L'Echo des Montagnes dans le légitime but de vous informer, continue son combat contre les pédophiles, les pédocriminels et leurs
complices, hommes politiques, juges, avocats, policiers, gendarmes et banksters.
Sans cette complicité satanique et maçonnique, les coupables pédophiles seraient depuis longtemps hors d'état de nuire.
Donc voici la vidéo et appel des amis d'Amidlisa pour que vous soyez nombreuses et nombreux le
20 février 2014 à 12h devant le T.G.I de DRAGUIGNAN dans le VAR en FRANCE
http://youtu.be/Qpw3v-mLPJU
Pédophilie : les démocraties aux ordres de Satan – par Laurent Glauzy
Article de Laurent Glauzy sur la pédophilie élitiste. Essentiel pour comprendre la réalité des dérives satanistes de notre époque. Âmes sensibles s’abstenir.
La
pédophilie ou le pédo-satanisme est un dossier particulièrement
sensible. Est-ce alors un hasard, si les bonnes consciences, les
saltimbanques sans talent, les pseudo-philosophes arrivistes, les
journaleux et les politicards lèche-bottes prétendument outrés par les
prises de position de l’humoriste Dieudonné et de l’écrivain polémiste
Alain Soral, se montrent bien moins courageux pour se lever et dénoncer
les scandales d’enfants que l’on viole et que l’on assassine ?
Chaque
année, des milliers d’enfants sont violés et assassinés. En Italie, des
pédophiles ont été découverts grâce à l’association anti-pédophile
Telefono Arcobaleno, active depuis 1996. Cette affaire commence le
27 septembre 2000 quand le procureur de Torre Annunziata, commune de la
province de Naples, envoie six ordres d’arrestation, pour achat de
photographies à caractère pédopornographique et la vente du matériel
pédophile. L’Italie apprend alors avec effroi que, pour quelques
millions de lires, des détraqués s’offrent le plaisir de visionner le
viol et l’exécution d’un bébé de six mois. Toujours
en Italie, plus de deux mille mineurs sont déclarés disparus chaque
année. Si certains d’entre eux ne sont que de simple fugueurs qui
retournent ensuite à leur domicile, ou qui sont retrouvés par les forces
de l’ordre, en revanche, plusieurs centaines ne sont jamais retrouvés.
Selon les statistiques officielles du ministère de l’Intérieur de Rome,
en 1996, sur 2 391 mineurs déclarés disparus. 479 n’ont jamais été
retrouvés. Que sont-ils devenus ? En 1997, Il Giornale
titre : « À partir de 1990, le nombre d’enfants [définitivement]
disparus a quadruplé. Aujourd’hui, ce chiffre explose. Et un calcul même
approximatif est impossible. »1
Nous pouvons malheureusement croire que les chiffres du ministère de
l’Intérieur sont bien en deçà de la vérité. Pour les adolescents de
quinze à dix-huit ans ayant disparu, le quotidien milanais de
centre-droit privilégie la piste de la drogue et des sectes.
La CIA et la secte pédosataniste des Finders
Dans
le monde, la situation est tout aussi alarmante. Aux États-Unis, cent
mille enfants disparaissent chaque année pour finir dans les réseaux de
prostitution, de pornographie ou de pédophilie, alors que d’autres sont
assassinés dans le sous-bois criminel des adorateurs de Satan. La Stampa
parle d’une secte satanique qui recrutait des enfants. Voici ce
qu’écrit le quotidien : « La secte Finders (découvreurs), fondée [au
début des années 1970] à Washington par un marabout de soixante-dix ans,
Marion David Pettie, se sert des enfants pour des rites sacrificiels
démoniaques et des pratiques sexuelles. »2 Tout commence quand, le 7 février 1982, le Washington Post évoque une affaire d’enlèvement et de viols d’enfants, ainsi que de matériel pédoporno retrouvé dans un lieu appartenant à un groupe appelé « The Finders ». Il s’agirait d’un culte pour « laver le cerveau » des enfants et les utiliser dans des rituels.
Ted
Gunderson, ancien membre du FBI à Los Angeles dans les années 1970,
enquêteur privé et consultant pour la sécurité, indique dans son
rapport, en 1992, que la secte des Finders était très liée avec la CIA
et qu’elle servait de couverture dans le trafic international d’enfants.
Il relève avec étonnement que, contrairement aux vols de voiture, qui
sont scrupuleusement recensés, les disparitions d’enfants ne sont pas
comptabilisées, ou à peine.
Les
Finders avaient des activités remontant aux années 1950, en Asie du
Sud-est (Hong Kong, Malaisie, Vietnam, Corée du Nord), à Moscou, en
Afrique, à Londres, en Allemagne, aux Pays-Bas, aux Bahamas… Le réseau
faisait sortir des enfants de Hong Kong grâce à un contact à l’ambassade
de Chine. Les enfants voyageaient ensuite dans plusieurs maisons
appartenant au réseau, dans différentes juridictions. Certaines étaient
équipées d’antennes satellites, probablement pour diffuser les vidéos tournées par le réseau.
Ted
Gunderson remarque des pics de disparitions lors des fêtes sataniques
importantes, en juin, octobre et décembre. Il constate que la CIA traite
le dossier comme un « problème de sécurité intérieure » et le classe
« secret ». Les charges contre les pervers ont été abandonnées et les enfants ont été renvoyés chez les bourreaux.
Le groupe de Marion David Pettie, dans la mouvance beatnik,
faisait la promotion des drogues vendues par la CIA. Il affirme que
Timothy Leary, agent de la CIA et leader de la contre-culture, lui avait
procuré du LSD.
Le
journaliste Uri Dowbenko relève que ces disparitions d’enfant, ainsi
que les violences sexuelles et la pédophilie au niveau mondial,
démontrent la convergence vers un réseau organisé de la criminalité de
haut niveau, que contrôle dans l’ombre le système légal. Ted Gunderson
et Uri Dowbenko soutiennent l’existence de plusieurs groupes de la
mouvance satanique3 particulièrement puissants.
Le témoignage dramatique d’une jeune victime
Paul
Bonacci fait l’objet d’une mesure d’isolement au centre correctionnel
de Lincoln : il a accusé des hommes du pouvoir, dont George Bush, ou
encore le député de Washington Barney Franks, qui siégea de 1981 à 2013 à
la chambre des représentants des États-Unis, d’être des criminels
pédophiles et d’avoir abusé de lui quand il avait six ans. Dans
plusieurs de ses interventions, le pasteur Fritz Springmeier, accusera
aussi l’ancien président américain d’être un pédocriminel et un
sataniste4.
En
1990, Paul Bonacci, âgé de vingt-deux ans, a été examiné par un
psychiatre, Beverly Mead, qui l’a soumis à une expertise. Il a déclaré
que le jeune homme était sain d’esprit et ne présentait pas le profil
d’un affabulateur. Bonacci raconte : « J’étais entre les mains d’un
groupe [de défense de la pédophilie] dénommé Namba (North American man –
Boy Love Association) qui m’invitait à des réunions à New York et à
Boston. À l’âge de neuf ans, j’ai été conduit dans un hôtel avec cinq
autres garçons et on nous a contraint d’avoir des rapports sexuels
pendant que l’on nous filmait. Ensuite, ils m’ont obligé à avoir des
rapports avec un bébé. À l’été 1985, un certain Larry King [dans les
années 1980 et 1990, il dirigeait le projet républicain d’aide à la
communauté noire, par le biais du National Black Republican Council,
cercle de réflexion et d’influence afro-américain interne au Parti
républicain. Ne pas confondre avec le célèbre présentateur politique de
la chaîne américaine CNN] m’a obligé à tourner un film avec un autre
garçon, Nicholas, qui était dans une cage. (…) On nous déguisait en
Tarzan et l’on nous contraignait à avoir des rapports. Ensuite, on me
commandait de le frapper. (…) Il est arrivé un homme qui m’a ordonné de
taper le garçon comme s’il s’agissait d’une poupée. Ensuite, il m’a
obligé à prendre un pistolet, je l’ai pointé sur sa tête et j’ai tiré.
En 1984, on m’a emmené au ranch South Fork [Dallas]. Dans le cadre de la
convention républicaine, Larry King organisait des parties pédophiles,
toujours en compagnie de la fine fleur de la politique. »5
Paul
Bonacci poursuit son récit avec des révélations choquantes : « J’ai été
témoin de sacrifices humains effectués sur un bébé de quelques mois,
afin de blasphémer sur la naissance du Christ. Dans ce rituel annuel,
tous chantaient pour pervertir le sang du Christ. À l’aide d’un poignard
ils assassinèrent le bébé et le démembrèrent, puis ils remplirent une
coupe de son sang mélangé à de l’urine qu’ils nous ont fait boire,
pendant qu’ils entonnaient « Satan est le Seigneur »6.
Les investigations de la Commission Franklin
L’enquête a révélé que des personnes liées à Larry King effectuaient des rapts d’enfants pour la prostitution, la production de snuff movies (film avec mise à mort) et des parties de pédophilie.
Au
début des enquêtes lancées par la Commission Franklin, de nombreux
incidents ont repoussé la date du procès contre le présentateur de CNN !
Comme
si on avait voulu garder le silence sur cette affaire liée à la
pédophilie et au satanisme, plusieurs personnes de son entourage sont
assassinées ou « suicidées ». Dan Ryan, associé de King, a été trouvé
étranglé dans sa voiture. Bill Baker, partenaire du vice-président du
National Black Republican Council, a été abattu d’un coup de révolver
dans la nuque. Curtis Tucker s’est défenestré à Holiday Inn. Charlie
Rogers, amant de King, s’est tiré une balle dans la tête. Bill Skaleske,
représentant officiel du département de police d’Omaha (la plus grande
ville du Nebraska) qui a dirigé l’enquête sur King, a été trouvé mort.
Joe Malek, autre membre des marchands de bébés et propriétaire du Peony
Park, où se produisaient les parties de pédophilie, a été tué d’un coup
de pistolet : la police a conclu à un suicide. Mike Lewis, trente-deux
ans, chargé de protéger les victimes-témoins, est mort d’une crise de
diabète.
La
Commission Franklin a été définitivement levée quand l’enquêteur, Gary
Caradori, est mort dans un mystérieux accident d’avion, après
l’enregistrement, par son service, d’informations sensationnelles7.
L’Afrique du Sud n’est pas non plus épargnée. Corriere della Sera
mentionne : « Satan a pris pied aussi en Afrique du Sud, avec tous les
aspects effroyable de son culte, le sacrifice de bébés égorgés sur
l’autel du prince des Ténèbres, lors de réunions où les plus jeunes sont
contraints d’avoir des rapports sexuels avec des chiens ou des boucs,
animaux symboles de Lucifer. »8
Enquête enterrée
Entourées
d’un épais silence, les enquêtes sont presque toujours enterrées.
Pourtant, les cas de satanisme mettant en scène de pauvres innocents
sont nombreux. Pour les États-Unis, Ted Gunderson constate : « J’ai
quatre témoignages détaillés de trois détenus impliqués dans des rituels
sataniques et un d’un prêtre de l’Utah. Tous m’ont confirmé l’existence
de 50 000 à 60 000 cas annuels de sacrifices humains. Il a été retrouvé
de nombreux cimetière dans tout le pays avec des dizaines de cadavres
non identifiés, et aucune enquête poussée ne fut diligentée… »9.
Les
crimes sataniques sont en augmentation dans le monde entier. Le
Dr Dianne Core, responsable de l’Institut Childwatch (Association
d’assistance et de protection des mineurs), a dénoncé que, en
Grande-Bretagne, les cercles satanistes, plus puissants que les groupes
mafieux, sont protégés par le lobby politique. Le Dr Dianne Core
remarque : « Malheureusement nous n’avons pas encore identifié le sommet
de la pyramide qui dirige le satanisme en Grande-Bretagne. Ils
jouissent de protections au plus haut niveau. Les pédophiles satanistes
sont très présents à Londres. »10 Les cortèges et les sourires couronnent une réalité plus ténébreuse.
Corriere della Sera
du 18 mars 1990 dénonce qu’à « Londres, des bébés torturés au cours de
rites sataniques, des fœtus extraits de force du ventre de mères
mineures sont immolés. Aux confins de la réalité, des témoignages
parlent de bébés et d’adolescents offerts aux grands prêtres d’une secte
satanique et à leurs adeptes pour être violentés. Une fois enceintes,
des adolescentes doivent avorter : le fœtus de quatre mois est sacrifié
pour la purification des satanistes qui en boivent le sang. Une enquête
conduite par 66 groupes de recherche de la National Society for the
Prevention of cruelty against children (Société nationale pour la
prévention de la cruauté contre les enfants) confirme l’existence de
telles pratiques au Royaume-Uni. »11
Consommation de fœtus lors d’une scène satanique
Le
19 janvier 1998, lors de la cérémonie de fondation du Tribunal
international Martin Luther King, le Dr Dianne Core annonçait qu’en
Angleterre, en avril 1998, débuterait le procès pour viol d’une
adolescente violentée dès l’âge de quinze ans. Une fois pubère, elle a
été mise enceinte huit fois, et a dû avorter chaque à quatre mois de
grossesse. Les fœtus étaient ensuite conservés dans un congélateur pour
être ensuite consommés lors de scènes sataniques, avec la participation
des mères avortées. »12
Le
rapport entre la pédophilie et le satanisme est maintes fois établi. Le
père sicilien Don Fortunato Di Noto, fondateur en 1996 de l’association
Meter contre la pédophilie, a révélé l’existence d’un site Internet
satanique mettant en ligne des photographies terribles de sacrifices de
jeunes victimes offertes à Satan. Le père Di Noto a déclaré : « On
soupçonnait le lien entre satanisme, pédophilie et sacrifices humains.
Mais nous n’avions jamais trouvé de sites aussi cruels affichant les
photographies de sacrifices sur des sujets mineurs. Les images n’étaient
pas le résultat de photomontages. 13 »
Le courage de ce prêtre italien a été récompensé en 2001, par sa
nomination à l’Ordre national du mérite de la République italienne. Il
semble que ce pays peut encore récompenser des personnalités honorables.
En Angleterre, en mars 1990, un enfant s’est livré à des révélations ahurissantes. Le quotidien Il Giorno
rapporte : « Dans ses récits confus émergent des scénarios
d’assassinats sur des nouveau-nés, de tombes ouvertes la nuit, de
cannibalisme, des rites mystérieux avec des démons et des enfants
contraints de boire de mystérieuses potions avant d’être violés et
enfermés dans des cages. » 14 Le quotidien italien affirmait que les criminels profitaient de protections de haut niveau.
Lobby politique et pédophilie
Le
célèbre journaliste milanais Maurizio Blondet, également connu pour ses
positions catholiques traditionnelles, au cours d’une enquête publiée
dans le périodique Teologica,
relate : « Des personnalités appartenant à l’élite se réunissent les
nuits de pleine lune pour pratiquer d’étranges rites, sur une île située
à proximité de Washington. Naturellement, personne ne veut aborder un
pareil sujet, car ce sont des gens très puissants. Dans certains
entourages politiques de haut niveau, il se dit à demi-mot que des
enfants y sont violés. Le tout se déroule dans un rituel de magie noire.
Ce ne sont pas des personnes communes qui s’adonnent à de tels rites,
mais il s’agit d’individus dotés de hautes charges, des fonctionnaires
du Pentagone, etc. »15
Horreurs
après horreurs, les preuves d’adorateurs de Satan sacrifiant des
enfants ne cessent de se recouper. La presse italienne ne manque pas de
plumes courageuses pour dénoncer ces abominations. Corriere della Sera
informe : « Horreur à Londres après la découverte d’un marché de films
pour pédophiles. (…) Scotland Yard a enquêté sur au moins vingt enfants
disparus les six dernières années et ayant connu une fin horrible. Une
équipe a été formée pour enquêter dans le marché crasseux des vidéos
pornographiques, les snuff movies destinés à des pédophiles sataniques. En argot, snuff signifie mourir ;
dans ces vidéos, les petites victimes sont filmées alors qu’elles sont
torturées, violées et assassinées. La police est convaincue qu’au moins
six enfants sont morts de cette manière à Londres et dans le comté du
Kent. L’Angleterre a appris avec stupéfaction qu’au sein de la société,
circulent des monstres prêts à filmer les tourments, l’agonie et la mort
des enfants pour satisfaire la perversité de beaucoup d’autres monstres
[richissimes], qui déboursent des dizaines de millions pour une copie
de film. »16 Sommes qui ne sont pas à la portée de la majorité des Britanniques.
Les mystères de la Belgique
250 millions de snuff movies
sont commercialisés dans le monde entier. Aux États-Unis, pas moins de
20 millions de vidéos auraient été vendues dans les années 1990. Ce sont
des scènes toujours plus cruelles montrant toujours la torture et la
mort d’enfants. Chaque année, dans le monde, un million de bébés et
d’adolescents sont victimes de la prostitution, du tourisme sexuel, de
la pédophilie, de la pornographie, du sadisme de détraqués et de
satanistes. De telles horreurs ont été révélées dans le cadre de
l’affaire du pédocriminel Marc Dutroux, surnommé le « monstre de
Marcinelle [section de la ville wallonne de Charleroi] ».
Les
vidéos de Dutroux montrent des enfants violés et mis à mort. La
dénonciation a été faite par Sophie Wirtz, juriste et responsable de la
section belge du Mouvement du Nid, association d’aide aux personnes
prostituées. « Dans cette tragédie, le fond de l’horreur n’a pas encore
été touché. », a-t-elle déclaré17.
Dans
l’entretien publié par un quotidien italien, la juriste affirme qu’au
début de l’affaire Dutroux, six cents vidéos-cassettes de pornographie
de mineurs séquestrés étaient en circulation. La présidente du Nid
explique que « la pédophilie n’est pas un rapport affectif, mais
l’expression de domination sur l’enfant dont le stade extrême est la
mort »18.
L’affaire Dutroux concentre des faits de pédophilie, d’homicide, de nécrophilie, de snuff movies et implique des personnes de la haute société belge, du monde de la haute finance et de la politique.
En
1989, Dutroux avait déjà été condamné à treize années de prison pour
avoir séquestré et violé à plusieurs reprises deux mineures en 1985, en
compagnie de Michelle Martin, condamnée à six années pour des faits
analogues. Cependant, le couple pédo-criminel n’a pas purgé la totalité
de sa peine : Michelle Martin et Marc Dutroux sont libérés en août 1991
et avril 1992 par une grâce du roi, malgré l’opposition du procureur et
des psychiatres. Il ne faudra pas attendre bien longtemps pour que Marc
Dutroux récidive. En novembre 1992, il est accusé d’attouchements
sexuels sur des jeunes filles à la patinoire de Charleroi. Interrogé par
la Police communale, il est aussitôt relâché sans être inquiété. [Il
se murmure alors que les petites victimes sont bien plus nombreuses
qu’il n’a été rapporté : le 17 août 1996, dans la propriété de Marc
Dutroux sont les corps de deux fillettes de neuf ans Julie Lejeune et Mélissa Russo, enlevées le 24 juin 1995.
Selon
les autopsies, les deux fillettes avaient l’anus largement dilaté.
Mélissa avait les mains attachées quand on l’a retrouvée morte. Les
liens aient été placés post mortem
pour déplacer le corps, qui ne pesait que seize kilogrammes. Les jambes
de l’enfant auraient aussi été fracturées post mortem. Elle n’avait
plus d’hymen et le vagin était dilaté d’environ quinze centimètres de
diamètre. Ces preuves démentent alors la version officielle voulant
exposant que les fillettes seraient mortes de faim et de soif dans la
cave de Marc Dutroux.
Pendant
qu’en Belgique 350 000 personnes manifestaient contre le « monstre de
Marcinelle », le silence le plus épais entourait l’arrestation survenue
au Sri Lanka, en octobre 1996, de Victor Baumann. Cet industriel
helvétique qui, à la tête de plusieurs sociétés au Sri Lanka, employait
mille deux cent personnes et finançait une école, ainsi qu’un
dispensaire, a été accusé du viol de mille cinq cents enfants !
La secte Anubis et le cas Dutroux
La
tante d’une des deux fillettes assassinées par Marc Dutroux a fait de
graves déclarations : « Le marché des vidéos porno qui met en scène des
mineurs compte des ramifications dans toute l’Europe, notamment aux
Pays-Bas, en Allemagne et en Suisse. » Le quotidien flamand De Standaard
a divulgué qu’au moins quatre policiers faisaient partie de la secte
satanique Abrasax, suspectée d’avoir acheté des enfants au pédo-criminel
Dutroux pour ses rites.
Cette
découverte déconcertante a été réalisée grâce à une lettre (« un bon de
commande ») trouvée lors des recherches des corps de Julie et Melissa,
ensevelies vivantes par le même Dutroux dans la maison de Bernard
Weinstein.
Dans cette lettre de la secte satanique signée Anubis,
il était demandé à Weinstein de « ne pas oublier que la grande fête
approche et nous attendons le cadeau pour la grande prêtresse ».
Un
autre étrange document demande de trouver « huit victimes d’un à
trente-trois ans ». Anubis, de son vrai nom Francis Desmedt, est « grand
maître » de la soi-disant « vieille religion », une sorte d’association
internationale de sorcières. La grande prêtresse n’est autre que
Dominique Nephtys, membre de l’église belge de Satan. Quels sont les
autres membres de cette secte satanique restée secrète ? Il est bien
difficile de répondre, car les enquêtes n’ont pas pu avancer : le 14
octobre 1996, le juge d’instruction anti-pédophile Jean-Marc Connerotte a
été dessaisi par la cour de cassation,
pour avoir assisté à un souper spaghettis de soutien aux victimes de
Marc Dutroux, dans le cadre d’une soirée organisée le 21 septembre.
Le
magistrat n’enquêtera donc plus sur Dutroux, alors qu’il était devenu
un héros populaire. Cette annonce a provoqué des manifestations et des
grèves multiples. Une femme, pendant que les manifestants hurlaient
« Justice pourrie », s’est exclamée : « Aujourd’hui des enfants sont
assassinés pour la seconde fois ».
Le
12 décembre 2013, l’affaire Dutroux connaît un nouveau rebondissement :
lors de la procédure de levée de son immunité parlementaire, le très
courageux député fédéral belge Laurent Louis révèle être soutenu dans sa
démarche par la grand-mère de Julie Lejeune, une des petites victimes
de Dutroux. Il affirme aussi avoir rencontré un jeune homme qui a été
violé à quatorze ans par Di Rupo. Laurent Louis a reçu le soutien de
l’humoriste Dieudonné qui dans son spectacle interdit Le Mur, évoquait la pédophilie, laissant entendre ses liens avec les plus hautes sphères de l’Etat !
Le
parquet général avait demandé à la Chambre de lever son immunité
parlementaire, voté à l’unanimité par la clique des députés afin qu’il
puisse être jugé. Le 7 juin 2012, Laurent Louis avait été inculpé pour
recel de pièces du dossier Dutroux ainsi que pour calomnie à l’égard
d’un journaliste présenté comme « protecteur des pédophiles ». Cette
dernière prévention concerne également des « injures » proférées à
l’adresse d’Elio Di Rupo, que le député avait plusieurs fois traité de
pédophile.
Le consul pédophile
Des
personnes au-dessus de tout soupçon continuent de massacrer des enfants
en toute impunité. Le consul-adjoint israélien en poste au Brésil, Arie
Scher, accusé de pédophilie et de trafic de mineurs, a fui le Brésil le
5 juillet 2000 pour se réfugier en Israël. Scher aurait réussit à
quitter l’Amérique latine avant que les forces de l’ordre ne diffusent
son identité aux postes de frontière. La police brésilienne a recueilli
les déclarations d’une adolescente de treize ans qui aurait « participé à
plusieurs jeux fétichistes dans l’appartement du consul, situé dans
l’élégant quartier d’Ipanema, dans le Sud de Rio de Janeiro. Sur une des
photographies trouvées lors de la perquisition de l’appartement, la
même enfant apparaissait nue, embrassant le consul. Selon la police,
Scher et son complice, le Pr George Schteinberg, possédaient neuf sites
Internet de pornographie et de pédophilie19. » Tel Aviv qui refuse les accusations de la police Brésilienne, nommera Arie Scher consul de l’État hébreu en Australie.
La chasse aux enfants en Belgique
L’hebdomadaire Diario20
a décrit des faits horribles liés à la pédophilie, qui se sont déroulés
à Aruba, petite île-État de la mer des Caraïbes rattachée au royaume
des Pays-Bas : « Après la terrible dénonciation de l’Eurodéputé belge
Olivier Dupuis au Congrès radical, Diario relate des chasses aux enfants, assassinés à coups de fusil en guise de divertissement. Le reportage La chasse aux enfants en Belgique,
signé du journaliste italien Gianluca Paolucci, est repris par
l’hebdomadaire : « Durant le congrès du Parti radical, le député
européen belge Olivier Dupuis a lancé une série d’affirmations qui ont
fortement choqué le public : dans son pays, des enfants ont été
contraints de subir des violences en tout genre. Ils ont été assassinés
comme des lapins, lors de parties de chasse auxquelles participaient des
personnes de l’aristocratie, des financiers, des notables et des
fonctionnaires de l’Etat. »
« Des personnalités au-dessus de tout soupçon »
Le
satanisme constitue un danger en pleine expansion. Les adorateurs du
diable sont en constante augmentation, également à Rome. Le quotidien Avvenire révèle : « Une autre secte satanique de trois mille adeptes a été découverte à Rome.. » 21 Cet article dévoile aussi que « la congrégation comptait ‘parmi ses affiliés des personnalités du monde du spectacle… »
À
Londres, Scotland Yard enquête sur de la disparition de 2 500
adolescents. Le journaliste Alfio Bernabei rapporte d’autres faits
terribles qui se sont produits dans la capitale anglaise : « De la chair
d’enfants et de fœtus humains a été consommée par des hommes et des
femmes ayant pris part à des rituels cannibales, ces dernières années,
dans le cadre d’une commémoration satanique. Des enfants ont été
torturés, violés et sacrifiés sur des autels. » 22
Mille cinq cent personnes disparues en six mois
Aux
États-Unis, ces horreurs sont encore plus fréquentes. La ville
californienne de Modesto détient le record national des États-Unis en
termes de disparition, avec mille cinq cent personnes disparues en six
mois23.
Fay Yager, directrice du Centre pour la défense des enfants, Children
of the Underground, expose que les enquêteurs sont de plus en plus
confrontés au monde mystérieux des sectes sataniques. En 1989, sur Canale 5, lors de l’émission Arcana,
le journaliste Giorgio Medail affirmait qu’aux États-Unis, chaque
année, sont assassinés au cours de rites sataniques cinquante mille
personnes, dont de jeunes enfants.
Selon
Ted Gunderson, ces crimes horribles, dans la grande majorité des cas,
restent impunis faute de volonté politique. L’ancien agent du FBI argue
que la loi n’est pas appliquée, parce que ces groupes comptent des
soutiens au plus haut niveau de l’État. Selon lui, ‘aux États-Unis, deux
scandales liés à la prostitution infantile et à la production de snuff movies
impliquant des politiciens proches de la Maison-Blanche et au-dessus de
tout soupçon, ont été étouffés. Les services secrets, qui dépendent
directement du président, sont intervenus pour faire cesser les
enquêtes. Les victimes ont été emprisonnées et les témoins sont morts
dans d’étranges accidents24.
À l’issue d’une longue enquête, le journaliste Paul Rodriguez, du Washington Times,
a affirmé : « J’ai réussi à prouver que des personnes liées à la
Maison-Blanche géraient un réseau de jeunes garçons. J’ai trouvé
plusieurs documents qui attestent l’implication de Craig Spence dans les
organisations de parties gays et pédophiles. Probablement ancien agent
de la CIA et ex-directeur de l’équipe de George Bush, il était lié à la
Maison-Blanche, chargé d’organiser un réseau aux services de la
Maison-Blanche [ce lobbyiste Républicain sera retrouvé mort en 1989,
dans sa chambre, à l’hôtel Ritz-Carlton, le plus cher de Boston]. Le
nom d’un autre député, Barry Franks, apparaît dans ce scandale
pédophile. Pendant une année, nous avons travaillé à quatre : les
informations collectées sont terrifiantes. Exclu des enquêtes, le FBI
s’est donc occupé des services secrets qui dépendent directement de la
Maison-Blanche. Ce réseau criminel comprenait des représentants
Républicains et Démocrates. Il s’étendait de New York à la Pennsylvanie,
du Nebraska à la Californie. Des garçons étaient enlevés dans la rue et
séquestrés dans des fermes. Les victimes étaient également prises dans
des instituts d’adoption ou dans les campings. »25
Paul
Rodriguez a mené plusieurs enquêtes avant de publier, en première page
de son journal, des articles sur un réseau d’enfants impliquant des
députés et des VIP appartenant à l’entourage de Ronald Reagan et de
George Bush.
Les
titres des articles de Paul Rodriguez étaient particulièrement
éloquents : « Sexe en vente dans l’appartement d’un député », « le
service secret fait cesser l’enquête sur des prostituées de VIP », « des
enfants prostitués emmenés au milieu de la nuit à la Maison-Blanche ».
Après quelques mois, Paul Rodriguez renonça mystérieusement à ses
enquêtes sur la pédophilie au sommet de l’État américain.
Le trafic d’organes
Il
y a aussi un marché des organes provoquant des scènes criminelles sur
des enfants. Les clients reçoivent un catalogue d’organes servant soit à
des mises en scènes fétichistes et sataniques, soit à des
transplantations clandestines. Ce commerce particulièrement répugnant
engendre aussi la disparition, chaque année, de centaines de mineurs,
victimes de réseaux internationaux26.
Le parlementaire hondurien Rosario Godoy de Osejo, fondateur d’un
comité pour les enfants disparus, expose : « Le prélèvement d’organes
sains sur de jeunes sujets pour alimenter la vente des pays riches
explique les nombreux cas de disparition d’enfants exportés à
l’étranger. » Il affirme qu’au Honduras, le président Callejas était
impliqué dans ce trafic, comprenant aussi de fausses adoptions et ayant
causé, dans les années 1990, l’enlèvement de huit cents enfants27.
Il existerait vraiment des sortes de supermarchés proposant des organes de jeunes cadavres. La Gazetta del Sud
commente : « L’ONU a officiellement dénoncé le trafic d’enfants qui a
pour finalité le commerce d’organes dans certains pays. (…) La
commission des Nations unies a examiné de nombreux témoignages, des
documents écrits et aussi des vidéos fournies par des organisations
liées à la protection de l’enfance. Un porte-parole de la commission a
refusé de communiquer le nom des pays suspectés dans ce trafic. » 28
Éric
Sottas, fondateur, en 1985, de l’Organisation Mondiale Contre la
Torture, a rappelé le cas de 1 395 jeunes malades disparus en Argentine,
de l’hôpital psychiatrique de La Colonia Montes de Oca, situé à côté de
Buenos Aires. Éric Sottas a évoqué la découverte dans un frigo de la
chambre mortuaire de la Faculté de médecine de l’Université de
Barranquilla, en Colombie, de nombreux corps où étaient prélevés des
organes destinés à alimenter le trafic de transplantation29.
Ce
monde de l’horreur paraît sans fin : Baby Doc, l’ex-directeur d’Haïti,
se serait enrichi en commercialisant des cadavres frais et des organes
congelés auprès de cliniques américaines, et d’instituts américains
universitaires ou de recherche. (…) Au Guatemala aussi, un trafic était
spécialisé dans la vente d’enfants aux États-Unis pour des
transplantations clandestines30.
En Colombie, des enfants sont enlevés alors qu’ils jouent dans la rue.
Des laboratoires leur enlèvent les yeux avant de les relâcher31.
Le quotidien italien La Repubblica relate
que les techniques de recherches de l’Université de l’Indiana, aux
États-Unis, permettent de régénérer le cœur tout en évitant une
transplantation. L’intervention consiste à prélever une cellule du cœur
d’un embryon et de l’implanter sur le muscle cardiaque d’un adulte.
Ainsi, l’organe malade bénéficie de la force et de la longévité des
jeunes cellules. Pour réduire les risques de rejet, la cellule neuve
pourrait être prélevée sur le fils du recevant, c’est-à-dire un embryon
créé en éprouvette avec les spermatozoïdes du père et les ovules de la
mère32.
Afin
d’adopter un tel système, on pourra aussi utiliser l’ovule d’une
donatrice anonyme, afin que les cellules soient génétiquement
identiques. Ainsi, ‘pour redonner de la force à son cœur vieilli, il
faudra procréer un enfant, puis l’assassiner pour se faire greffer ses
jeunes cellules. Ces techniques particulièrement morbides peuvent en
théorie fonctionner sur des fœtus qui seront ensuite avortés.
En 1996, dans son ouvrage Il grande peccato ieri e oggi (Le
grand péché d’hier et d’aujourd’hui), P. Andrea D’Ascanio mentionne une
nouvelle tendance cannibale : des fœtus avortés sont aujourd’hui
utilisés comme compléments alimentaires pour garantir une peau souple et
un corps plus fort. Pour ce faire, des cadavres sont utilisés en
cuisine afin de préparer des soupes excellentes pour la santé. C’est la
dernière nouveauté diététique en vogue en Chine. Selon P. Andrea
D’Ascanio, notre système, de plus en plus éloigné de la réalité, prépare
‘un monde factice, où ‘des évènements atroces se déroulent en
coulisses : par exemple, en Grande-Bretagne, vingt-hui enfants ont été
assassinés pour tester un nouveau traitement.
Concernant des évènements similaires qui se sont produits à l’hôpital universitaire de Stoke-on-Trent, en Grande-Bretagne,entre 1989 et 1993, Il Manifesto
publie : « Tels des cochons d’Inde, des nouveau-nés prématurés ont
servi à l’expérimentation d’un nouveau ventilateur de couveuses : sur un
total de 122 enfants soumis au nouveau traitement, 28 sont décédés et
plus de 15 ont été victimes des dommages cérébraux permanents. » 33 Ce terrible bilan est tiré du rapport d’une commission d’enquête ordonnée par le ministère de la Santé britannique.
Trafics d’organes : révélations au péril de la vie
En mai 1996, Xavier Gautier, grand reporter au Figaro, a été trouvé pendu dans sa résidence d’été dans l’île de Minorque (Baléares). Le seul indice était l’inscription sur un mur, en espagnol « traîtres, diable rouge ». Les
enquêteurs espagnols ont privilégié la piste du suicide ! Avant de
partir en vacances, Xavier Gautier avait travaillé sur une longue
enquête concernant un trafic d’organes présumé, provenant de Bosnie,
pour une clinique d’Italie du Nord. Antonio Guidi, diplômé de médecine
de La Sapienza, ministre de la Famille de 1994 à 1995 et ministre de la
Santé de 2001 à 2006, ‘explique : « Le phénomène est mondial. Mais
l’Italie, qui a constitué un lieu de transition pour le trafic de
drogue, est devenue un point de transit pour le trafic d’enfants. Ils
arrivent de pays instables de l’Est de l’Europe et d’Afrique. Ces
enfants sont de la viande de réserve pour les riches. Des dépôts
d’organes pour les fils de ceux qui ont de l’argent. » Cependant, quand
il lui est demandé si ces enfants ont été mutilés pour que les organes
servent à des transplantations en Italie, il rétorque avec beaucoup de
légèreté et un certain sadisme : « En Italie, non. C’est impossible !
Ils traversent nos terres comme des oiseaux migrateurs, dont le destin
est d’être abattus. » 34
Les accusations faites à l’Italie
Pourtant, La Nacion de Buenos Aires
s’est fait l’écho des accusations de don Paul Baurell, professeur de
Théologie de l’Université brésilienne de Sao Paolo, et de celles faites
le 1er août
1991 à Genève par Renée Bridel, déléguée de l’association
internationale des juristes démocrates, auprès du groupe de travail sur
l’esclavage des Nations unies, qui accusent l’Italie de pratiquer le
trafic d’organes. Les articles de La Nacion de Buenos Aires ont été repris par le quotidien brésilien O Globo di Rio, qui définit l’Italie comme étant l’un des plus grands importateurs d’enfants du Brésil. Le correspondant d’O Globo di Rio à Rome affirme : « L’Italie et le plus important acheteur de bébés. »
Cette même année, le quotidien La Repubblica di Lima dénonce, avec une liste de noms à l’appui, des ressortissants italiens venus au Pérou pour acheter des nouveau-nés. Corriere della Sera
commente : « Selon la presse de Lima, des ressortissants italiens
auraient importé 1 500 petits Péruviens, qui seront ensuite assassinés
pour permettre l’exportation de leurs organes. » 35
Ces
enfants enlevés, réduits en esclavage, violés, contraints à se
prostituer, immolés à Satan ou assassinés pour que soient dérobés leurs
organes, constituent une réalité infernale ‘à l’échelle planétaire,
comme le certifie Renée Bridel. Bien entendu, ni la presse ni la
télévision ne dénoncent la gravité de cet univers pervers fait de
souffrance d’enfants innocents. Tous ces donneurs de leçons, ces grands
théoriciens morbides de la démocratie, en parlent seulement avec
parcimonie, pour ne pas éveiller les consciences sur un monde politique
complice de sectes satanistes.
1 Il Giornale du 15/3/1997.
2 La Stampa du 8/2/1987.
3 Nexus n° 23, juin 1999, (édition italienne).
4 Laurent Glauzy, Illuminati : de l’industrie Rock à Walt Disney, les arcanes du satanisme, La Maison du Salat, 2012, p. 14.
5 Avvenimenti du 17/7/1991
6 John DeCamp, The Franklin Cover-up, AWT, Inc. Lincoln, Nebraska, 1992.
7 Giovanni Caporaso et Massimiliano Cocozza Lubisco, Bambini. Il mercato degli orrori (Enfants. Le marché des horreurs) dans Avvenimenti du 17/7/1991.
8 Corriere della Sera du 20/5/1990.
9 G. Caporaso et M. Cocozza Lubisco, op.cit.
10 Executive Intelligence Review, vol. 16, n° 8 du 17/2/1989 : Pedophiles arrestedmore powerful thanthe Mafia in Britain.
11 Corriere della Sera du 18/3/1990.
12 Executive Intelligence Review, op.cit.
13 Gazzetta del Sud du 1/7/2000.
14 Il Giorno du 15/9/1990.
15 Teologica, septembre/octobre 1996.
16 Corriere della Sera du 28/7/1990.
17 Gazzetta del Sud du 23/11/1996.
18 Idem.
19 Gazetta del Sud du 7/7/2000.
20 Diario du 12/4/2000.
21 Avvenire du 5/9/1996.
22 L’Unità du 9/8/1990.
23 Diario della settimana n° 17 du 28/4/1999.
24 Idem.
25 Idem.
26 Visto du 8/11/1996.
27James Dunkerley, The Pacification of Central America : Political Change in the Isthmus, 1987-1993, 1994, p. 19.
28 Gazzetta del Sud du 25/8/1995.
29 Libération du 7/12/1987 et Milly Schar-Manzoli, Manuale di difesa immunologica, Padova, MEB, 1988.
30 Corriere del Ticino du 6/3/1987 et Gente du 20/3/1987.
31 Idem.
32 La Repubblica du 23/11/1994.
33 Il Manifesto du 9 mai 2000.
34 Il Giornale du 4/9/1995.
35 Corriere della Sera du 7/9/1991.
2 La Stampa du 8/2/1987.
3 Nexus n° 23, juin 1999, (édition italienne).
4 Laurent Glauzy, Illuminati : de l’industrie Rock à Walt Disney, les arcanes du satanisme, La Maison du Salat, 2012, p. 14.
5 Avvenimenti du 17/7/1991
6 John DeCamp, The Franklin Cover-up, AWT, Inc. Lincoln, Nebraska, 1992.
7 Giovanni Caporaso et Massimiliano Cocozza Lubisco, Bambini. Il mercato degli orrori (Enfants. Le marché des horreurs) dans Avvenimenti du 17/7/1991.
8 Corriere della Sera du 20/5/1990.
9 G. Caporaso et M. Cocozza Lubisco, op.cit.
10 Executive Intelligence Review, vol. 16, n° 8 du 17/2/1989 : Pedophiles arrestedmore powerful thanthe Mafia in Britain.
11 Corriere della Sera du 18/3/1990.
12 Executive Intelligence Review, op.cit.
13 Gazzetta del Sud du 1/7/2000.
14 Il Giorno du 15/9/1990.
15 Teologica, septembre/octobre 1996.
16 Corriere della Sera du 28/7/1990.
17 Gazzetta del Sud du 23/11/1996.
18 Idem.
19 Gazetta del Sud du 7/7/2000.
20 Diario du 12/4/2000.
21 Avvenire du 5/9/1996.
22 L’Unità du 9/8/1990.
23 Diario della settimana n° 17 du 28/4/1999.
24 Idem.
25 Idem.
26 Visto du 8/11/1996.
27James Dunkerley, The Pacification of Central America : Political Change in the Isthmus, 1987-1993, 1994, p. 19.
28 Gazzetta del Sud du 25/8/1995.
29 Libération du 7/12/1987 et Milly Schar-Manzoli, Manuale di difesa immunologica, Padova, MEB, 1988.
30 Corriere del Ticino du 6/3/1987 et Gente du 20/3/1987.
31 Idem.
32 La Repubblica du 23/11/1994.
33 Il Manifesto du 9 mai 2000.
34 Il Giornale du 4/9/1995.
35 Corriere della Sera du 7/9/1991.
Frédéric BERGER
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