Holodomor 7 millions de chrétiens exterminés par les juifs
Publié le 01/12/2012 à 14:23 par konigsberg
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80ème anniversaire du début du génocide des chrétiens ukrainiens par les juifs soviétiques.
Lesquels juifs viennent donner des leçons de morale chaque jour aux Européens.
Nous
reproduisons un article du journaliste politique Sever Plocker, qui
fit couler beaucoup d’encre lors de sa récente publication, car Plocker,
qui travaille pour le journal hébreu Yediot Ahronot,
déchaîna à la suite de ce texte un torrent de commentaires injurieux à
son encontre, déclenchant, bien que juif lui-même, un tombereau
d’insultes diverses et variées.On le félicitera cependant d’avoir courageusement brisé le silence…
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« Les Juifs de Staline »
Quelques uns des pires meurtriers
des temps modernes étaient Juifs
Sever Plocker
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Léon Bronstein dit « Trotsky »
Un événement historique est particulièrement passé sous silence, etpourtant nous ne devons
pas oublier qu’il y a environ 90 ans, entre le 19 et le 20 décembre
1917, au cœur de la révolution bolchevique et de la guerre civile,
Lénine signa un décret créant la Commission Panrusse pour la Répression
de la Contre-révolution et du Sabotage, plus connue sous le nom de Tchéka.
En
peu de temps, la Tchéka devint l’organisation de sécurité d’Etat la
plus importante et la plus répressive. Son organisation et sa structure
évoluèrent régulièrement, tout comme son nom : de Tchékaà GPU, puis à NKVD, et plus tard à KGB.
Il est impossible de connaître avec certitude le nombre de morts dont
la Tchéka fut responsable d’une manière ou d’une autre, mais il s’évalue
probablement autour de 20 millions, incluant les victimes de la
collectivisation forcée, des famines, des purges, des expulsions, des
déportations, des exécutions et des tueries de masses dans les goulags.
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Des
pans entiers de la population furent éliminés: fermiers indépendants,
minorités ethniques, membres de la bourgeoisie, officiers supérieurs,
intellectuels, artistes, militants syndicalistes, « membres de
l’opposition » à la définition très aléatoire, et un nombre incalculable
de membres du parti communiste lui-même. Dans son dernier livre, qui
recueille beaucoup de suffrages, The War of the World, l’historien Niall
Ferguson écrit qu’aucune autre révolution dans l’histoire de l’humanité
n’a dévoré ses enfants avec le même appétit insatiable que la
révolution soviétique. De même, le Dr. Igal Halfin, de l’université de Tel Aviv, indique dans son livre sur les purges staliniennes que la violence y fut unique en ce qu’elle fut dirigée vers l’intérieur.
Mais
Lénine, Staline, et leurs successeurs n’auraient pas pu mener à bien
leurs objectifs sans une large coopération de la part d’”officiers de la
terreur” disciplinés : enquêteurs cruels, mouchards, bourreaux,
gardiens, juges, pervers, et de beaucoup d’idéalistes membres de l’aile
gauche progressiste, abusés par le régime soviétique de terreur au point
de lui décerner un certificat casher.
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Genrikh Yagoda le fondateur juif du NKVD
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Genrikh Yagoda,
fut le plus grand meurtrier juif du XXe siècle, chef adjoint de la GPU
et fondateur-dirigeant du NKVD. Yagoda a consciencieusement exécuté les
ordres de Staline pendant la collectivisation, et est responsable de la
mort d’environ 10 millions de personnes. Ses employés juifs ont mis en
place et géré le système des goulags. Après être tombé en disgrâce
auprès de Staline, Yagoda fut dégradé et exécuté, puis remplacé en tant
que chef des bourreaux, en 1936, par Yezhov, le « nain sanguinaire ».
Beaucoup de juifs ont vendu leur âme au diable de la révolution communiste et ont du sang sur les mains pour l’éternité. Nous n’en mentionnerons qu’un de plus : Leonid Reichman,
dirigeant du département spécial du NKVD et interrogateur en chef de
l’organisation, qui était un sadique particulièrement cruel. En 1934,
selon des statistiques publiées, 38,5% des officiels détenant les postes
les plus élevés dansl’appareil
de sécurité soviétique étaient d’origine juive. Eux aussi,
naturellement, furent graduellement éliminés dans les purges
successives. Lors d’un cours fascinant à une convention de l’université
de Tel Aviv cette semaine, le Dr Halfin décrivait les étapes de la
terreur soviétique comme un carnaval de meurtres de masse, un feu d’artifice de purges et l’adoration du mal.
Il apparaît que les juifs aussi, quand ils sont fascinés par une
idéologie messianique, peuvent devenir de grands meurtriers, parmi les
plus grands de notre histoire moderne.
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Lazar Kaganovitch, l’exterminateur juif de l’Ukraine
Les
juifs actifs dans l’appareil officiel de la terreur communiste (en
Union soviétique et ailleurs), et qui l’ont parfois dirigé, ne l’ont
évidemment pas fait en tant que juifs, mais plutôt en tant que
staliniens, communistes, et « camarades soviétiques ». En conséquence,
il nous est facile d’ignorer leur origine et de jouer les innocents: qu’avons-nous à voir avec eux ? Si ce n’est de les oublier. Mon opinion est différente.
« Je pense qu’il est inacceptable qu’une personne puisse être considérée comme un membre de la communauté juive quand elle réalise de grandes choses, mais en être exclue quand elle commet des actes particulièrement méprisables. ».
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Abram Aronovich Slutsky, un des dirigeants juifs du GPU
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Même
si nous le nions, nous ne pouvons pas échapper au judaïsme de « nos
bourreaux » qui ont servi la Terreur rouge avec application et loyauté
envers ses dirigeants. De toutes façons, d’autres nous rappelleront
toujours leur origine.
Sever PlockerCommémoration de l’Holodomor en Ukraine
Chaque
année, le quatrième samedi de novembre est le jour de commémoration des
victimes de l’Holodomor (famine), orchestré par l’Union Soviétique en
1932et 1933. Dans cet article, je décrirai principalement la carte
présentée ci-dessous.
Clic droit pour agrandir
Lieu
: Ukraine Soviétique. Date : printemps 1933. Problème : chaque minute,
17 Ukrainiens sont morts de faim à cause de la collectivisation forcée
par le gouvernement soviétique basé à Moscou.
Sur
la carte, vous pouvez aussi voir la région de Kouban (Russie) en 1926,
essentiellement peuplée par : des Ukrainiens – 915 000, des Russes – 498
000. En 1939, Ukrainiens – 150 000, Russes : 2 754 000. Il apparait
effectivement que le but principal de Moscou était l’extermination des
Ukrainiens.
Nationality | 1926 | 1937 |
Russians | 77,791,124 | 93,933,065 |
Ukrainians | 31,194,976 | 26,421,212 |
Belarusians | 4,738,923 | 4,874,061 |
Uzbek | 3,955,238 | 4,550,532 |
Tatars | 3,029,995 | 3,793,413 |
Kazakhs | 3,968,289 | 2,862,458 |
Jews | 2,672,499 | 2,715,106 |
Azerbaijani | 1,706,605 | 2,134,648 |
Georgians | 1,821,184 | 2,097,069 |
Armenians | 1,568,197 | 1,968,721 |
La
reconnaissance de l’Holodomor en tant que génocide des Ukrainiens est
encore en cours. Malheureusement – et comme d’habitude – la Russie fait
obstacle et influence les Etats étrangers pour les inciter à ne pas
reconnaitre le génocide comme tel. Cependant, la Verkhovna Rada (le
Parlement ukrainien) a reconnu l’Holodomor en tant que génocide en 2006.
Les pays suivants le reconnaissent également comme tel : Andorre,
Argentine, Australie, Brésil, Canada, Chili, Colombie, République
Tchèque, Equateur, Estonie, Géorgie, Hongrie, Italie, Lettonie,
Lithuanie, Mexique, Paraguay, Pérou, Pologne, Slovaquie, Etats-Unis
d’Amérique,Vatican.
Etant
donné que cette extermination de masse a eu lieu au XXème siècle, nous
devons la garder en mémoire et empêcher toute autre tentative au XXIème
siècle par n’importe quel Etat.
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Holodomor 1933 Vidéo Bob Gratton
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Commentaires (13)
L'ancien observateur le 01/12/2012
Du 3 au 14 décembre, les représentants des 193 pays
membres de l'UIT (Union internationale des télécommunications, émanation
des Nations Unies ) se réuniront à Dubaï pour débattre du contrôle de
l'Internet. .
En dépit de la culture du secret de l'organisation, de nombreuses fuites
indiquent qu'un nouveau traité international émergerait de propositions
des gouvernements autoritaires visant la censure de l'Internet.
Sont également à l'ordre du jour, l'instauration d'une sorte de taxe
frontalière entre les opérateurs et l'attribution du contrôle de
l'internet aux Nations Unies.
Claire le 01/12/2012
Pour le Parlement européen, l'Holodomor est une famine
artificielle, qu'il qualifie de « crime contre le peuple ukrainien et
contre l'humanité »
Le rôle des juifs dans la révolution bolchevique et les debuts du regime sovietique
http://fr.novopress.info/7462/les-juifs-de-staline/
Un article du journaliste politique Sever Plocker, paru fin décembre
2006 sur le site a fait couler beaucoup d’encre. Il figure ci-après, en
traduction.
www.ynetnews.com
Sever Plocker, qui travaille pour le journal hébreu Yediot Ahronot, a
déchaîné à la suite de son article un ******* de commentaires qui valent
le détour. A 95%, environ, il se fait couvrir, bien que
juif lui-même, d’un tombereau d’insultes diverses et variées, qui
s’étendent également au site, menacé de représailles, allant jusqu’au
retrait de toute publicité! Pour les 5 % restants, environ, il est
félicité d’avoir courageusement brisé le silence. En tout cas, il n’a
pas laissé indifférent !
A vous de juger, à présent :
Nous ne devons pas oublier que quelques uns des pires meurtriers des
temps modernes étaient Juifs. Il s’agit d’un événement historique
particulièrement souvent passé sous silence : il y a environ 90 ans,
entre le 19 et le 20 décembre 1917, au cour de la révolution bolchevique
et de la guerre civile, Lénine signa un décret créant la Commission
Panrusse pour la Répression de la Contre-révolution et du Sabotage, plus
connue sous le nom de Tchéka.
En peu de temps, la Tchéka devint l’organisation de sécurité d’Etat la
plus importante et la plus répressive. Son organisation et sa structure
évoluèrent régulièrement, tout comme son nom : de Tchéka à GPU, puis à
NKVD, et plus tard à KGB.
Il est impossible de connaître avec certitude le nombre de morts dont la
Tchéka fut responsable d’une manière ou d’une autre, mais il s’évalue
probablement autour de 20 millions, incluant les victimes de la
collectivisation forcée, des famines, des purges, des expulsions, des
déportations, des exécutions et des tueries de masses dans les goulags.
Des pans entiers de la population furent éliminés : fermiers
indépendants, minorités ethniques, membres de la bourgeoisie, officiers
supérieurs, intellectuels, artistes, militants syndicalistes, « membres
de l’opposition » à la définition très aléatoire, et un nombre
incalculable de membres du parti communiste lui-même.
Dans son dernier livre, qui recueille beaucoup de suffrages, The War of
the World, l’historien Niall Ferguson écrit qu’aucune autre révolution
dans l’histoire de l’humanité n’a dévoré ses enfants avec le même
appétit insatiable que la révolution soviétique. De même, le Dr. Igal
Halfin, de l’université de Tel Aviv, indique dans son livre sur les purges staliniennes que la violence y fut unique en ce qu’elle fut dirigée vers l’intérieur.
Mais Lénine, Staline, et leurs successeurs n’auraient pas pu mener à
bien leurs objectifs sans une large coopération de la part d’officiers
de la terreur disciplinés : enquêteurs cruels, mouchards, bourreaux,
gardiens, juges, pervers, et de beaucoup d’idéalistes membres de l’aile
gauche progressiste, abusés par le régime soviétique de terreur au point
de lui décerner un certificat casher.
Tous ces faits sont bien connus, à des degrés différents, même si les
archives de l’ancienne Union soviétique n’ont pas été entièrement
ouvertes au public. Mais qui est au courant de ce qui suit ? Au **** de
la Russie, très peu de personnes ont été portées devant la justice pour
leurs crimes commis sous les ordres du NKVD ou du KGB. Aujourd’hui, le
discours public russe ignore totalement la question du « Comment cela
a-t-il pu nous arriver, à nous ? ». Contrairement aux nations d’Europe
de l’Est, les Russes n’ont pas réglé leurs comptes avec leur passé
stalinien.
Et nous, les Juifs ?
Un étudiant israélien termine le lycée sans avoir jamais entendu
prononcer le nom de Genrikh Yagoda, le plus grand meurtrier juif du XXe
siècle, chef adjoint de la GPU et fondateur-dirigeant du NKVD. Yagoda a
consciencieusement exécuté les ordres de Staline pendant la
collectivisation, et est responsable de la mort d'environ 10 millions de
personnes. Ses employés juifs ont mis en place et géré le système des
goulags. Après être tombé en disgrâce auprès de Staline, Yagoda fut
dégradé et exécuté, puis remplacé en tant que chef des bourreaux, en
1936, par Yezhov, le « nain sanguinaire ».
Yezhov n'était pas juif, mais était marié à une femme juive très active.
Dans son livre Staline : la cour de l'étoile rouge, l'historien juif
Sebag Montefiore écrit que pendant les périodes les plus noires de la
terreur, quand la machine communiste à tuer fonctionnait à plein régime,
Staline était entouré de belles et jeunes femmes juives.
Parmi les fidèles et proches associés de Staline, on compte Lazar
Kaganovich, membre du Comité Central et du Politburo. Montefiore le
décrit comme le premier stalinien, et ajoute que les victimes de la
famine en Ukraine, une tragédie humaine sans équivalent dans l'histoire
de l'humanité exception faite des horreurs nazies ou de la terreur
maoïste en Chine, ne le touchaient nullement.
Beaucoup de juifs ont vendu leur âme au diable de la révolution
communiste et ont du sang sur les mains pour l'éternité. Nous n'en
mentionnerons qu'un de plus : Leonid Reichman, dirigeant du département
spécial du NKVD et interrogateur en chef de l'organisation, qui était un
sadique particulièrement cruel.
En 1934, selon des statistiques publiées, 38,5% des officiels détenant
les postes les plus élevés dans l'appareil de sécurité soviétique
étaient d'origine juive. Eux aussi, naturellement, furent graduellement
éliminés dans les purges successives. Lors d'un cours fascinant à une
convention de l'université de Tel Aviv cette semaine, le Dr Halfin
décrivait les étapes de la terreur soviétique comme un carnaval de
meurtres de masse, un feu d'artifice de purges et l'adoration du mal. Il
apparaît que les juifs aussi, quand ils sont fascinés par une idéologie
messianique, peuvent devenir de grands meurtriers, parmi les plus
grands de notre histoire moderne.
Les juifs actifs dans l'appareil officiel de la terreur communiste (en
Union soviétique et ailleurs), et qui l'ont parfois dirigé, ne l'ont
évidemment pas fait en tant que juifs, mais plutôt en tant que
staliniens, communistes, et « camarades soviétiques ». En conséquence,
il nous est facile d'ignorer leur origine et de jouer les innocents :
qu'avons-nous à voir avec eux ? Si ce n'est de les oublier. Mon opinion
est différente. Je pense qu'il est inacceptable qu'une personne puisse
être considérée comme un membre de la communauté juive quand elle
réalise de grandes choses, mais en être exclue quand elle commet des
actes particulièrement méprisables.
Même si nous le nions, nous ne pouvons pas échapper au judaïsme de « nos
bourreaux » qui ont servi la Terreur rouge avec application et loyauté
envers ses dirigeants. De toutes façons, d'autres nous rappelleront
toujours leur origine. »
Traduit par Anne Kling http://france-licratisee.hautetfort.com
Mark Weber
Caton l'Ancien le 01/12/2012
Les juifs actifs dans l'appareil officiel de la terreur
communiste (en Union soviétique et ailleurs), et qui l'ont parfois
dirigé, ne l'ont évidemment pas fait en tant que juifs, mais plutôt en
tant que staliniens, communistes, et « camarades soviétiques ». En
conséquence, il nous est facile d'ignorer leur origine et de jouer les
innocents : qu'avons-nous à voir avec eux ? Si ce n'est de les oublier.
Mon opinion est différente. Je pense qu'il est inacceptable qu'une
personne puisse être considérée comme un membre de la communauté juive
quand elle réalise de grandes choses, mais en être exclue quand elle
commet des actes particulièrement méprisables.
Même si nous le nions, nous ne pouvons pas échapper au judaïsme de « nos
bourreaux » qui ont servi la Terreur rouge avec application et loyauté
envers ses dirigeants. De toutes façons, d'autres nous rappelleront
toujours leur origine. »
Traduit par Anne Kling http://france-licratisee.hautetfort.com
Mark Weber
Commissaires du Peuple (Ministres) Noms Nationalité
Président V.I. Ulyanov (Lénine) Russe
Affaires Etrangères G.V. Tchitherin Russe
Nationalités J. Diougashvili [Staline] Géorgien
Agriculture Protian Arménien
Conseil Economique Lourié (Larin) Juif
Ravitaillement A.G. Schlikhter Juif
Armée et Marine L.D. Bronstein (Trotsky) Juif
Contrôle d'Etat K.I. Lander Juif
Terres d'Etat Kaufmann Juif
Travail V. Schmidt Juif
Aide Sociale E. Lilina (Knigissen) Juif
Education A. Lunacharsky Russe
Religion Spitzberg Juif
Intérieur Apfelbaum [Radomyslski] (Zinoviev) Juif
Hygiène Anvelt Juif
Finances I. E. Gukovs [et G. Sokolnikov] Juif
Presse Voldarski [Goldstein] Juif
Elections M.S. Uritsky Juif
Justice I.Z. Shteinberg Juif
Réfugiés Fenigstein Juif
Réfugiés Savitch (Assistant) Juif
Réfugiés Zaslovski (Assistant) Juif
Sur ces 22 membres du «Sovnarkom», résume Wilton, il y avait trois Russes, un Géorgien, un Arménien, et 17 Juifs.
Le Comité Central Exécutif , continue Wilton, était composé des membres suivants:
Y. M. Sverdlov [Solomon] (Président) Juif
Avanesov (Secrétaire) Arménien
Bruno Letton
Breslau Letton [?]
Babtchinski Juif
N. I. Bukharin Russe
Weinberg Juif
Gailiss Juif
Ganzberg [Ganzburg ] Juif
Danichevski Juif
Starck Allemand
Sachs Juif
Scheinmann Juif
Erdling Juif
Landauer Juif
Linder Juif
Wolach Tchèque
S. Dimanshtein Juif
Encukidze Géorgien
Ermann Juif
A. A. Ioffe Juif
Karkhline Juif
Knigissen Juif
Rosenfeld (Kamenev) Juif
Apfelbaum (Zinoviev) Juif
N. Krylenko Russe
Krassikov Juif
Kaprik Juif
Kaoul Letton
Ulyanov (Lenin) Russe
Latsis Juif
Lander Juif
Lunacharsky Russe
Peterson Letton
Peters Letton
Roudzoutas Juif
Rosine Juif
Smidovitch Juif
Stoutchka Letton
Nakhamkes (Steklov) Juif
Sosnovski Juif
Skrytnik Juif
L. Bronstein (Trotsky) Juif
Teodorovitch Juif [?]
Terian Arménien
Uritsky Juif
Telechkine Russe
Feldmann Juif
Fromkin Juif
Souriupa Ukrainien
Tchavtchévadzé Géorgien
Scheikmann Juif
Rosental Juif
Achkinazi Imeretian [?]
Karakhane Karaim
Rose Juif
Sobelson (Radek) Juif
Schlichter Juif
Schikolini Juif
Chklianski Juif
Levine-(Pravdine) Juif
Ainsi, conclut Wilton, sur 61 membres, cinq étaient Russes, six étaient
Lettons, un était Allemand, deux étaient Arméniens, un était Tchèque, un
était Imeretian (?), deux étaient Géorgiens, un était un Karaïm, un
était Ukrainien, et 41 étaient Juifs.
La Commission Extraordinaire de Moscou (la Tchéka), la police secrète
soviétique, ancêtre du GPU (Guépéou), du NKVD et du KGB, était composée
comme suit:
F. Dzerzhinsky (Président) Polonais
Y. Peters (Vice-Président) Letton
Chklovski Juif
Kheifiss Juif
Zeistine Juif
Razmirovitch Juif
Kronberg Juif
Khaikina Juif
Karlson Letton
Schaumann Letton
Leontovitch Juif
Jacob Goldine Juif
Galperstein Juif
Kniggisen Juif
Katzis Letton
Schillenkuss Juif
Janson Letton
Rivkine Juif
Antonof Russe
Delafabre Juif
Tsitkine Juif
Roskirovitch Juif
G. Sverdlov (frère du Président du Comité Central Ex.) Juif
Biesenski Juif
J. Blumkin (assassin du Comte Mirbach) Juif
Alexandrovitch (complice de Blumkin) Russe
I. Model Juif
Routenberg Juif
Pines Juif
Sachs Juif
Daybol Letton
Saissoune Arménien
Deylkenen Letton
Liebert Juif
Vogel Allemand
Zakiss Letton
Sur ces 36 fonctionnaires de la Tchéka, un était Polonais, un Allemand,
un Arménien, deux Russes, huit Lettons, et 23 étaient Juifs.
«En conséquence» conclut Wilton, «il n'y a pas de raison d'être surpris
du rôle prépondérant des Juifs dans l'assassinat de la famille
impériale. C'est plutôt le contraire qui aurait été surprenant.»
Disciple de CVV le 01/12/2012
Les anciens pays socialistes de l’Europe doivent rendre
aux Juifs la propriété volée au cours de l’holocauste ou bien leur payer
les récompenses, estime le président du congrès juif mondial Ron
Lauder. Selon des experts, il s’agit des milliards d’USD.
Ron Lauder a rappelé que les pays de l’Europe de l’Est ne sont pas
pressés à dédommager les Juifs. Ainsi, la Pologne a suspendu le
processus de la modification de la législation visant à la création de
la base juridique pour effectuer ces paiements. La bureaucratie roumaine
est à freiner le processus de dédommagement. Mais la situation la plus
déplorable est dans les pays Baltes. Ainsi, en Lettonie il n’y a pas de
loi concernant les récompenses aux Juifs qui ont souffert dans les
années 1940. Et en même temps, Riga est à calculer combien lui doit la
Russie pour la période durant laquelle les pays Baltes faisaient partie
de l’URSS, dit le directeur des programmes de recherches du Fonds «
Mémoire historique » Vladimir Simindéy.
« Les élites dans les pays Baltes se font passer pour des victimes, car
leurs pays seraient sous l’occupation soviétique. Mais beaucoup de leurs
compatriotes étaient les complices des atrocités nazies en tuant les
Juifs et les Slaves. Et cela, les élites préfèrent passer sous silence
».
Le montant des biens perdus par les Juifs durant l’Holocauste en Europe
de l’Est se chiffre aux milliards d’USD. Mais il ne s’agit pas que de
l’argent, explique le président de l’institut du partenariat oriental
d’Israël Avraam Chmoulevitch.
« En fait, ce sont les assassins des Juifs qui se sont emparés de leurs
biens. Il y a un proverbe juif qui dit : « celui qui a tué, hérite ».
C’est ce qui s’est passé. Naturellement, au nom de la justice notre
devoir national devant les parents et les ancêtres est de récupérer ces
biens ».
Et en Europe occidentale cette question est résolue depuis longtemps.
Non seulement en Allemagne dont les leaders ont initié à l’époque
l’Holocauste. Ainsi, la Norvège a payé en 1998 450 millions de couronnes
aux Juifs, leurs proches et aux organisations juives, victimes de la
guerre. La Belgique a payé à la communauté juive du pays 110 millions
d’euros. Les banques suisses ont payé 1 milliard 250 millions d’USD aux
descendants des victimes de l’Holocauste qui avaient les comptes en
Suisse.
Vlassov le 01/12/2012
Selon les derniers statistiques, dans le monde entier on
recense au moins 14 millions de Juifs, dont 7,750 vivent en Israël.
Pendant plusieurs siècles, les populations autochtones avaient une
attitude ambiguë envers les Juifs qui n'avaient pas leur propre Etat.
Les mécanismes de la propagande antisémite lancés au XX siècle ont
engendré des problèmes sérieux, pas seulement pour les Juifs.
Certains experts sont persuadés que le danger principal vient de
l’ultra-droite qui remporte stablement les législatives en Europe.
Depuis quelques années cette tendance prend de l'ampleur sur
l'avant-scène politique de la France, de la Norvège, de l’Écosse, des
Pays-Bas et de la Hongrie. Cependant, il ne serait injuste d'affirmer
que ce sont les principaux vecteurs de l'antisémitisme, selon le célèbre
politologue israélien Avigdor Eksin qui est persuadé que la plus grande
menace vient de l'islam.
La notion de « mouvement national arabe », issue de l'islam et qui s'est
retrouvé en dehors de l'islam, est apparue au début du XX siècle. Le
nationalisme arabe se basait sur les idées fascistes et il a revêtu des
traits hitlériens. C'est par exemple le cas du mufti de Jérusalem
Hadzhamin Al Hussein, qui était un leader à la fois religieux et
nationaliste. Il a formé la division de Waffen-SS Handschar, composée de
musulmans de Bosnie. L'idéologie nazie était bien implantée dans des
milieux musulmans, parfois il est difficile de distinguer le wahhabisme,
l’extrémisme musulman et le néoazisme.
Il est important de noter que les autorités des pays où autrefois on
tuait et persécutait les Juifs, sont aujourd'hui leurs principaux
défenseurs. Il s'agit avant tout de l'Allemagne, dont la chancelière
Angela Merkel a été reçu récemment le prestigieux prix Heinz Galinski,
qui a été décerné pour sa contribution au développement de la
compréhension mutuelle entre la communauté juive et la société.
L'antisémitisme au niveau national est étranger à la Russie, disent les
rabbins de Moscou en citant à titre d'exemple que depuis quelques années
60 mille Juifs vivant en Israël sont revenus en Russie. Cependant, le
président russe Vladimir Poutine ne cache pas que les manifestations
d'antisémitisme dans la vie quotidienne ne sont pas encore éradiquées.
Malgré la consolidation des forces politiques contre les manifestations
de xénophobie, l'antisémitisme est assez répandu en Europe. Un séminaire
consacré à l'interprétation des problèmes de l'antisémitisme dans les
médias, réunissant des journalistes d'Europe Orientale, s'est tenu il
n'y a pas longtemps.
Vlassov le 01/12/2012
Chers amis !
A partir du 1e décembre la Russie prend la présidence au G20, une
association informelle des plus grandes économies du monde. Pour nous,
c’est avant tout une possibilité d’offrir à nos partenaires un programme
positif et substantiel qui traite des problèmes communs qui concernent
le monde entier. Nous comptons utiliser efficacement notre présidence
pour répondre à nos objectifs nationaux à long terme et renforcer la
position de la Russie dans la sphère de gestion de l'économie mondiale.
Créé en 2008, le « groupe des 20 » est devenu un instrument important
pour réagir aux crises. Grâce aux efforts concertés des pays
participants, l’organisation a réussi à freiner le déclin de l’économie
et renforcer le contrôle des systèmes financiers nationaux. En outre, le
G20 a permis de commencer la transformation systémique de
l'architecture financière et de l’économique internationale conformément
aux défis et les demandes du 21e siècle. Le groupe a pu commencer la
mise en place des mécanismes qui peuvent aider à s'assurer contre les
risques, renforcer la confiance mutuelle et donner une impulsion durable
et équilibrée à l'économie mondiale.
Pour nous, l’objectif de la présidence russe au G20 – c’est de
concentrer les efforts des pays membres afin d’élaborer les mesures
visant à encourager la croissance économique et la création d'emplois.
Que faut-il faire dans ce but ? Pour nous, la réponse est évidente – il
faut stimuler les investissements, instaurer la confiance et la
transparence des marchés et une réglementation efficace. C'est avec ces
priorités que nous pourrons discuter de tous les sujets traditionnels
qui sont à l'ordre du jour au programme du G20. Parmi ces priorités -
l'état de l'économie mondiale et la mise en œuvre d’un Accord-cadre pour
assurer la croissance soutenue et équilibrée, promouvoir l'emploi, la
réforme du système monétaire, la réglementation et la supervision
financière, la stabilité des marchés mondiaux de l'énergie, l’aide au
développement international, le renforcement du système commercial
multilatéral, et la lutte contre la corruption.
En outre, dans le cadre du programme financier à l'ordre du jour, nous
proposons d’aborder deux thèmes nouveaux: « Le financement des
investissements comme base pour la croissance économique et la création
d'emplois» et « La modernisation des systèmes nationaux de gestion de la
dette publique et de la dette souveraine ».
Ainsi, la présidence russe veillera à ce que les engagements pris dans
le cadre du « Groupe des 20 » précédemment soient réalisés et garantira
la continuité des problèmes à l’ordre du jour. Et dans le même temps, la
Russie proposera son approche pour l’étude de ces problèmes.
Je noterai que la Russie est prête pour une interaction élargie et la
coopération pour relever les défis auxquels est confronté le G20. Pour
améliorer l'efficacité, la transparence et la confiance pour son
travail, nous avons l'intention de mener des consultations élargies avec
tous les intervenants – des pays non-membres du « Groupe des Vingt »,
mais aussi avec les organisations internationales d’experts, des
organisations syndicales, l’entreprenariat, la société et la jeunesse.
Comme le montre la pratique, les mesures globales ne sont efficaces que
si elles sont fondées sur les opinions et prennent en compte les
intérêts des différents groupes.
Nous espérons que la présidence de la Russie dans le « Groupe des Vingt »
permettra de consolider les efforts déployés par les pays participants
pour atteindre des objectifs communs - résoudre les problèmes urgents de
l'économie mondiale et assurer un développement durable au bénéfice de
la communauté mondiale. Nous espérons que notre présidence aidera à
améliorer la vie de millions de personnes sur la planète.
La Russie est ouverte au dialogue et au travail créatif commun.
Vladimir Poutine
Shmuel le 01/12/2012
Comment oser vous parler d'un génocide des ukrainiens ;
des russes blancs, des allemands, pourquoi pas des arméniens, des
cambodgiens, des vendéens.
Seul compte le génocide du Peuple Elu, nous les Juifs
Aryana le 01/12/2012
Voilà un des génocides commis par les juifs contre les blancs européens et contre les chrétiens !
Voilà un des génocides parmi d'autres depuis que les juifs se sont
emparrés de la Russie par une révolution soviétoide sanguinaire et tout
ca pour quoi ?
Satisfaire la haine juive qui ne recule jamais à toutes les pires
bassesses pour infliger des crimes contre l'humanité partout où la
juiverie s'empare d'ue nation et d'un gouvernement !
Regardez aujourd'hui goldman sachs qui a l'intention d'affamer la Grèce ,
l'Italie , l'Espagne, le Portugal et bientot la France, avec la
complicité active de cette meme gochiasserie criminelle qui trouvait
normal d'affamer les ukrainiens ,et martyriser partout sur terre par
idéologie dogmatique ne servant que de parade pour déverser des meurtres
par millions sur des petites gens innocents et vulnérables pendant que
l'hypocrite amérique regardait ailleurs ,ainsique l'angleterre qu ont
refusé de faire la guerre réelle contre les soviétiques afin de laisser
les génocidaires juifs continuer leur carnage criminel contre des
européens et des contre des chrétiens, contre des paysans et contre des
écrivains !
Aujourd'hui , cette juiverie coupable et responsable de dizaines de
millions de gens assassinés industriellement par la juiverie , refuse
que les merdias parlent de ces crimes inouis cotre l'humanité !
Car pour les juifs, l'humanité n'est que bétail au service du juifs
"élu" , et seul lejuif a droit de se pavaner à la télé pour faire croire
que RIEN ni PERSONNE n'est plus important que lui seul ,et donc le
monde est sommé de pleurnicher sur la moindre égratignure juive , le
moindre mot qui ne peut etre toléré d'etre entendu par les juifs !
Assassins, ! Juifs ,assassins ! voleurs , escrocs !
Virons ces vampires juifs de goldman sachs hors d'Europe sinon les
goulags recommencerons , les enfants mourront de faim pendant que le
juif ricane dans les palais européens !
Aryana le 01/12/2012
Vlassov : cette propagande mondialiste n'a aucun interet vital pour l'avenir des nations et des peuples du monde !
Le G20 n'est qu'une énième mascarade pour des enrichir les banksters juifs comme Goldman sachs !
Plutot que de trimer pour des clopinette au profir de la racaille juive
mondialiste , faisons la grève et la révolution pour extirper les
vampires juifs qui ruinent l'Occident !
Je dis donc merde au G20 , qu'il aille en enfer et ses larbins à youpins avec ! basta !
Druide le 02/12/2012
Jewish-bolshevik massacre of the Ukrainians
http://www.youtube.com/watch?v=cQlqMJRfIOc
Judeo Bolshevik Christian Killer
Genrikh Yagoda
https://www.youtube.com/watch?v=fqDZ91mVSsA
lecteur le 02/12/2012
Rappel historique excellent
commentaires excellents
malheureusement une photo se superpose au texte au milieu de l article
pagination à revoir
CVV le 02/12/2012
Bien dit Aryana ! à quand le mea culpa des Français pour
ce qu'ils ont fait aux Allemands, leurs frères francs chrétiens,
manipulés tout deux par par zog à plusieurs reprises au lieu de suivre
Pétain et Pie XII ?
Sans la Catholicité et la résurgence de l'Ordre militaire teutonique
pour la dernière et seule grande Croisade, aucun espoir possible ! la
WW2 n'est pas finie... et à la fin nous aurons la victoire totale par le
Dieu des armées qui va soutenir son peuple élu les Germains et pas
cette ignoble race usurpatrice
Dedefensa le 09/12/2012
Holodomor en Ukraine
Le mot Holodomor (“extermination par famine”) est employé pour la Grande
Famine d’Ukraine, des années 1930, qui reste une des plus terribles
périodes du stalinisme, avec un bilan qui se compte en millions de
morts. Comme on a vu par ailleurs (notre F&C du 26 novembre 2012),
un chercheur et historien russe, également économiste et démographe,
Boris Borisov, développa une thèse, en 2008, traçant un parallèle entre
cet événement tragique de la Grande Famine d’Ukraine et celui de la
Grande Dépression aux USA, du point de vue des pertes humaines
attribuées aux pressions de la situation économique (Borisov recense 7,5
millions de morts aux USA, entre 1932 et 1937, qu’il attribue à la
crise économique).
On l’a déjà écrit, dans notre texte référencé, combien cette thèse de
Borisov constitue une affirmation extrêmement audacieuse, sinon
sacrilège par rapport aux conceptions économiques et historiques, par
rapport à l’approche idéologique exigée dans l’historiographie du bloc
BAO. Le passage auquel nous faisons allusion, portant à la fois sur cet
aspect “sacrilège” d’une telle comparaison pour l’historiographie
conforme du bloc BAO, et d’autre part sur l’actualité indirecte de cette
comparaison par rapport à la situation économique, sociale, humaine et
aussi idéologique présente est celui-ci :
«Il y a toute une école, qu’on qualifierait de complotiste pour faire
bref mais sans nécessairement de nuance péjorative dans cette
occurrence, pour estimer que le Système, sous la forme de l’une ou
l’autre officine ou organisation globaliste du genre, prépare, ou
réalise déjà, une forme de génocide, notamment par l’alimentation
restreinte ou hors de prix et la forme de l’alimentation, pour diminuer
radicalement la population et ainsi ne mettre aucunement en péril grave
la marche de la doctrine économique dominante. On comprend combien cette
comparaison entre la Grande Dépression et la Grande Famine d’Ukraine
des années 1930 constitue pour ce genre de thèses un argument de premier
choix. D’autre part, cette même comparaison constitue évidemment, pour
la bonne réputation du Système une idée monstrueuse, abominable,
sacrilège, etc. Par ailleurs, il faut observer que la logique et les
développements de Borisov laissent en général une grande impression de
sérieux. Le fait que l’économiste et démographe russe et sa thèse aient
pratiquement disparu des références (notamment, référence-Système dites
sérieuses) lorsqu’on consulte Google, avec ce qu’on sait de Google et de
ses liens avec le Système, n’est pas particulièrement rassurant. On
sait que le silence est la meilleure arme du Système lorsqu’il s’agit
d’écarter une forme de pensée gênante.»
Il faut également préciser que la thèse de Borisov est apparue alors que
la polémique centrale à propos de la Grande Famine d’Ukraine était née
et faisait rage. Cette polémique porte moins sur le crime lui-même que
sur la cause et l’objet du crime. L’Ukraine estime que la Grande Famine,
événement favorisé et même organisé par l’OGPU (ex-Tchéka), était
destinée à détruire la nation ukrainienne, tandis que le courant général
officiel en Russie est de nier cette dimension génocidaire spécifique :
selon ce second point de vue, la Grande Famine d’Ukraine s’inscrit dans
le vaste mouvement de “dékoulakisation”, ou “industrialisation forcée”,
entrepris par Staline à la fin des années vingt, et qui conduisit
effectivement à des victimes par millions, dont ceux de la Grande
Famine. (Voir, par exemple, Russia Today du 12 décembre 2008, sur ce
sujet de la polémique. Sur le sujet de la “dékoulakisation” incluant la
Grande Famine d’Ukraine selon la thèse russe, avec un total de pertes
humaines de 8,5 millions pour l’ensemble, voir l’analyse de l’historien
Krill Alexandrov, le 22 novembre 2008.)
Cette polémique n’est certes pas le centre de notre propos, mais elle
confirme combien ces famines “artificielles” ont en grande partie à voir
avec une conception et une doctrine économique, ce qui rend encore plus
pertinente l’initiative de Borisov de faire un parallèle avec la Grande
Dépression. Il est évident qu’il y avait, du côté des forces
capitalistes et idéologiques US, une attaque contre la population
déshéritée et pauvre, notamment au nom de conceptions suprématistes et
social-darwinistes, qui a largement alimenté les terribles conditions
faites à cette population, et les pertes humaines allant avec. Le climat
à cet égard était très extrémiste dans les années 1920 et 1930 aux USA.
L’intérêt du propos est bien entendu que l’on retrouve aujourd’hui
cette même tendance, dans les mêmes USA (avec extension dans le monde,
comme cadeau pour la modernité), avec l’opposition fameuse des “1%
versus les 99%”.
Dans cette perspective, il nous paraît intéressant de mettre en ligne ce
qui semble être le texte original de Boris Borisov, en date du 4 avril
2008. Il s’agit ici de l’édition par Russia Today, le 15 octobre 2012.
Les détails donnés par Borisov, notamment les efforts faits par les
autorités diverses aux USA pour masquer les disparités importantes dans
les décès, – tout cela rappelle les élections démocratiques aux USA, –
contribuent à renforcer l’idée qu’on doit avoir de la complète
virtualisation, ou “potemkinisation” des USA, pour cette période comme
pour toutes les autres. Les USA ne sont pas pour rien l’“empire de la
communication”. Le texte de Borisov, qui est présenté par Russia Today
sous la seule responsabilité de l’auteur, permet, à notre sens,
d’explorer plusieurs domaines à la fois historiques, sinon
métahistoriques, et à la fois d’une complète actualité, – simplement en
considérant le fait, selon nous tout à fait acceptable, de la validité
de la thèse présentée.
• La puissance que peut éventuellement prendre l’entreprise faussaire
générale des USA, et, d’une façon plus générale, de la modernité& et
du Système. A partir de là, on doit pouvoir mesurer l’extraordinaire
puissance éventuelle, et même assurée à notre sens, des falsifications
de l’histoire courante, notamment et essentiellement sous l’empire du
Système, c’est-à-dire depuis le phénomène du “déchaînement de la
Matière.
• La capacité de destruction, de déstructuration et de dissolution, qui
caractérisent les doctrines économiques et, d’une façon plus générale,
ce qu’on pourrait nommer l’“économisme”, en tant que tendance à tout
considérer d’un point de vue économique et à tout faire évoluer selon le
point de vue économique. Dans le cas envisagé, nous sommes avec deux
doctrines économiques qui se font face, qui sont toutes les deux
quasiment d’essence religieuse, ou plutôt de pseudo-essence religieuse,
avec tous les vices possibles des religions (passion, aveuglement,
intolérance, etc.), mais bien sûr sans leurs vertus fondamentales. Et
voilà que ces deux doctrines se retrouveraient à agir exactement de
même, dans la façon de faire évoluer les choses par l’élimination et
l’extermination. Effectivement, le cas historique devient très actuel…
(Le titre du texte de Boris Borisov, “Golodomor ad usum externum”,
signifie : Holodomor, applied externally, – “‘extermination par famine’
pour application extérieure”.)
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