LES POUBELLES FRANCAISES DE FRED

LES POUBELLES FRANCAISES DE FRED

dimanche 29 septembre 2013

SAINT-MICHEL, SUISSE, FRANCE, SAVOIE, FRANCOIS DE SIEBENTHAL, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

michael6

La Suisse se prépare à une attaque militaire de la république française "surendettée"


Source: François de Siebenthal
La Suisse se prépare à une attaque militaire de la France "surendettée", "en complète déroute financière" ! «Saônia», Etat ruiné situé dans l’actuel Jura français, accuse la Suisse d’être responsable de son déclin.


Dans l’exercice 2013 des brigades blindées de Suisse romande, qui s’est déroulé du 26 au 28 août, l’armée suisse a imaginé une attaque de la France contre la Confédération, révèle le journal Le Matin Dimanche.(1)
 Concrètement, selon le scénario retenu, l’armée a imaginé que la république dite "française", en complète déroute financière, s’est désintégrée en plusieurs entités régionales, sous l’effet de la crise, et l’une d’elle, baptisée «la Saônia» a décidé d’attaquer la Suisse, forcée ainsi de se défendre.
Trois points de passage
 L’exercice appelé "Duplex-Barbara" est fondé sur une invasion de la «Saônia», le territoire du Jura français, à partir de trois points de passage, proches de Neuchâtel, Lausanne et Genève (Carte ci-contre que le journal a pu consulter).
Une organisation paramilitaire proche du gouvernement de la Saônia, et appelée BLD (Brigade Libre de Dijon) veut «venir chercher l’argent que la Suisse a volé à Saônia», selon l’exercice militaire et organise des attentats en Suisse.
 En 2012, l’exercice militaire suisse, appelé «Stabilo Due», prévoyait la chute de l’euro, entraînant un chaos social en Europe et un afflux de réfugiés en Suisse. (2)
 Dimanche dernier 22 septembre, les Suisses ont voté à une très large majorité (73,2%) pour que le service militaire reste obligatoire. Le peuple suisse a ainsi balayé l’initiative du Groupe pour une Suisse sans armée (GSsA). Aucun canton n’a soutenu le texte. Le texte a obtenu son meilleur score dans le canton de Genève, avec seulement 57,9% de «non», et dans le Jura (58,6%). Viennent ensuite, côté romand, Neuchâtel (62,4%), Vaud (66,2%), Fribourg (70,5%) et le Valais (74,8%). (3)
Ainsi, 73,2% des votants ont dit non à la proposition du Groupe pour une Suisse sans Armée (GSsA), qui demandait la fin du service militaire obligatoire et de le remplacer soit par des volontaires, soit par une petite armée de métier.
L’armée de milice constituée de citoyens-soldats est l’un des piliers fondateurs de la nation suisse. Ses effectifs aujourd’hui sont de 155’000.
La majorité des pays européens ont abandonné le service militaire au profit d’une armée de métier.
Sources:
(1) http://www.lematin.ch/suisse/armee-suisse-simule-lattaque-dune-france-surendettee/story/28550466
(2) http://www.20min.ch/ro/news/suisse/story/Scenario-d-entra-nement–la-France-attaque-21378994
(3) http://www.20min.ch/ro/news/suisse/story/28093672


. François Hollande augmente la dette sans croissance
. La dette française va exploser tous les records en 2014
Il y a ce lien sur le blog Christ Roi d’aujourd’hui, d’ailleurs Fête de Saint Michel dont je souhaite les effets protecteurs et bénéfiques à tous ceux et celles qui œuvrent à réaliser ici bas notre cause sacrée.
 
Il serait sûrement urgent et sage que la Suisse dénonce et annule les accords de Schengen que la Suisse a, hélas, signé. Ces accords, sortis de la stratégie frelatée des mondialistes, permettent aux délinquants de toute nature de déplacer à leur guise tous les dangers imaginables… 
 
http://christroi.over-blog.com/article-la-suisse-se-prepare-a-une-attaque-militaire-de-la-republique-fran-aise-surendettee-120311357.html
 
Saint Michel Archange, c’est aujourd’hui votre Fête, de votre épée épargnez-nous !
michael6
  Frédéric BERGER

GRENOBLE, ISERE, GOERGES FORNEY, RACISME, MANUEL VALLS, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

                                                                                                            ACTE DE RATONNADE PAR DES BARBOUZES


http://www.victime-ripou.com/annexe/barbouzes-pour-elus.htm

Communiqué de presse de GEORGES FORNEY
Nouvelle brutalité policière à caractère raciste 6 septembre 2013  (à Eybens près de Grenoble)
Youcef Ouateli maghrébin, musulman pratiquant, milite sans relâche pour le droit des enfants, également contre la pédophilie et les trafics d'influence dans les tribunaux. 
Le 6 septembre à 1h30 du matin, une voiture banalisée surgit, trois individus en jaillissent, sans décliner leurs fonctions, leurs identités, braquent un projecteur pour aveugler les personnes présentes. 
Le comité de soutien dont Youcef Ouateli devait répondre à un 4 ème contrôle d'identité sur ce lieu dans la journée alors que la surveillance policière dans les jours précédents avait quasiment disparue au pied de la cheminée devenue support de revendications des familles !
Ce 6 septembre exaspéré par les violences policières à caractère raciste et le harcèlement qu'il avait déjà subit auparavant par des «Contrôles au faciès » Il leur demande alors fermement de cesser cette agression de prouver qui ils sont et d'éteindre leur projecteur. Pour toute réponse, il reçoit un coup de poing dans le ventre qui le projette au sol, il est alors menotté, les mains dans le dos, le visage plaqué violemment au sol sous les yeux de Pierre et Nadine qui ont tenté de filmer en présence d'un ex facteur et factrice au service d'élus locaux dénigrant en permanence l'action de la cheminée depuis deux mois.
Cette intervention de trois barbouzes était pour dissuader les soutiens à René Forney qui a tout vu du haut de la cheminée d'Eybens où il était perché depuis deux mois pour dénoncer les dérives dans les affaires familiales. Nous avons d'abord tous pensés dans l'obscurité aux mêmes agresseurs lors de la manifestation de la fête du travail à Grenoble.
Ces agents de la brigade canine (BAC) seraient habitués à mâter avec force les rebellions dans les banlieues; reconnus particulièrement efficaces dans ce domaine par Patrick Mairesse, patron de la police de l'Isère. ils sont considérés comme de véritables cow-boys par la gendarmerie.
Cet acte de violence aurait été organisé par les ex facteurs sur place qui serait en lien avec les réseaux que dénonce Youcef Ouateli ainsi que René Forney et bien d'autres.
Plus qu'un règlement de compte, il s'agit donc d'une « ratonnade » planifiée à caractère raciste soutenu par des groupes influents. Nous ne pouvons tolérer que perdure cette violence institutionnelle que subissent les musulmans de façon récurrente en France. Mobilisons nous pour que cesse ce harcèlement car Youcef craignant de subir d'autres violence est parvenu jusqu'à la gendarmerie la plus proche avec le véhicule de ses agresseurs alors qu'ils négociaient pour ne pas être filmés.
Soutenez Youcef Ouateli le mercredi 2 novembre à l'audience du tribunal de Grenoble. Ces trois barbouzes doivent répondre à qui ils ont obéis car la multiplicité des pressions répétées de la journée du jeudi 5/09/13 ne peuvent être un hasard.
https://www.facebook.com/events/624208517611963/624618950904253/?notif_t=plan_mall_activity

SUISSE, NEUTRALITE, EMEUTE, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER, FRANCOIS DE SIEBENTHAL

La Suisse se prépare au pire ! Elle se prépare à mobiliser ses troupes au cas où les débordements en Europe

http://www.youtube.com/watch?v=2KdfRjYPiaA
La Suisse vient de former quatre nouveaux bataillons militaires et est en passe de déployer ses troupes le long de ses frontières en vue d'anticiper tout désordre social qui pourrait découler de l'effondrement de la zone Euro.
Bien qu'elle compte parmi les nations les plus stables et économiquement fortes de notre monde -- et ce principalement pour avoir refusé d'adopter l'euro -- la Suisse se prépare à mobiliser ses troupes au cas où les débordements en Europe venaient à atteindre ses frontières.
"Le ministre Mauer, accompagné du chef des armées Suisse, tente de faire comprendre à son peuple que la crise politique et fiscale européenne pourrait prendre une ampleur plutôt déplaisante", écrit John R. Schindler, professeur des affaires de sécurité nationale à l'US Naval War College.
"Les exercices menés par les militaires Suisses en septembre, surnommés "STABILO DUE", ont été basés sur l'éventualité d'une instabilité Européenne devenue hors-de-contrôle -- une chose dont se réjouissent aujourd'hui les Suisses fortunés et, s'il est une chose qu'ils ne veulent pas, c'est que les problèmes de l'Europe débordent dans leur petit pays si paisible."
Mauer s'inquiète de la concentration militaire européenne actuelle, au plus bas depuis la Guerre Froide. Pour lui, c'est une porte ouverte aux insurrections et aux guerres raciales.
Schindler note que si la colère des musulmans venait à monter d'un cran par rapport à la rage qu'avait engendré la vidéo YouTube insultant le prophète Mahomet, les immigrants des pays européens pourraient se soulever.
"Les personnes chargées de la sécurité intérieure des pays européens savent très bien que si un nouvel Anders Breivik venait à s'en prendre aux musulmans, la situation pourrait rapidement s'enlaidir. Il est difficile de s'imaginer comment les forces militaires européennes très restreintes pourraient faire face à des conflits sociaux majeurs. (Et ne demandez pas l'aide de l'oncle Sam, la dernière chose que désire le Pentagone est d'être engagé dans une action anti-émeute -- particulièrement si elle consiste à étouffer un soulèvement musulman -- ou que ce soit en Europe)."
L'armée Suisse compte 200.000 hommes et est donc conséquente compte tenu de la population du pays. Tous les hommes en âge de combattre doivent également se prêter à un entraînement militaire de base, ce qui signifie que le pays est capable de mobilier une armée très importante en cas de crise -- un fait que citent de nombreux historiens lorsqu'ils tentent d'expliquer pourquoi Hitler a refusé d'envahir la Suisse durant la Seconde Guerre Mondiale, bien que le pays était encerclé par des pays occupés par les Nazis.
Au cours de ces trois dernières années, l'Europe a souffert d'innombrables émeutes et soulèvements populaires et les tensions n'ont fait que s'accentuer ces quelques derniers mois. La France, l'Angleterre, l'Italie, la Grèce, le Portugal et plus récemment l'Espagne ont tous fait l'expérience de désordres sociaux sans précédent.
L'écart croissant entre riches et pauvres et les plans d'austérité punissent les personnes les moins responsables et les plus vulnérables à un effondrement de l'économie et nourrissent le mécontentement général.
En Espagne, qui la semaine dernière se trouvait dévastée par d'importantes émeutes, le taux de chômage des jeunes excède désormais 50% et les aides sociales ont été fortement réduites. Le taux de chômage Espagnol s'élève à 25,1%. La Suisse, en comparaison, a un taux de chômage de 2,8%. Il va sans dire que sa volonté à rester en dehors de l'euro est une attitude admirable.
Lorsque la Suisse, traditionnellement réservée et neutre, commence à mobiliser ses troupes militaires en prévention de l'éventuel effondrement de toute forme d'ordre et de loi en Europe, c'est vraiment qu'il y a un problème.
http://www.youtube.com/watch?v=2KdfRjYPiaA

samedi 28 septembre 2013

                                       LES JUIFS-SIONISTES CONTRÔLENT WALL-STREET, donc le MONDE

DAVID DUKE , en pleine forme, nous fait un réquisitoire véridique quant au contrôle exercé par les juifs-sionistes sur WALL-STREET et tous les banksters, comme la FED et le FMI.

Les sionistes contrôlent les banksters et la planète entière.

Ils sont partout: dans les merdias, dans toutes les presses-tituées, dans les chansons, dans la musique, dans la politique, dans les gouvernements, dans la RAIE-POUXBLIQUE FRANCAISE, dans tous les organes et institutions internationales, bref ils dirigent le monde.

Voici la vidéo maison de l’Écho des Montagnes
  Voici 2 documents de la bibliothèque de l’Écho des Montagnes:

David Duke - Der judische Extremismus David Duke - How Israel Caused The 911
et
David Duke - How Israel Caused The 911

Frédéric BERGER, rédacteur en chef de l’Écho des Montagnes

MARION CASTAING, PALESTINE, ISRAËL, CRIF, LICRA, SOS RACISME, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

C’est d’un « commun accord » que la France et le régime israélien ont décidé d’expulser Marion Castaing de son poste d’attachée culturelle du Consulat de France à Jérusalem, annonce Haaretz. On en attendait pas moins de notre valeureux président.


Une diplomate, privée de sa liberté de circulation en Palestine et brutalisée par une armée d’occupation (qui a le culot de se nommer « police des frontières », alors qu’elle n’en respecte aucune), et ce n’est pas à Israël de rendre des comptes, mais à la diplomate de partir !
Elle aurait désobéi à l’armée —qui se trouvait en territoire palestinien en toute illégalité— se plaint Israël. Et en plus, cette diplomate française aurait rendu un coup à un soldat, après avoir été malmenée.

Nous félicitons Marion Castaing pour sa dignité et sa solidarité avec les personnes persécutées, puisqu’elle allait porter de l’aide à des Bédouins expulsés de leurs maisons dans la vallée du Jourdain.

Son renvoi, qui devrait prendre effet fin décembre, selon Haaretz, est scandaleux.
La France l’accepte comme elle accepte l’occupation, la colonisation, toutes les exactions contre les Palestiniens, femmes, hommes et enfants, comme elle accepte le blocus de la population gazaouie, ainsi que les coups déjà portés, à plusieurs reprises, à ses diplomates par la police ou l’armée israélienne.

Ce gouvernement n’en n’est vraiment plus à une bassesse près. Et Hollande pourra rendre visite à son pote, le fasciste Netanyahou, toute honte bue en novembre prochain, puisqu’ils défendent en fait les mêmes « valeurs ».
Ce ne sont pas celles de Marion Castaing.
Ce ne sont pas les nôtres.
CAPJPO-EuroPalestine

mardi 24 septembre 2013

SAVOIE, AVOCAT FABRICE BONNARD, JUGE, CARPA ALBERTVILLE, STALINE, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

PROCÈS POLITIQUE EN SAVOIE DE MAITRE FABRICE BONNARD !!!

LE 25 SEPTEMBRE 2013 A 14H00 COUR D’APPEL DE CHAMBERY.


Mercredi 25 septembre 2013 à 14 h 00
Un évènement historique pour la Savoie
A la cour d'appel de Chambéry le procès politique de Maître Fabrice Bonnard !
Cet évènement tant attendu ne doit être manqué par quiconque et sous aucun prétexte 
de part les révélations qui forcément vont y être faites sur le vrai statut juridique de la Savoie.
Toutes les populations sont donc appelées à venir soutenir l'Avocat défenseur de la Savoie libre
A partager sa démonstration juridique fracassante:
Un grand virage en perspective, aucune crainte ni obstacle, un avenir radieux
La renaissance diplomatique de notre pays, notre Liberté à  toutes et tous offerte

PAR SIMPLE APPLICATION DU DROIT INTERNATIONAL EN VIGUEUR ! 

Cliquez sur ce lien pour voir l'Histoire de notre patrie, la SAVOIE, pendant mille ans et

arrêtez-vous sur chaque carte de la SAVOIE!

  http://www.liveleak.com/view?i=14d_1348362692 

Frédéric BERGER, rédacteur en chef de l'Echo des Montagnes
A'rvipâ

vendredi 20 septembre 2013

ALIENS, EXTRATERRESTRES, ANGLETERRE, SAVOIE, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER


ALIENS

Les extraterrestres ont-ils débarqué en Angleterre?

 
Des scientifiques affirment avoir découvert à Wakefield en Angleterre des organismes provenant de l'espace. Il s'agirait de la première preuve de vie extraterrestre sur terre. 

 


2/3L'équipe a trouvé sur un ballon envoyé dans l'espace des organismes microscopiques.



3/3Ils vont répéter l'expérience dans un mois.


 Des scientifiques de l'Université de Sheffield affirment trouvé à Wakefield (West Yorkshire) des preuves de vie extraterrestre.
   

Cette découverte va-t-elle changer le cours de l'histoire? Des scientifiques de l'Université de Sheffield affirment avoir trouvé à Wakefield (West Yorkshire) des preuves de vie extraterrestre, informe The Telegraph.

Au mois d'août, ils ont lancé un ballon spécialement conçu à 27 km au-dessus de la surface de la terre lors d'une pluie d'étoiles filantes dite des Perséides. Objectif: prélever des échantillons via des capteurs déclenchés uniquement entre 22 et 27 km. A son retour, le ballon a atterri à Wakefield. Surprise: l'équipe découvre dessus des organismes microscopiques mais d'une taille bien trop grande selon eux pour faire partie de notre système.

Théorie de l'évolution à revoir

Pour le professeur Milton Wainwright, il s'agit d'une découverte révolutionnaire. «Des particules de cette taille ne peuvent être transportées dans la stratosphère en dehors d'un mécanisme exceptionnel comme par exemple une violente éruption, qui n'a pas eu lieu», explique-t-il. «Ces entités biologiques ne peuvent donc provenir que de l'espace. Notre conclusion est que la vie n'est pas limitée à cette planète. Si des organismes arrivent sur terre depuis là-haut, cela change notre vision de la biologie et de l'évolution.»
L'équipe fera un nouveau test le mois prochain lors d'une pluie de météorites. (Newsnet)

mardi 17 septembre 2013

PALESTINE, ZIAD MEDOUKH, ISRAËL, SABRA ET CHATILA, JUIF, CRIF, LICRA, AIPAC, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER



Il y a 31 ans : les massacres de Sabra et Chatila 

Quand les crimes israéliens seront-ils  jugés ?

Ziad Medoukh




Depuis le début de leur occupation et de leur déportation par l'armée israélienne, les Palestiniens souffrent des différents massacres et crimes commis contre eux par cette armée, à l'intérieur comme  à l"extérieur de la Palestine.



Depuis 1948, plusieurs crimes et massacres ont fait des milliers de victimes coté palestinien, en majorité des enfants, des femmes et des personnes âgées, qui ont donné de leur sang à Deir Yassin, à Kfer Kassem, à Safed, en passant par Jénin et Gaza, sans oublier le Liban et la Jordanie.


Ces jours-ci, les Palestiniens commémorent le 31ème anniversaire des massacres de Sabra et Chatila, commis par l'armée israélienne contre les réfugiés qui se trouvaient isolés dans ces deux camps de la capitale libanaise.

Nous pensons  à tous ces Palestiniens qui ont été tués et assassinés par les forces de l'occupation israélienne, directement ou indirectement, nous pensons aux milliers de Palestiniens tués en 1982 dans les camps de réfugiés de Sabra et de Chatila par les milices libanaises et les soldats israéliens.


15,16 et 17 septembre 1982 ! Il y a 31 ans maintenant, trois jours de terreur israélienne dans des camps de réfugiés palestiniens, trois jours sans que personne ne bouge dans notre monde. Après ces trois jours, le monde s'est réveillé devant le massacre le plus meurtrier de notre histoire contemporaine: des soldats israéliens et des miliciens libanais ont pénétré dans les deux camps de réfugiés palestiniens de la capitale libanaise Beyrouth pour commettre un crime de guerre, un crime contre l'humanité.


Les victimes étaient des Palestiniens, leur seule faute était d’être des palestiniens ! Ils sont nés palestiniens, ils ont quitté leurs villages et leurs villes en 1948 pour venir vivre quelques années au Liban en attendant le retour sur leur terre d’origine, à Jaffa ,Akka, Haifa et Nazereth. Mais les quelques années sont devenues plus d'un demi siècle. Leur faute était d’avoir  offert à la Palestine et au Liban des résistants, des militants, des activistes, et des révolutionnaires, qui ont ,en trois mois, donné des leçons de résistance à l'armée israélienne, quand cette armée a envahi le Liban en juin 1982.



Oui, 88 jours de résistance historique de quelques centaines de militaires palestiniens-avec des armes légères- contre une armée bien équipée ( avions de guerre, chars, tanks, hélicoptères militaires, bateaux militaires, soldats, officiers) et, malgré le déséquilibre des deux forces en présence et la différence de moyens, les Palestiniens, chefs, militaires et citoyens -ont résisté trois mois ,sous les bombardements quotidiens  et sous les missiles israéliens.



Bien évidemment, ces crimes israéliens sont restés sans jugement  et aucune instance de la communauté internationale officielle n’a osé critiquer ou dénoncer ces massacres commis contre les civils; bien au contraire; l'armée israélienne a continué ses crimes contre les Palestiniens, en Cisjordanie, dans la bande de Gaza, dans les territoires de 1948 et à l'extérieur de la Palestine.



Aujourd'hui ,le gouvernement israélien essaye d'effacer son passé criminel en montrant au monde entier qu'il est prêt à faire des concessions aux Palestiniens par des négociations de paix qui n'avancent jamais  Différents gouvernements israéliens se sont succédés et cette politique coloniale et criminelle perdure.



Nous n'oublierons jamais l'histoire noire de cette occupation ni son passé criminel; tout cela va rester gravé dans la mémoire de nos enfants et de nos jeunes; personne n'oubliera les massacres, les crimes et les agressions israéliennes permanentes contre les Palestiniens à l'intérieur et à l'extérieur de la Palestine



Aujourd'hui, nous rendons un vibrant hommage à nos martyrs morts au Liban, dans les camps de réfugiés et partout dans le monde, pour que la Palestine soit libre,  et avant tout, nous adressons une seule question à ce monde dit libre  :

Quand les crimes israéliens seront-ils jugés?

dimanche 15 septembre 2013

RENE HOFFER, PAPEETE, TAHITI, COUR DE CASSATION, POLYNESIE, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

Cour de cassation "Commission nationale de réparation des détentions.

Par René HOFFER, Le président de "la Polynésie française", des Françaises et des Français.

 


Incarcéré du 22 juin 2010 au 19 août 2010 puis mis sous contrôle judiciaire - contre lequel je m'étais pourvu en cassation et qui donc le suspendait !!! -, j'ai fais un recours en indemnisation sans mentionner d'article de loi en particulier.



 josethorel-b THTribune corbeau

Devant le Premier président de la cour d'appel "de Papeete", après une introduction d'une QPC (question prioritaire de constitutionnalité) qui a été rejetée bien que la question fût nouvelle et concernât mon affaire, elle a été jugée "non sérieuse". Cette QPC portait sur l'article 149 du code de procédure pénale concernant les détentions provisoires.

 
Premier élément venant en mon sens: dans son rejet de la QPC, le Premier président Jean-Pierre ATTHENONT parti à la retraite depuis, a relevé une détention "subie".
 
Or une telle détention ne figure pas dans le code pénal ou dans le code de procédure pénale...
 
J'ai donc saisi la Commission nationale de réparation des détentions (CNRD) qui est un organe de la cour de cassation pour qu'elle statue sur le rejet opposé.
 
Ayant obtenu l'aide juridictionnelle, trois avocats à la cour de cassation et au conseil d'Etat se sont déjà fait porter pâle: Dominique FOUSSARD, Chantal ROUVIERE, et la SCP NICOLAY, DELANOUVELLE et HANNOTIN. Je serais assisté de l'avocat Blaise CAPRON qui aura traité ce dossier de façon très professionnelle même si à distance tout n'aura pas été aussi facile.
 
Le gros HIC: la CNRD ne m'ayant jamais communiqué l'état du dossier tel un numéro SAGACE, j'ai été écarté de la procédure de ce fait mais également, du fait de la non-communication d'une adresse e-mail m'ayant obligé à envoyer en recommandé avec AR plusieurs courriers et pièces.
 
Ce dossier à lui seul est une saga, je vais m'en tenir à ces quelques éléments en annonçant que l'audience est publique et que donc le mieux s'est d'y venir hahahaha.
 
 
 
Avec Honneur

Le président de "la Polynésie française", des Françaises et des Français
René, Georges, HOFFER
Tél (689) 77 71 70


 Frédéric BERGER, rédacteur en chef de l’Écho des Montagnes
A'rvipâ




 

XAVIER MANIGUET, FRANCOIS MITTERRAND, LAURENT FABIUS, OUVEA, RAINBOW WARRIOR, GREENPACE, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER


                                                                       LAURENT FABIUS SERAIT-IL UN LÂCHE?


L’Écho des Montagnes, dans le légitime but de vous informer, continue de révéler la vérité sur l'affaire du RAINBOW WARRIOR, bateau armé par GRENNPACE, payé par ROCKFELLER.
GREENPACE est une officine de la C.I.A., après avoir été celle du K.G.B.!
Un 4ème voilier était présent sur les lieux  à AUCKLAND, en NOUVELLE ZÉLANDE, lors du sabotage du RAINBOW WARRIOR,  le 10 juillet 1985.
Rainbow Warrior in Auckland Harbour after bombing by French secret service agents.
En FRANCE aucun rapport de police ou de gendarmerie  ou rapport officiel ne mentionne la présence de ce 4ème voilier, et pour cause, il est barré par un agent de la D.G.S.E,
le colonel XAVIER MANIGUET.
Même procédé pour la présence d'une voiture d'un patron de la SDCE, lors de l'attentat du Petit-Clamart, le 22 aout 1962 à CLAMART!
Xavier Maniguet est mort le 22 mars 2009 après un accident d'avion sur le glacier de Saint-Sorlin près de Saint-Sorlin-d'Arves, après avoir décollé de l'altiport de Méribel, accident d'avion
pour les uns, mais assassinat pour les autres, suite à l'absorption d'un produit nocif, la veille dans un restaurant.
La raison de cet assassinat est la remise du document ci-dessous, qui met en cause Laurent FABIUS, ancien premier ministre lors de l'affaire du Rainbow warrior.

Documents exclusifs de votre journal préféré:

Rapport sur "l'accident d'avion, qui n'exclue pas , comme le dit la B.E.A. :
L’accident est dû à la perte de contrôle de l’avion par le pilote à basse hauteur
après le décollage du glacier. Il n’a pas été possible d’établir précisément la
cause de la perte de contrôle. Cependant l’hypothèse d’un malaise du pilote
ne peut être écartée.
Cliquez sur pour voir le rapport:


Dossier secret écrit, en scoop, par XAVIER MANIGUET, concernant l'affaire du RAINBOW WARRIOR et LAURENT FABIUS:


Conclusion:


Pour XAVIER MANIGUET,
                                                  xavier

LAURENT FABIUS EST UN LÂCHE.

Alors que vaut la parole de LAURENT FABIUS, ministre des affaires qui lui sont étrangères, sauf les affaires d'USRAËL, quand il déclare que BACHARD , président de la Syrie Souveraine, a utilisé contre son Peuple Aimé, du gaz sarin?
Pourquoi LAURENT FABIUS ne demande-t-il pas le démantèlement de l'arsenal chimique
d'ISRAËL???? 

Pour Frédéric BERGER, rédacteur en chef, l'honneur de CHARLES HERNU est rétabli.

Frédéric BERGER

vendredi 13 septembre 2013

SYRIE, GAZ SARIN, DGSE, RAINBOW WARRIOR, LAURENT FABIUS, CHERIF ABDEDAÏM, LA NOUVELLE REPUBLIQUE, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER


Centre  Français  de  Recherche  sur  le  Renseignement

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INTERVENTION  EN  SYRIE  :    
LA  RECHERCHE  D’UN  PRÉTEXTE  A  TOUT  PRIX



Eric  Denécé  

AVIS de la rédaction de l'Echo des Montagnes:


 Ce  texte  reprend,  pour  partie,  des  analyses  produites  par  Alain  Chouet,  Alain  Corvez  et  Alain  Rodier,  tous  
trois  anciens  officiers  du  renseignement  français.


La   coalition   réunissant   les   Etats-­‐Unis,   le   Royaume   Uni,   la   France,   la   Turquie,  
l’Arabie   saoudite   et   le   Qatar   vient   de   franchir   un   nouveau   pas   dans   sa   volonté  
d’intervenir   en   Syrie   afin   de   renverser   le   régime   de   Bachar   El-­‐Assad.   Utilisant   ses  
énormes   moyens   de   communication,   elle   vient   de   lancer   une   vaste   campagne  
d’intoxication   de   l’opinion   internationale   afin   de   la   convaincre   que   Damas   a   utilisé  
l’arme   chimique   contre   son   peuple,   commettant   ainsi   un   véritable   crime   contre  
l’humanité  et  méritant    «  d’être  puni  ».  
Aucune   preuve   sérieuse   n’a   été   présentée   à   l’appui   de   ces   affirmations.   Au  
contraire,  de  nombreux  éléments  conduisent  à  penser  que  ce  sont  les  rebelles  qui  ont  
utilisé  ces  armes.  Ces  mensonges  médiatiques  et  politiques  ne  sont  que  des  prétextes.  Ils  
rappellent  les  tristes  souvenirs  du  Kosovo  (1999),  d’Irak  (2003)  et  de  Libye  (2010)  et  
ont  pour  but  de  justifier  une    intervention  militaire  afin  de  renverser  un  régime  laïque,  
jugé  hostile  par  les  Etats-­‐Unis    -­‐  car  allié  de  l’Iran  et  ennemi  d’Israël  -­‐  et  impie  par  les  
monarchies  wahhabites  d’Arabie  saoudite  et  du  Qatar.  Il  est  particulièrement  affligeant  
de  voir  la  France  participer  à  une  telle  mascarade.  


La  falsification  des  faits  


Depuis   deux   ans,   des   informations   très   contradictoires   et   souvent   fausses  
parviennent  en  Europe  sur  ce  qui  se  passe  actuellement  en  Syrie.  Il  est  ainsi  difficile  de  
comprendre  quelle  est  la  situation  exacte  dans  ce  pays.  Certes,  le  régime  syrien  n’est  pas  
un  modèle  démocratique,  mais  tout  est  mis  en  œuvre  par  ses  adversaires  afin  de  noircir  
le   tableau,   dans   le   but   d’assurer   le   soutien   de   l’opinion   internationale   à   l’opposition  
extérieure  et  de  justifier  les  mesures  prises  à  son  encontre,  dans  l’espoir  d’accélérer  sa  
chute.  




Cette  falsification  des  faits  dissimule  systématiquement  à  l’opinion  mondiale  les  
éléments  favorables  au  régime  :  
-­‐  le  soutien  qu’une  grande  partie  de  la  population  syrienne  -­‐  principalement  les  sunnites  
modérés   et   les   minorités   (chrétiens,   druzes,   chiites,   kurdes)   -­‐   continue   d’apporter   à  
Bachar  El-­‐Assad,  car  elle  préfère  de  loin  le  régime  actuel  –  parfois  par  défaut  -­‐  au  chaos  
et  à  l’instauration  de  l’islam  radical  ;    
-­‐  le  fait  que  l’opposition  intérieure,  historique  et  démocratique,  a  clairement  fait  le  choix  
d’une  transition  négociée  et  qu’elle  est,  de  ce  fait,  ignorée  par  les  pays  occidentaux  ;    
-­‐   la   solidité   militaire   du   régime  :   aucune   défection   majeure   n’a   été   observée   dans  
l’armée,  les  services  de  sécurité,  l’administration  et  le  corps  diplomatique  et  Damas  est  
toujours  capable  d’organiser  des  manœuvres  militaires  majeures  ;  
-­‐  son  large  soutien  international.  L’alliance  avec  la  Russie,  la  Chine,  l’Iran  et  le  Hezbollah  
libanais  ne  s’est  pas  fissurée  et  la  majorité  des  Etats  du  monde  s’est  déclarée  opposée  à  
des  frappes  militaires,  apportant  son  soutien  total  aux  deux  membres  permanents  du  
Conseil   de   Sécurité   de   l’ONU   -­‐   Russie   et   Chine   -­‐   qui   ont   clairement   indiqué   qu’ils  
n’autoriseraient   pas   une   action   armée   contre   la   Syrie.   Rappelons   également   que   le  
régime  syrien  n’a  été  à  ce  jour  l’objet  d’aucune  condamnation  internationale  formelle  et  
demeure  à  la  tête  d’un  Etat  membre  à  part  entière  de  la  communauté  internationale  ;  
-­‐  le  refus  délibéré  des  Occidentaux,  de  leurs  alliés  et  de  la  rébellion  de  parvenir  à  une  
solution  négociée.  En  effet,  tout  a  été  fait  pour  radicaliser  les  positions  des  ultras  de  
Damas  en  posant  comme  préalable  le  départ  sans  condition  du  président  Bachar.  
Au  contraire,  l’opposition  extérieure,  dont  on  cherche  à  nous  faire  croire  qu’elle  
est   LA   solution,   ne   dispose   d’aucune   légitimité   et   demeure   très   éloignée   des   idéaux  
démocratiques  qu’elle  prétend  promouvoir,  en  raison  de  ses  options  idéologiques  très  
influencées  par  l’islam  radical.    

De  plus,  la  rébellion  syrienne  est  fragmentée  entre  :  
-­‐   une   opposition   politique   extérieure   groupée   autour   des   Frères   musulmans,  
essentiellement  contrôlée  par  le  Qatar  et  la  Turquie  ;    
-­‐  une  «  Armée  syrienne  libre  »  (ASL),  composée  d'officiers  et  d'hommes  de  troupe  qui  
ont  déserté  vers  la  Turquie  et  qui  se  trouvent,  pour  la  plupart,  consignés  dans  des  camps  
militaires  faute  d’avoir  donné  des  gages  d'islamisme  suffisants  au  parti  islamiste  turc  
AKP.  Son  action  militaire  est  insignifiante  ;    
-­‐  des  combattants  étrangers,  salafistes,  qui  constituent  sa  frange  la  plus  active  et  la  plus  
violente,   financés   et   soutenus   par   les   Occidentaux,   la   Turquie,   le   Qatar   et   l’Arabie  
saoudite.  
Ainsi,   la   Syrie   connaît,   depuis   deux   ans,   une   situation   de   guerre   civile   et   des  
affrontements  sans  merci.  Comme  dans  tous  les  conflits,  les  victimes  collatérales  des  
combats   sont   nombreuses,   ainsi   que   les   atrocités.   Toutefois,   les   grands   médias  
internationaux  qui  donnent  le  ton  –  qui  appartiennent  tous  aux  pays  hostiles  à  la  Syrie  -­‐  
cherchent   à   donner   l’impression   que   les   exactions,   massacres   et   meurtres   sont  
exclusivement  le  fait  du  régime  et  de  son  armée.    
Si  certaines  milices  fidèles  au  régime  ont  commis  des  exactions,  cela  ne  saurait  en  
aucun  cas  dissimuler  les  innombrables  crimes  de  guerre  qui  sont  chaque  jour,  depuis  
deux,  ans  l’œuvre  de  la  rébellion,  et  dont  sont  victimes  la  population  syrienne  fidèle  au  
régime,  les  minorités  religieuses  et  les  forces  de  sécurité.  Ce  fait  est  systématique  passé  
sous   silence.   Pire,   les   nombreux   actes   de   barbarie   des   djihadistes   soutenus   par  
l’Occident,  la  Turquie  et  les  monarchies  wahhabites  sont  même  souvent  attribués  au  
régime  lui-­‐même,  pour  le  décrédibiliser  davantage.  


L’Observatoire   syrien   des   droits   de   l’Homme   (OSDH),   principale   source   des  
médias  sur  les  victimes  de  la  «  répression  »,  est  une  structure  totalement  inféodée  à  la  
rébellion,   crée   par   les   Frères   musulmans   à   Londres.   Les   informations   qu’il   diffuse  
relèvent  de  la  pure  propagande  et  n’ont  donc  aucune  valeur  ni  objectivité.  S’y  référer  est  
erroné  et  illustre  l’ignorance  crasse  ou  de  la  désinformation  délibérée  des  médias.  
Enfin,  face  à  ce  Mainstream  médiatique  tentant  de  faire  croire  que  le  Bien  est  du  
côté   de   la   rébellion   et   de   ses   alliés   afin   d’emporter   l’adhésion   de   l’opinion,   toute  
tentative   de   vouloir   rétablir   un   minimum   d’objectivité   au   sujet   de   ce   conflit   est  
immédiatement  assimilée  à  la  défense  du  régime.  


Les  objectifs  véritables  d’une  intervention  en  Syrie  


Dès  lors,  on  est  en  droit  de  s’interroger  sur  les  raisons  réelles  de  cet  acharnement  
contre  Bachar  Al-­‐Assad  et  d’en  rechercher  les  enjeux  inavoués.  Il  en  existe  au  moins  
trois  :    
-­‐   casser   l’alliance   de   la   Syrie   avec   l’Iran  ;   le   dossier   iranien   conditionne   largement   la  
gestion  internationale  de  la  crise  syrienne.  En  effet,  depuis  trois  décennies,  Damas  est  
l’allié   de   l’Iran,   pays   phare   de   «  l’axe   du   mal  »   décrété   par   Washington,   que   les  
Américains  cherchent  à  affaiblir  par  tous  les  moyens,  tant  en  raison  de  son  programme  
nucléaire,   de   son   soutien   au   Hezbollah   libanais,   que   de   son   influence   régionale  
grandissante  ;  
-­‐  rompre  «  l’axe  chiite  »  qui  relie  Damas,  Bagdad,  Téhéran  et  le  Hezbollah,  qui  est  une  
source  de  profonde  inquiétude  pour  les  monarchies  du  Golfe  qui  sont,  ne  l’oublions  pas,  
des  régimes  autocratiques  et  qui  abritent  d’importantes  minorités  chiites.  Ainsi,  Ryad  et  
Doha  ont  désigné  le  régime  iranien  comme  l’ennemi  à  abattre.  Elles  veulent  la  chute  du  
régime  syrien  anti-­‐wahhabite  et  pro-­‐russe,  afin  de  transformer  la  Syrie  en  base  arrière  
pour  reconquérir  l’Irak  -­‐  majoritairement  chiite  -­‐  et  déstabiliser  l’Iran.  Elles  cherchent  
aussi   à   liquider   le   Hezbollah   libanais.   En   cela,   leur   agenda   se   confond   avec   celui   de  
Washington  ;  
-­‐  détruire  les  fondements  de  l’Etat-­‐nation  laïc  syrien  pour  le  remplacer  par  un  régime  
islamiste.  Cela  signifie  livrer  Damas  aux  forces  wahhabites  et  salafistes  favorables  aux  
pétromonarchies  du  Golfe,  ce  qui  signifie  l’éclatement  du  pays  en  plusieurs  entités  en  
guerre   entre   elles   ou,   pire,   l’asservissement   voire   le   massacre   des   minorités   non  
sunnites.    

Ces  objectifs  non  avoués  n’ont  pas  été  jusqu’ici  atteints  et  ne  le  seront  pas  tant  
qu’existera  le  soutien  sino-­‐russe  et  tant  que  l’axe  Damas-­‐Téhéran  ne  se  disloquera  pas.  


Le  faux  prétexte  des  armes  chimiques  


Face  à  la  résistance  de  l’Etat  syrien  et  de  ses  soutiens,  la  coalition  américano-­‐
wahhabite  a  décidé  d’employer  les  grands  moyens  afin  de  faire  basculer  l’opinion  et  de  
justifier  une  intervention  militaire  :  accuser  Damas  de  recourir  aux  armes  chimiques  
contre  sa  propre  population.  

Une   première   tentative   a   été   entreprise   en   avril   dernier.   Malheureusement,  
l’enquête  des  inspecteurs  de  l’ONU  a  révélé  que  l’usage  d’armes  chimiques  était  le  fait  de  
la  rébellion.  Ce  rapport  n’allant  pas  dans  le  sens  que  souhaitait  la  coalition  américano-­‐


wahhabite,  il  a  été  immédiatement  enterré.  Seul  le  courage  de  Carla  del  Ponte  a  permis  
de  révéler  le  pot  aux  roses.  Notons  cependant  que  les  «  médias  qui  donnent  le  ton  »  se  
sont  empressés  de  ne  pas  lui  accorder  l’accès  à  leur  antenne  et  que  cette  enquête  a  été  
largement  passée  sous  silence.  

Les   événements   du   21   août   dernier   semblent   clairement   relever   de   la   même  
logique.  Une  nouvelle  fois,  de  nombreux  éléments  conduisent  à  penser  qu'il  s'agit  d'un  
montage   total,   d’une   nouvelle   campagne   de   grande   envergure   pour   déstabiliser   le  
régime  :  
-­‐  le  bombardement  a  eu  lieu  dans  la  banlieue  de  Damas,  à  quelques  kilomètres  du  palais  
présidentiel.  Or,  nous  savons  tous  que  les  gaz  sont  volatils  et  auraient  pu  atteindre  celui-­‐
ci.  L'armée  syrienne  n'aurait  jamais  fait  cela  sauf  à  vouloir  liquider  son  président  !  
-­‐  les  vecteurs  utilisés,  présentés  par  la  presse,  ne  ressemblent  à  aucun  missile  en  service  
dans  l’armée  syrienne,  ni  même  à  aucun  modèle  connu.  Cela  pourrait  confirmer  leur  
origine  artisanale,  donc  terroriste  ;  
-­‐  de  plus,  des  inspecteurs  de  l'ONU  étaient  alors  présents  à  Damas  et  disposaient  des  
moyens  d’enquête  adéquats  pour  confondre  immédiatement  le  régime  ;  
-­‐  les  vidéos  présentées  ne  prouvent  rien,  certaines  sont  même  de  grossières  mises  en  
scène  ;  
-­‐  enfin,  le  régime,  qui  reconquiert  peu  à  peu  les  zones  tenues  par  la  rébellion,  savait  
pertinemment   que   l’emploi   d’armes   chimiques   était   une   «  ligne   rouge  »   à   ne   pas  
franchir,  car  cela  déclencherait  immédiatement  une  intervention  militaire  occidentale.  
Dès  lors,  pourquoi  aurait-­‐il  pris  in  tel  risque  ?  
Aucune  preuve  sérieuse  n’a  été  présentée  à  l’appui  la  «  culpabilité  »  de  l’armée  
syrienne.  Au  contraire,  tout  conduit  à  penser  que  ce  sont  les  rebelles  qui  ont  utilisé  ces  
armes,   car   contrairement   à   ce   qui   est   avancé   par   la   note   déclassifiée   publiée   par   le  
gouvernement  français,  les  capacités  chimiques  des  terroristes  sont  avérées  :  
-­‐   en   Irak   (d’où   proviennent   une   partie   des   djihadistes   de   la   rébellion   syrienne),   les  
autorités  ont  démantelé  début  juin  2013  une  cellule  d’Al-­‐Qaida  qui  préparait  des  armes  
chimiques.  Trois  laboratoires  ont  été  trouvés  à  Bagdad  et  dans  ses  environs  avec  des  
produits  précurseurs  et  des  modes  opératoires  de  fabrication  de  gaz  sarin  et  moutarde  ;    
-­‐  en  Syrie,  le  Front  Al-­‐Nosra  est  suspecté  avoir  lancé  des  attaques  au  chlore  en  mars  
2013  qui  auraient  causé  la  mort  de  26  Syriens  dont  16  militaires  ;  
-­‐  pour  sa  part,  Al-­‐Qaida  a  procédé  en  2007  une  douzaine  d’attaques  du  même  type  à  
Bagdad  et  dans  les  provinces  d’Anbar  et  de  Diyala,  ce  qui  a  causé  la  mort  de  32  Irakiens  
et  en  a  blessé  600  autres.  En  2002,  des  vidéos  montrant  des  expérimentations  d’armes  
chimiques  sur  des  chiens  ont  été  trouvées  dans  le  camp  de  Darunta,  près  de  la  ville  de  
Jalalabad,  en  Afghanistan.  


Les  errements  de  la  politique  étrangère  française  

A   l’occasion   cet   imbroglio   politico-­‐médiatique   dans   lequel   ses   intérêts  
stratégiques   ne   sont   pas   en   jeu,   le   gouvernement   français   mène   une   politique  
incompréhensible  pour  nos  concitoyens  comme  pour  l’étranger.  
Depuis   deux   ans,   la   France,   par   le   biais   de   ses   services   spéciaux,   –   comme  
d’ailleurs  les  Américains,  les  Britanniques  et  les  Turcs  –  entraîne  les  rebelles  syriens  et  
leur  fournit  une  assistance  logistique  et  technique,  laissant  l’Arabie  saoudite  et  le  Qatar  
les  approvisionner  en  armes  et  en  munitions.    



Ainsi,   la   situation   syrienne   place   la   France   devant   ses   contradictions.   Nous  
luttons  contre  les  djihadistes  au  Mali,  après  les  avoir  aidés  à  prendre  le  pouvoir  à  Tripoli  
-­‐  en  raison  de  l’intervention  inconsidérée  de  l’OTAN  en  Libye,  en  2011,  dans  laquelle  
Paris  a  joué  un  rôle  clé  -­‐  et  continuons  de  les  soutenir  en  Syrie,  en  dépit  du  bon  sens.  
Certes  le  régime  de  Bachar  Al-­‐Assad  n’est  pas  un  modèle  de  démocratie  et  il  servait  
clairement  les  intérêts  de  la  minorité  alaouite,  mais  il  est  infiniment  plus  «  libéral  »  que  
les  monarchies  wahhabites  :  la  Syrie  est  un  Etat  laïque  où  la  liberté  religieuse  existe  et  
où   le   statut   de   la   femme   est   respecté.   De   plus,   il   convient   de   rappeler   que   Damas   a  
participé  activement  à  la  lutte  contre  Al-­‐Qaïda  depuis  2002.  Pourtant,  nous  continuons  
d’être  alliés  à  l’Arabie  saoudite  et  au  Qatar,  deux  Etats  parmi  les  plus  réactionnaires  du  
monde  arabo-­‐musulman,  qui,  après  avoir  engendré  et  appuyé  Ben  Laden,  soutiennent  
les   groupes   salafistes   partout   dans   le   monde,   y   compris   dans   nos   banlieues.   Certes,  
notre  soutien  aux  agendas  saoudien  et  qatari  se  nourrit  sans  nul  doute  de  l’espoir  de  
quelques  contrats  d’armement  ou  pétroliers,  ou  de  prêts  financiers  pour  résoudre  une  
crise  que  nos  gouvernants  semblent  incapables  de  juguler.  
Une  question  mérite  donc  d’être  posée  :  la  France  a-­‐t-­‐elle  encore  une  politique  
étrangère  ou  fait-­‐elle  celle  du  Qatar,  de  l’Arabie  saoudite  et  des  Etats-­‐Unis  ?  Depuis  la  
présidence  de  Nicolas  Sarkozy  la  France  aligne  ses  positions  internationales  sur  celles  
des  Etats-­‐Unis  et  a  perdu,  de  ce  fait,  l’énorme  capital  de  sympathie  que  la  politique  du  
général  de  Gaulle  -­‐  non  ingérence  dans  les  affaires  intérieures  des  Etats  et  défense  du  
droit  des  peuples  à  disposer  d’eux-­‐mêmes  -­‐  lui  avait  constitué.    
Si   les   élections   de   mai   2012   ont   amené   un   nouveau   président,   la   politique  
étrangère  n’a  pas  changé.  En  fait,  nous  observons  depuis  plusieurs  années  la  conversion  
progressive  d’une  partie  des  élites  françaises    -­‐  de  droite  comme  de  gauche  -­‐  aux  thèses  
néoconservatrices  américaines  :  supériorité  de  l’Occident,  néocolonialisme,  ordre  moral,  
apologie  de  l’emploi  de  la  force  …  
Surtout,  un  fait  nouveau  doit  être  mis  en  lumière  :  la  tentative  maladroite  des  
plus   hautes   autorités   de   l’Etat   de   manipuler   la   production   des   services   de  
renseignement  afin  d’influer  sur  l’opinion  publique  et  de  provoquer  un  vote  favorable  
des  parlementaires.  Ce  type  de  manœuvre  avait  été  conduit  par  Washington  et  Londres  
afin  de  justifier  l’invasion  de  l’Irak  en  2003,  avant  d’être  dénoncé.  Onze  ans  plus  tard,  le  
gouvernement   recourt   au   même   artifice   grossier   et   éculé   pour   justifier   ses   choix  
diplomatiques  et  militaires.  Compte  tenu  de  la  faiblesse  des  arguments  présentés  dans  
la  note  gouvernementale  –  qui  n’est  pas,  rappelons-­‐le,  une  note  des  services  –,  celle-­‐ci  ne  
sera  d’aucune  influence  sur  la  presse  et  l’opinion.  En  revanche,  par  sa  présentation,  elle  
contribue  à  décrédibiliser  le  travail  des  services  de  renseignement,  manipulés  à  leur  
insu  dans  cette  affaire.  
Le   mépris   des   politiques   français   à   l’égard   des   services   est   connu.   Est-­‐ce   un  
hasard  si  cette  affaire  survient  alors  que  l’actuel  ministre  des  Affaires  étrangères  est  
celui-­‐là  même  qui,  en  1985,  alors  qu’il  était  chef  du  gouvernement,  a  fort  élégamment  
«  ouvert  le  parapluie  »,  clamant  son  absence  de  responsabilité  à  l’occasion  de  l’affaire  du  
Rainbow  Warrior  ?  

Une  chose  au  moins  est  sûre  :  une  remise  à  plat  de  notre  position  à  l’égard  de  la  
Syrie  et  de  notre  politique  étrangère  s’impose,  car  «  errare  humanum  est,  perseverare  
diabolicum  ».  


Eric  Denécé  

Septembre  2013  

Lire aussi l'article du Général DELAWARE, paru dans la Nouvelle République d'ALGER:

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et sur:
                        

Frédéric BERGER