PRIX DES COURTISANES
L’Écho des Montagnes, dans le légitime but de vous informer, vous livre le prix scandaleux
des courtisanes de la ripoux-blique bananière France-ra-heil.
ET
ET
Dans la matinée du vendredi 10 janvier, le Mobilier National en charge de l'aménagement des palais nationaux et autres résidences de l'État (ministères et ambassades) est appelé en urgence à l'Élysée pour procéder à une intervention sur site.
À l'arrivée au Palais, le haut fonctionnaire découvre dans des salons et dans le bureau attribué à Hollande, du mobilier et des objets décoratifs tels que vases précieux de Sèvres, pendule signée par un grand horloger du début du XIXe siècle, consoles, guéridons, fauteuils renversés voire brisés comme pour les garnitures de cheminée gisant en morceaux épars au milieu de papiers et de matériel de bureau, le dessus de la table de travail ayant été balayé avec violence semble-t-il (vases de la manufacture de Sèvres en porcelaine et monture en bronze doré, objets d'art de très grande valeur artistique et historique).
Les dégâts sont estimés à trois millions d'euros, compte tenu de la grande valeur patrimoniale de ce mobilier d'art et du coût de la restauration pour ce qui est réparable. Les débris ont été
soigneusement récupérés pendant que les aides de camp réunissaient les papiers confidentiels
éparpillés sur le tapis ; de nouveaux objets ont été livrés pour remplacer ceux brisés ou mutilés.
Explication officielle : aucune !
Gros émoi donc à l'Élysée, mais une seule question demeure : qui paye ?
CONCLU-SION
L’Écho des Montagnes, dans le légitime but de vous informer, vous livre le prix scandaleux
des courtisanes de la ripoux-blique bananière France-ra-heil.
Combien nous coûte la protection publique de Flanby et ses Cocottes ?
ET
La résidence d’État de Cocotte numéro 3.
Rixe à l'Elysée : 1 victime à
l'hôpital !
Quelques mots sur la scène de ménage qui a récemment opposé Valérie T. à François H., dont nousautres contribuables feront finalement les frais $$$
Quelques mots sur la scène de ménage qui a récemment opposé Valérie T. à François H., dont nousautres contribuables feront finalement les frais $$$
Dans la matinée du vendredi 10 janvier, le Mobilier National en charge de l'aménagement des palais nationaux et autres résidences de l'État (ministères et ambassades) est appelé en urgence à l'Élysée pour procéder à une intervention sur site.
À l'arrivée au Palais, le haut fonctionnaire découvre dans des salons et dans le bureau attribué à Hollande, du mobilier et des objets décoratifs tels que vases précieux de Sèvres, pendule signée par un grand horloger du début du XIXe siècle, consoles, guéridons, fauteuils renversés voire brisés comme pour les garnitures de cheminée gisant en morceaux épars au milieu de papiers et de matériel de bureau, le dessus de la table de travail ayant été balayé avec violence semble-t-il (vases de la manufacture de Sèvres en porcelaine et monture en bronze doré, objets d'art de très grande valeur artistique et historique).
Les dégâts sont estimés à trois millions d'euros, compte tenu de la grande valeur patrimoniale de ce mobilier d'art et du coût de la restauration pour ce qui est réparable. Les débris ont été
soigneusement récupérés pendant que les aides de camp réunissaient les papiers confidentiels
éparpillés sur le tapis ; de nouveaux objets ont été livrés pour remplacer ceux brisés ou mutilés.
Explication officielle : aucune !
Explication officieuse dans le cornet
de l'oreille des fonctionnaires du MN par ceux de l'Élysée : scène
terrible entre Hollande et sa maîtresse en titre Valérie quelques
heures plus tôt. Après les cris et hurlements, la mégère a eu une
crise de folie furieuse, se jetant sur Hollande ; écartée par les
gardes, la furie s'est livrée à du vandalisme dans le palais
national, après avoir jeté les papiers et objets du bureau
présidentiel, elle a projeté à terre vases, pendule et autres
objets précieux, renversé fauteuils et guéridons, elle est
neutralisée par les gardes dans le Boudoir d'Argent ou elle a
poursuivi son œuvre destructrice. Le médecin sur place lui
administre un calmant (sous forme de piqûre) et l'expédie dans la
plus grande discrétion à l'hôpital (où elle séjourne depuis une
semaine).
Avant que la dose fasse effet et que
la donzelle soit évacuée, hurlements, pleurs, imprécations et
menaces ont été proférés par l’offensée remplissant le palais
de l'écho de sa hargne.
Gros émoi donc à l'Élysée, mais une seule question demeure : qui paye ?
Quand un type se dispute avec sa
régulière ou sa copine et que les deux protagonistes en viennent à
casser la vaisselle et plus si mésentente très grande, ce sont les
deux tourtereaux en rupture d'affection qui payent avec leurs
deniers sous les bris et dégâts. Mais dans ce cas, ce sera facturé
aux contribuables (pour ce qui est réparable, le reste étant du
patrimoine perdu définitivement).
De quel droit Hollande et sa
mé(na)gère
règlent-ils leurs comptes avec le patrimoine de la France (car jamais la facture ne sera
présentée aux deux misérables) ?
règlent-ils leurs comptes avec le patrimoine de la France (car jamais la facture ne sera
présentée aux deux misérables) ?
CONCLU-SION
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