l’interminable développement de l'escroquerie covidienne (2020-2021). Trotta rappela que Morin n’avait, au contraire, cessé de la cautionner par ses réflexions lénifiantes. Une pénible réalité dont les médias, Le MondeLe Figaro et Libération en tête, devenus archanges de la Révolution, s’empressèrent de se faire l’écho, tressant à Trotta des couronnes de lauriers, et précipitant en contrepartie la déchéance et la disparition définitive du sociologue centenaire, cloué au pilori comme la plupart de ses collègues « philosophes ». A vrai dire, du lisier soi-disant intellectuel français, il ne restait qu’un vaste champ de ruines, un cimetière grotesque dont l’ancêtre Morin n’était qu’une des figures emblématiques. Sa chute apparut révélatrice du lamentable naufrage de l’intelligentsia hexagonale qui, du reste, ne datait pas d’hier…

Le procès d’Ubu, disions-nous, tourna au jeu de massacre, tant l'imposture macronienne avait été énorme. L’avocat général joua sur du velours. Il égrena la litanie des mensonges, des contre-vérités, des manipulations éhontées dont l’ancien président de la République et ses collaborateurs, par corruption ou par lâcheté, s’étaient rendus coupables. A cette occasion, la France contempla sa propre bêtise dans le miroir, elle, pourtant réputée la plus intelligente, la plus sensée, la plus indocile des nations. Heureusement que cette fois, le Peuple français, de nouveau fidèle à lui-même, avait fini par reprendre le dessus, conformément au portrait sublime qu’en avait brossé Léopold Sédar Senghor :

« Je sais que ce peuple de feu, chaque fois qu’il a libéré ses mains, a écrit la fraternité sur la première page de ses monuments. »

La fraternité que le diviseur Macron avait voulu briser, le Peuple français s’était élevé pour la protéger et la sauver, à l’heure où son arrêt de mort avait été âprement signé. En cortèges immenses, rejoints par une police et une gendarmerie, une armée lassées de se rendre complices de l’innommable, les manifestants avaient avancé, ce samedi désormais sacré et gravé dans le marbre de l’Histoire. En foules joyeuses, chantants, dansants, ils ont marché sur l’Elysée. Ils sont venus y chercher le félon détesté. Ainsi, après avoir investi un palais dépourvu de défense, aidés disent certains par des militaires, des gendarmes et des policiers partageant leur cause, ils ont capturé le tyran. Et, c’est leur gloire, sans attenter à ses jours. S’ils l’avaient voulu, ils l’étripaient. Mais les Français en révolution, se rappelant sans doute que l’exécution du roi avait jadis entraîné le peuple dans un interminable bain de sang, se sont bornés à mettre l’infâme hors d’état de nuire. Enfin.

 

Un réquisitoire accablant

L’avocat général, dans sa robe d’hermine, lut l’acte d’accusation :

« Emmanuel Macron, je vous accuse de crime contre l’humanité, de crime contre la France et de crime contre la Nation. Au nom du peuple français, je vous accuse de crime contre le peuple français. »

Ces mots retentirent dans une salle entièrement silencieuse. Certains savaient qu’ils auraient dû être prononcés, en son temps, contre Charles de Gaulle, mais qu’ils ne le furent jamais. D’ailleurs, fallait-il vraiment s’étonner qu’un régime qui s’acharnait à glorifier, soixante-dix ans plus tard, le traître De Gaulle, destructeur de la Communauté Franco-Africaine, liquidateur de l’Algérie, fossoyeur de la France qu’il transforma en pays faible et sans idéal, au prix de multiples violations de la Constitution et de crimes en tous genres, fallait-il vraiment s’étonner que ce régime ait pu, en son agonie, hisser sur le pavois un autre traître, le traître Macron ? 

Heureusement, le moment était venu de solder les comptes. Avec Macron, c’est l’ennemi de l’intérieur, l’ennemi infiltré qu’il s’agissait d’enfin châtier à la hauteur de ses crimes. En définitive, Macron le caricatural, avatar ultime d’un régime vicié dès ses origines, payait pour tous les autres, ses prédécesseurs, qui s’étaient chacun livrés, peu ou prou, à l’assassinat de leur pays et de leur peuple. En métropole comme outre-mer, outre-Méditerranée et outre-Sahara…

L’avocat général reprit :

« Emmanuel Macron, je vous accuse d’être un corrompu. Un misérable, un méprisable corrompu. Je vous accuse d’avoir servi, par ambition personnelle et peut-être pour des motifs encore plus obscurs, des intérêts contraires à ceux du peuple et de la Nation. Plus grave encore, je vous accuse de crime contre l’humanité. »

Puis l’avocat général énonça les faits.

« Vous avez, Emmanuel Macron, prétendu qu’une maladie au taux de mortalité banal sinon dérisoire, 0,1 %, était une menace majeure pour la population tout entière. Vous saviez pourtant parfaitement, dès le mois de mars 2020, au moment où vous déclenchiez l’odieux confinement, que cette maladie, dont l’origine exacte reste à déterminer, ne pouvait essentiellement tuer que de grands vieillards ou des patients frappés de lourdes comorbidités, à l’espérance de vie le plus souvent très réduite. Vous avez pourtant laissé accroire, avec la complicité des médias dévoyés dont votre qualité de président de la République vous rendait maître par le jeu du pouvoir, des accointances diverses et des subventions d’Etat, vous avez affirmé que cette maladie pouvait tuer n’importe qui à n’importe quel âge. Vous avez laissé dire à votre directeur de la Santé, Jérôme Salomon, et à votre ministre de la Santé, Olivier Véran, dont les procès viendront bientôt, qu’il s’agissait là d’une nouvelle « peste », d’une maladie effroyable, alors même que les personnes en bonne santé de moins de 65 ans y sont pour ainsi dire, et vous le saviez, invulnérables. Ces mensonges, avec votre approbation, ont été proférés devant les plus hautes instances de la République et n’ont, bien entendu, jamais valu à leurs auteurs la moindre sanction. Pire, ils ont été relayés, ad nauseam, par les médias. Vous avez ainsi abreuvé le peuple, jour après jour, mois après mois, de ces contrevérités. Vous avez de la sorte semé la terreur, en mentant délibérément, à seule fin de conditionner le peuple, pour qu’il consente à vos agissements criminels. Ainsi, vous avez pu suspendre une grande partie des libertés publiques au gré d’un motif fallacieux. Vous avez, ce faisant, bafoué les devoirs fondamentaux inhérents à votre charge. Vous avez violé la Constitution, en abusant de la confiance des masses, qui ne pouvaient vous croire capable de telles ignominies. Pour alimenter votre machination, vous avez usé de tests truqués, les trop fameux tests PCR, lesquels vous permirent d’alimenter la peur et de répandre l’idée que le virus était partout, même lorsqu’il ne l’était pas. Sans doute plus criminel encore, avec la complicité de médecins notoirement stipendiés par les grandes firmes pharmaceutiques, jusqu’à l’Ordre lui-même, criblés de conflits d’intérêts et que vous avez promus en parfaite connaissance de cause, vous avez combattu systématiquement et même interdit, par la menace et la sanction, les traitements efficaces et bon marché, Azithromycine, Ivermectine, Hydroxychloroquine, etc. Alors que des milliers de praticiens de terrain constataient, jour après jour, mois après mois, l’indubitable efficacité de ces médicaments sur leur patientèle. Violant le serment d’Hippocrate, vous avez interdit de soigner autrement qu’avec du Doliprane qui, justement, ne soignait pas. Par ces menées aberrantes, en privant de traitement des centaines de milliers de vos compatriotes, vous avez provoqué des dizaines de milliers de morts. Lesquels ont servi votre macabre propagande et votre cynique, votre criminelle manipulation. Voilà la réalité effroyable : ces morts par milliers servaient votre politique, ils étaient par conséquent voulus par elle ! »

Une rumeur envahit la salle. L’avocat général reprit :

« Vous avez, Emmanuel Macron, toute honte bue, avec vos complices de la Commission européenne, tandis que vous interdisiez, je le répète, tous les traitements efficaces et bon marché, vous avez promu des traitements inefficaces, dangereux et de surcroît ruineux pour la Sécurité sociale, et bien sûr délétères pour la santé publique. Là encore, les victimes et les morts provoqués par vos choix déments se comptent par milliers. Je vous accuse, en conséquence, Emmanuel Macron, de crime contre l’humanité. »

Un silence de mort s’était abattu sur la salle. Derrière sa vitre blindée, l’accusé roulait des yeux hallucinés. L’avocat général poursuivit :

« D’autre part, Emmanuel Macron, vous avez, toujours sous prétexte de cette maladie fallacieusement dévastatrice, décrété la paralysie économique du Pays et ainsi provoqué une désorganisation catastrophique du tissu productif qui entraîna d’innombrables malheurs individuels. Vous avez, cyniquement, prévenu toute révolte des travailleurs, des artisans, des commerçants, des artistes réduits au chômage ou acculés à la faillite, en distribuant sans compter des centaines de milliards d’euros. Par là même, vous avez creusé de façon abyssale la dette publique. Ces dépenses colossales étaient apparemment ineptes. En réalité, elles relevaient d'un double calcul : d'un côté, anesthésier les victimes de votre politique ; et de l'autre, mettre l’Etat à la merci de ses créanciers, en vue d’une privatisation généralisée et d’une liquidation de notre système social, tout en vous permettant de justifier la destruction du Code du Travail. Qui ne voit que tout cela servait vos desseins ultralibéraux, qu’en temps normal vous n’auriez jamais pu réaliser ? »

Une nouvelle rumeur parcourut la salle. L'avocat général reprit :

« Toujours dans l’ordre du désastre, vous avez semé le désespoir parmi le peuple, en particulier parmi la jeunesse. Vous avez privé d’école, d’université une jeunesse désorientée, qui pourtant, essentiellement, ne risquait rien du Covid-19, et dont la confrontation au virus, qui ne la menaçait en rien, aurait permis de gagner, en quelques mois, une immunité collective salutaire pour l’ensemble de la population. Ayant livré la jeunesse et plus généralement le peuple à une épreuve de solitude et de dénuement inédits dans l’histoire en temps de paix, votre règne fut marqué par un taux de suicide jamais vu, y compris parmi les étudiants, les adolescents, et jusqu’aux plus jeunes enfants ! Enfin, au bout de votre ubris malfaisante, par le biais du « passe sanitaire », vous avez cherché à contraindre cette jeunesse, ainsi que tout le peuple, à une prétendue vaccination avec des produits expérimentaux et dangereux. Or tout indique que cette injection et ce passe visaient en réalité, à tout le moins, l’instauration d’une société de contrôle contraire à tous nos principes et à toutes nos traditions. En conclusion, je vous accuse, Emmanuel Macron, de n’avoir rien fait de ce que votre charge exigeait, et d’avoir fait tout ce qu’elle proscrit. »

 

Perpétuité pour un nouveau monde

L’avocat général s’interrompit une dernière fois, et acheva :

« Heureusement, le Peuple de France a su vous arrêter dans votre fuite en avant, dont nul ne sait exactement où elle aurait pu vous conduire et nous conduire… Au vu de l’ensemble de ces motifs, Emmanuel Macron, je demande que vous soyez condamné, pour haute trahison, pour intelligence avec l’ennemi et pour crime contre l’humanité, à la prison à vie. Dans un cachot étroit. Avec pour seule compagnie celle des livres de nos grands auteurs que, de toute évidence, vous n’avez jamais lus, ou dont vous n’avez strictement rien compris. »

Ubu Macron était immobile dans le box. Quelques injures fusèrent dans la salle. Un « à mort ! » cingla. 

Après en avoir délibéré, le jury populaire condamna Macron à la prison perpétuelle. 

 

Un nouveau monde, que tous espéraient moins laid, pouvait déployer ses ailes…

Auteur(s): Alexandre Gerbi pour FranceSoir