Effets d'une garde à vue, toujours infamante lorsqu'ell e touche des innocents
Le président de « la Polynésie française» Royaume de TAHITI, le 19 juillet DEUXZER013
René, Georges, HOFFER
BP 13722 - 98717 – PUNAAUIA
Tél 77 71 70
à
Monsieur le fonctionnaire français expatrié José THOREL
« procureur de la république française » exerçant dans la colonie des EFO (statut de "la Polynésie française")
Palais de « justice » - Papeete
Réf: Dossier dont les références n'ont pu m'être transmises puisque la greffière Noéline n'aura pas été habilitée à la faire?
Événement : garde à vue du 8 juillet 2013.
Objet: État du dossier, communication des pièces du dossier et restitution des objets séquestrés.
A qui de droit.
Les
Nouvelles de TAHITI de ce jour titrent en Une: "(...) Franck Faletta
remis en liberté à l'issue de sa garde à vue, aucune charge retenue
contre lui".
En
France (France), Le Figaro relate: "Le néonazi Kristian Vikernes laissé
libre. La garde à vue de cet homme interpellé mardi (...) a été levée
jeudi soir. Aucune charge n'a été retenue contre lui à ce sujet."
Ayant
moi-même été interpellé et accusé à tort le 8 juillet 2013 dans
l'enceinte du palais de "justice" de Papeete, d'outrage à magistrat... à
l'encontre d'une ou des greffière(s) ou secrétaire(s) comme je l'ai
découvert en cours d'audition... alors qu'à ma connaissance des
personnes n'ont pas même le statut de magistrat(e)(s), à l'évidence
aucune charge n'aura donc été retenue contre moi à la fin de cette
nouvelle garde à vue, en fait, de ce nouveau coup monté, à l'heure même
où d'autres exactions de cet acabit sont révélées : " (...) mouillent le
procureur de la République de Mayotte et deux de ses adjoints (...)"
http://www.lepoint.fr/societe/ exclusif-mayotte-drogue- gendarmes-et-juge-la- stupefiante-affaire-17-07- 2013-1705630_23.php,
aucune notification ne m'est parvenue faisant état qu'aucune charge
n'aura été retenue contre moi à l'issue de cette garde à vue.
Ayant
par ailleurs porté plainte de mon côté pour "outrage à citoyen" par
analogie avec les poursuites pour outrage à magistrat dont auraient été
victimes des non magistrat(e)(s), je réclame donc par la présente que me
soit :
- communiqué le numéro de dossier de cette garde à vue du 8 juillet 2013,
- transmis les procès verbaux et tous actes communicables,
- restitués les biens qui m'ont été soustraits,
- notifié qu'aucune charge n'est retenue ou à défaut, que le dossier est toujours en cours,
- indiqué l'état de ma plainte à l'encontre de l'auteur des poursuites abusives, membre de la juridiction coloniale José THOREL.
Avec Honneur
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