LES POUBELLES FRANCAISES DE FRED

LES POUBELLES FRANCAISES DE FRED

samedi 14 avril 2012

PEDOPHILIE, VIOL, SAINT-TROPEZ, DRAGUIGNAN, BANDOL, GENDARMERIE, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

                                                         L’ÉCHO des MONTAGNES, dans le légitime but de vous informer, constate qu'aucun des candidats,à l'élection présidentielle française, ne parle de la protection des enfants et de la pédocriminalité?

Pourquoi?

La réponse est dans la sinistre affaire de pédophilie  suivante:

                                                         
                                                    L’AFFAIRE  ‘’AMIDLISA’’

Sophie Giuli et Eric Mignot, non mariés, ont eu ensemble 3 enfants.
Eric Mignot devenant de plus en plus violent, Sophie Giuli le quitte.
Eric Mignot n’accepte pas cette séparation. Selon ses termes, Sophie « il l’a dans la peau »

En septembre 2007, Sophie Giuli et Eric Mignot sont séparés depuis 2 ans ½.
La maman, sans reproche, a la garde de ses 3 enfants qu’elle n’a jamais quittés :
Margaux 6 ans1/2, Hugo 5 ans et Théodore âgé de 3 ans.

En plus des fréquentes incursions d’Eric Mignot chez Sophie Giuli qui le recevait sans problème,
Eric Mignot bénéficiait d’un droit de visite et d’hébergement traditionnel
qui lui permettait de recevoir ses enfants tous les 15 jours.

LE DRAME


Le dimanche 7 octobre 2007 à 19 heures, lors de leur retour de week-end chez leur père,
Margaux revient dans un état épouvantable, prostrée, choquée.

Après une nuit cauchemardesque de Margaux, Sophie Giuli consulte le médecin traitant dès le
 lendemain matin 8 octobre. Le médecin consulté donne 21 jours d’arrêt d’école aux 3 enfants.

Le mal-être de Margaux persistant, Sophie Giuli consulte la psychologue Madame Lavallée.
Madame Lavallée voit Margaux « bloquée ».
Elle lui propose de se confier en aparté à son papy présent.
Margaux s’épanche auprès de « son papy » Jack Maillard qui reçoit comme un uppercut ses révélations.
Il revient avec elle dans le cabinet de consultation.
Margaux, qui vient de le révéler à son papy, raconte en détail son viol à la psychologue.
Madame Lavallée conseille à Sophie Giuli de porter plainte à la gendarmerie.

Sophie Giuli dépose plainte à la gendarmerie de St-Tropez pour viol de sa fille par un ami du père.

Le lendemain à l’issue des formalités pour démarrer l’enquête, les gendarmes, sur ordre du Procureur, lui retirent ses 3 enfants pour les mettre en sécurité 24 ou 48 heures, lui disent-ils, le temps d’entendre le père et son ami.

S’ensuit un long silence… Plus aucune nouvelle de ses enfants !… Black-out qui dure des semaines !!!

Partout où elle s’adresse on lui répond :  « Ordre du Procureur de ne rien vous dire ».

Trois semaines plus tard, obtenant enfin quelqu’un pour lui répondre à l’ASE, elle apprend que le Juge des enfants dont elle n’a pas reçu de convocations pour ses audiences, a remis la garde exclusive des enfants à leur père.

On a appris par la suite que ce n’est pas seulement Margaux mais les 3 enfants qui sont violés et ce depuis août 2007, par le père tous les jours et par des amis du père, hommes et femmes, avec d’autres enfants, les mercredis, samedis et dimanches.

On apprendra aussi qu’ils assistent à des meurtres réels d’enfants qui sont filmés ce qui s’appelle des snuff movies.

Cela fait 4 ans….la maman ne voit plus ses enfants qu’en milieu surveillé 2 à 4 heures par mois et reçoit des promesses de mort de la part du père !

Une courageuse gendarme du Var ‘’AMIDLISA’’ dénoncera sur Internet en novembre 2009 ce réseau pédophile et meurtrier couvert par la Justice. Sa lettre est diffusée sur de très nombreux sites, sous le nom AMIDLISA.



RAPT D’ENFANTS PAR LA JUSTICE



I    Les faits 

D’une union libre avec Eric Mignot, maçon, Sophie Giuli a eu 3 enfants, Margaux née le 17 avril 2001, Hugo né le 28 août 2002 et Théodore le 15 juillet 2004.

Ils se sont séparés en février 2005. Le Juge aux Affaires Familiales de Draguignan le 18 novembre 2005 a fixé la résidence principale des enfants chez la mère et a établi le 26 février 2006 un droit de visite et d’hébergement pour le père les 1er, 3ème et 5ème fins de semaines du mois et la moitié des vacances scolaires. 


Professeur de Français et de Latin, elle a pris un congé parental qui se terminait en juillet 2007 pour s’occuper pleinement de ses 3 enfants qu’elle a allaités au total pendant 32 mois et qu’elle n’a jamais quittés. 


Eric n’accepte pas la séparation et a promis à Sophie, ayant dit-il des amis au bras long, une vengeance qu’elle ne peut même pas imaginer !   




LE VIOL DE MARGAUX


Année 2007

Au retour de chez son père le dimanche 7 octobre 2007, Margaux 6 ans est en état de choc, ses frères sont très nerveux et font des cauchemars la nuit. Le lendemain, le médecin leur a donné 3 semaines d’arrêt d’école en raison de leurs troubles de comportement. 


Le 10 octobre 2007 après la révélation des enfants chez une psychologue de viols sur sa fille par voie buccale et anale par un ami du père, Sophie Giuli a porté plainte sur injonction de cette psychologue à la Brigade de recherches de la gendarmerie de Saint-Tropez.  

Un pédiatre a été mandaté le jour-même pour consulter l’enfant. Il n’a pas constaté de traces de viols mais il a relevé un trouble psychoaffectif grave et a estimé que cet état très perturbé, 3 jours encore après les faits, nécessitait 8 jours d’ITT, ajoutant verbalement que ce n’est pas parce qu’il n’a pas relevé de traces qu’il n’y a rien eu.    


Une audition filmée des 3 enfants a lieu le lendemain à la gendarmerie de Bandol.

Les 2 garçons confirment les baisers de force sur la bouche de la part de « Didier » sur Margaux qui pleurait et se défendait.
Margaux fait comprendre indirectement, sans le dire clairement, qu’il s’est passé quelque chose de grave puisqu’elle ne veut plus aller chez son père et ne veut plus voir Didier qu’elle trouve méchant et déclare que « papa lui a dit de ne rien dire. »   

Depuis cette gendarmerie Sophie Giuli envoie un fax au Procureur de Draguignan pour l’informer qu’à la fin de ses obligations pour l’enquête qui se terminent à la fin des auditions de ses enfants, elle quitterait la région avec ses enfants pour leur faire oublier leurs cauchemars et les mettre en sécurité de leur père. Elle lui a donné ses numéros de téléphone pour qu’il puisse la joindre en cas de besoin.   


Le Procureur ordonne aussitôt une visite de Margaux chez le Dr Bensoussan pédopsychiatre à l’Hôpital de jour pour enfants de Cogolin. 


Là, la petite confirme que ce qu’elle a dit la veille chez la psychologue est vrai.

La pédopsychiatre la trouvant trop fatiguée veut la revoir 8 jours plus tard, le 18 octobre à 15 heures pour approfondir l’examen, ce qui ne sera jamais réalisé.  


Après la remise du carton de rendez-vous par les gendarmes Sophie Giuli  quitte les lieux avec les enfants et commence son voyage sur Paris. Elle trouve un hôtel pour la nuit, peu avant Aix-en-Provence.

Sa mère et son beau-père sont restés sur place dans la cour de l’hôpital pour attendre les gendarmes qui étaient retournés dans le cabinet du médecin, pour savoir comment se passerait la suite.


Quand les gendarmes sont sortis du cabinet médical vers 16h30, ils étaient affolés, surexcités en voyant que les enfants et leur mère n’étaient plus là.
Ils ont appelé immédiatement le Procureur et ont dit à sa mère, Brigitte Gaboriaud, qu’il fallait qu’elle dise à sa fille de se rendre au plus tôt à leur gendarmerie. Elle leur a assuré qu’il n’y avait pas de problème puisqu’elle pouvait garder les enfants. Ils ont répondu alors : «  Ah non ! Il faut qu’elle vienne avec les enfants ! »  


Une heure plus tard, les gendarmes se sont rendus chez elle, fouillant sans mandat son appartement et ont dit qu’ils ne partiraient pas tant qu’ils ne sauraient pas où était sa fille.

Peu après Sophie téléphone à sa mère pour lui demander de la rejoindre à l’Hostellerie de la Ste-Baume à St-Maximin où elle avait trouvé 2 chambres pour la nuit.

Les gendarmes, entendant le nom de l’hôtel, téléphonent immédiatement à leurs collègues.

Puis une religieuse de l’Hostellerie, peu avant 18 heures, appelle Madame Gaboriaud pour lui demander à quelle heure ils comptent arriver pour le dîner.


Elle n’a pas eu le temps de répondre, le gendarme lui a arraché le téléphone des mains et a dit à la religieuse que Sophie Giuli était en fuite et qu’elle était recherchée par la police, ce qui était faux, qu’il fallait qu’elle prévienne immédiatement la gendarmerie pour les informer que cette dame était chez elle avec les enfants, qu’elle lui donne à dîner mais pas de chambre et qu’elle l’empêche de fuir jusqu’à leur arrivée.

Obéissant au gendarme, la sœur a téléphoné à la gendarmerie et a fait bloquer sa voiture par 2 grosses poubelles et un tronc d’arbre.  



Accompagnés de son beau-père à qui ils avaient demandé de venir avec eux pour ramener son véhicule et signer une autorisation d’internement si le maire ne voulait pas signer car lui ont-ils dit :
« quand on retire des enfants à une mère elle devient folle ou elle se suicide »,
onze gendarmes en uniforme ont débarqué à 21 heures dans la chapelle de l’Hostellerie transformée en restaurant. Ils ont dit à Sophie Giuli que sur ordre du Procureur ils enlevaient ses enfants pour les mettre en sécurité et qu’elle les retrouverait le lendemain ou surlendemain, une fois que le présumé violeur et le père des enfants auraient été entendus. 


Et puis… le silence !

Malgré toutes ses démarches, celles de sa mère ex-avocate et celles de son avocat, elle n’a plus eu du tout de nouvelles de ses enfants pendant 3 semaines, ne sachant pas où ils étaient, qui s’en occupait, comment ils allaient.

On lui rétorquait partout où elle s’adressait :

 « Ordre du Procureur de ne rien vous dire ».

Jusqu’au jour où, trois semaines plus tard, le 30 octobre 2007, la « bonne personne » des services de l’enfance, l’ASE, toujours absente auparavant est enfin là et lui répond au téléphone que ses enfants ont été confiés le matin-même par le Juge des enfants, pour un an, à la garde exclusive de leur père !  



Sa plainte du 10 octobre avait été classée sans suite au bout de 14 jours seulement, pour insuffisance d’éléments alors que : 


-         il n’a pas été tenu compte des certificats médicaux du médecin référent qui avait donné 21 jours d’arrêt d’école pour chacun des enfants le 8 octobre,
-         le rapport de la psychologue qui avait enjoint Sophie Giuli de porter plainte n’a pas été demandé,

-         il n’a pas été tenu compte pour Margaux des 8 jours d’ITT prescrits par le médecin mandaté, 3 jours après les faits,

-         il n’a pas été tenu compte des dires des enfants sous vidéo à Bandol, 


-         il n’a pas été tenu compte des dessins très subjectifs des enfants à
         Bandol,    (P.n°19)

-         Margaux n’a pas été amenée le 18 octobre chez la pédopsychiatre,

-         la recherche d’HIV n’a pas été faite,

-         il n’a pas été tenu compte des contradictions et aveux involontaires du père et de son ami lors de leurs auditions à la gendarmerie,  


-         il n’y a pas eu de confrontation entre Eric Mignot et Sophie Giuli pour mettre à jour ses mensonges, etc…



Avant même que le Procureur ne classe la plainte sans suite, le Juge des enfants en son audience du lundi 22 octobre avait autorisé le père à sortir les enfants du foyer le samedi et le dimanche après-midis suivants.   (P. n°27)

Les 2 audiences chez le Juge des enfants se sont faites sans la mère car elle n’avait pas été convoquée.

Elle apprendra plus tard, comme on peut le lire dans les décisions, que les convocations et les jugements avaient été envoyées à une fausse adresse, chez des amis du père, et avec un nom erroné,
et
que l’avocat, Fabrice Calamaro, qu’elle avait mandaté sur les conseils d’une amie qui connaissait aussi Eric Mignot, n’était plus avocat depuis 1994 !
Il avait fait intervenir Anne Prouteau, avocate et fille du commandant Prouteau, en ses lieux et place et à son insu, qui a tenu par courriers au Juge des enfants des propos mensongers, notamment en disant que Sophie Giuli était en dépression, ce qui n’est jamais arrivé !   


Apprenant la décision du 30 octobre, Sophie Giuli saisit le Juge des enfants qui le 20 décembre 2007, malgré le jugement du JAF qui lui avait attribué la garde des enfants, lui accorde seulement un droit de visite et d’hébergement un week-end sur 2 et la moitié des vacances scolaires et ordonne une expertise psychiatrique. 


Elle ne reverra ses enfants pour la 1ère fois que 83 jours après leur enlèvement !




Année 2008

Les résultats scolaires des enfants pour l’année 2007-2008 sont alarmants. 
Margaux va très mal, colères, pleurs pour un rien, boulimies sélectives, cauchemars, isolement, violences, etc…conduisent Sophie pendant son mois de vacances scolaires de juillet 2008 à faire consulter sa fille par un éminent pédopsychiatre d’un CHU de Marseille.


Après 10 heures d’examens cliniques étalées sur 3 journées, ce médecin a décelé chez Margaux un trouble anxio-dépressif susceptible d’évoluer vers de graves complications psychiatriques et ses conclusions ont renforcé l’hypothèse que son état de stress aigu traumatique du 7 octobre 2007 soit la conséquence d’un abus sexuel survenu le même jour.   (
Margaux à qui son père avait dit de ne rien dire, a écrit chez lui, ce qui figure dans son rapport :

« papa a mis son zizi dans ma bouche,
Didier a mis son zizi dans ma bouche ».

Il a alerté le Procureur de Draguignan et Maître Sophie Bottai, l’avocat de Sophie Giuli, a également alerté le Procureur, le Juge des enfants et l’éducateur spécialisé chargé de la mesure d’AEMO. 


Une audience en urgence a été requise auprès du Juge des enfants, qui malgré le rapport alarmant du très renommé pédopsychiatre de Marseille, au motif qu’il n’était pas contradictoire, a maintenu les enfants chez le père, a menacé la mère de ne plus jamais voir ses enfants si elle ne rendait pas immédiatement les enfants au père et a ordonné une expertise psychiatrique de Margaux par…le Dr Bensoussan ! 


Le Dr Sokolowsky, informé de cette décision, a écrit à Sophie suite à l’examen approfondi qu’il avait fait de Margaux :

« Etant donné l’étayage clinique de mon diagnostic, l’éventualité d’un diagnostic d’absence de pathologie mentale réactionnelle chez Margaux est hautement improbable, à moins d’être une forfaiture ».   


Le Dr Bensoussan a consulté Margaux avec son père, sans aucun respect du contradictoire, et contrairement au Dr Sokolowsky a affirmé que Margaux allait très bien ! 


Par jugement du 4 novembre 2008, bien que l’expert psychiatre mandaté par le Juge des enfants le 20 décembre 2007 ait conclu qu’on ne peut remettre en cause les capacités éducatives de Sophie Giuli, le Juge des enfants a reconduit pour un an la résidence principale des enfants chez leur père.

Il ne fonde plus sa décision sur l’incohérence de ses propos inventée par les gendarmes, puisque entre temps elle a apporté les preuves qu’elle n’avait jamais été incohérente.  
Il s’appuie alors sur les mensonges du Dr Bensoussan, de M. Einecke l’éducateur spécialisé et Madame Voisin la psychologue chargés tous deux de l’AEMO et met en cause non plus Sophie Giuli mais sa mère et son beau-père !  





 LES VIOLS ET LES MEURTRES


Au bout d’un an chez leur père, début novembre 2008, les enfants révèlent à leur mère qu’ils sont violés tous les 3 (par la bouche et par l’anus) presque tous les matins par leur père et tous les mercredis, samedis et dimanches avec d’autres enfants par des amis de leur père, hommes et femmes et que tout le monde est nu, photographie et filme, et qu’aucun prénom n’est prononcé.


Ils n’avaient pas parlé plus tôt car leur père et son ami dénoncé le 10 octobre 2007 avaient menacé de tuer leur mère et de les tuer s’ils parlaient.  

Mais il est arrivé beaucoup plus grave encore et horrible à partir du 30 novembre 2008.

Ils ont décrit presque chaque week-end où ils étaient chez leur mère, des viols et des meurtres avec tortures d’enfants, toujours filmés, auxquels, terrorisés, ils étaient obligés d’assister et de regarder. Ils dessinent et commentent :


   



Entre le 30 novembre 2008 et le 25 avril 2009, leur mère en a dénombré 16 !

Après avoir eu connaissance du 1er assassinat, Sophie Giuli a écrit au Président de la République le 12 décembre 2008 ainsi qu’au Ministre de l’Intérieur et au Ministre de la Justice.   

La seule réponse de la Présidence a été le renvoi de sa lettre au Parquet de Draguignan, celui-là même dont elle dénonçait les forfaitures !




Année 2009


Le mardi 3 février 2009, Jack Maillard, le beau-père de Sophie Giuli se rend pour la 1ère fois de sa vie chez le Dr Bataille, médecin traitant des enfants pour de fortes douleurs à l’épaule suite à une chute sur le verglas.   

A la fin de la consultation, Jack Maillard s’est présenté comme étant le beau-père de Sophie Giuli et a logiquement parlé des enfants de Sophie qui rencontraient beaucoup de malheurs. Elle a confirmé qu’elle était au courant des viols sur Margaux. Jack lui a dit qu’il y avait bien plus grave et lui a raconté selon les dires des enfants les 2 meurtres du 30 novembre 2008 et 17 janvier 2009.  
Elle est restée impassible.


Jack Maillard ayant des problèmes d’audition a enregistré toute la conversation avec un dictaphone.  


Le jeudi 5 février Eric Mignot, appelé par le directeur de l’école des enfants car Hugo est malade, se rend avec son fils chez le Dr Bataille.  

Le lendemain Sophie a ses enfants pour le week-end. Hugo ne va pas bien.
Sa mère le trouvant préoccupé, mal à l’aise le questionne et apprend que ça s’est mal passé chez le Dr Bataille.

Dès qu’ils sont rentrés dans son cabinet, dixit Hugo, le Dr Bataille a dit à Eric Mignot :

- « Ils sont au courant de tout ! »
- « Comment tu sais ça ?» lui a répondu Eric Mignot
- « Jack Maillard » dit-elle et s’adressant à Hugo :
- « C’est toi qu’a parlé p’tit con ? Et ta mère est une conne. Si tu continues ton père va tuer un autre enfant. »
Ils ont ensuite parlé des meurtres Eric et elle, et elle a dit :
- « C’est bien…. ! Il y a dû y avoir beaucoup de sang alors !  



Les enfants depuis le meurtre du petit garçon, réclament à leur mère de dénoncer à la Police ce qu’ils vivent. Elle refuse vu ce qui s’est passé le 11 octobre 2007 suite à sa plainte du 10. Mais Margaux insiste en disant que si on n’essaye pas on ne peut pas savoir.

Un policier ayant vu les déclarations des enfants en vidéo, exige de Sophie de se rendre avec les enfants à la Brigade des mineurs de Toulon pour assistance à enfants en danger.

Le lundi 9 février, accompagnés par ce policier et quelques amis, Sophie, sa mère et son beau-père se rendent à Toulon où les enfants vont être entendus sous vidéo à la Brigade des mineurs.  
Madame Bélelle qui les a interrogés a dit à leur mère qu’ils avaient parlé de viols et de meurtres d’enfants.

Sophie Giuli a demandé que les vidéos des enfants soient remises au Procureur de Toulon et a écrit en ce sens en LRAR le jour-même au Procureur Cazenave de Toulon qui n’a pas fait droit à sa demande. Il les a fait envoyer au parquet de Draguignan. 


De son côté le Dr Bataille a joint la gendarmerie de St-Tropez et a été auditionnée le 14 février par le gendarme Ansel de la Brigade de Recherches, celle-la même qui avait enquêté en octobre 2007.   

Suite au témoignage du Dr Bataille et de la lettre de Sophie au Président de la République renvoyée à Draguignan, le gendarme Ansel est chargé de l’enquête par le Procureur.

Il convoque pour le 7 mars Jack Maillard et Brigitte Gaboriaud, pour les entendre sur les meurtres seulement, pas sur les viols. 


Ces grands-parents s’interrogent alors sur l’intervention du Dr Bataille.

Soumise au secret professionnel, elle n’avait pas le droit de parler des révélations des enfants que Jack Maillard lui avait transmises.
Elle avait donc dû dénoncer Eric Mignot.


Le 20 avril, Jack Maillard étant retombé sur l’épaule se rend à nouveau chez le Dr Bataille.   
Il en profite pour la féliciter d’avoir si bien piégé Eric Mignot en lui disant : « Ils sont au courant de tout » et sa réponse : « Comment tu sais ça ? etc…reprenant les propos de Hugo du lendemain de sa visite du 5 février.

Elle est flattée et confirme tous les propos de Hugo.

Jack Maillard, ayant toujours les mêmes problèmes d’oreilles a tout filmé et enregistré. Nous avons donc les aveux de meurtres d’Eric Mignot chez le Docteur Bataille !    


A 2 reprises le 20 février et en avril, le Juge des enfants Monsieur Baudino intervient par fax auprès du directeur de l’école des enfants, 10 minutes avant la sortie des classes, pour annuler le week-end de garde de la mère.

Et après le 4 mai, jour de retour des enfants à l’école par leur mère, elle ne les reverra plus du tout pendant 9 mois !

Le père va déscolariser les enfants le vendredi du week-end de garde de la mère en mai et va disparaître pendant 11 jours avec les enfants sur la période du Festival de Cannes, sans prévenir personne, pas même le directeur de l’école et sans raison médicale.

La mère affolée saisira le Procureur qui lui opposera « ordre de ne rien lui dire ! »


Le 27 mai Sophie Giuli reçoit une convocation du Juge des enfants pour une audience le 25 mai ! Trop tard pour s’y rendre … !

Elle reçoit le 29 mai le jugement rendu en son absence par le Juge des enfants qui saisi par Eric Mignot le 13 mai suspend son droit de visite et d’hébergement et le remplace par une visite médiatisée 2 fois par mois, ce qui ne sera jamais mis en place.   

Ce jugement non contradictoire est totalement fondé sur des témoignages mensongers principalement oh ! surprise et trahison…du Dr Bataille, puis du directeur de l’école des enfants et d’une éducatrice de la PJJ de Toulon.

On peut se demander pourquoi ces personnes ont menti dans une affaire aussi grave pour pénaliser ouvertement la maman et sans s’occuper de l’intérêt supérieur des enfants !



Le vendredi 29 mai à 23 heures Sophie et sa mère rencontrent à Grimaud les enfants sortant d’un immeuble suivis de leur père en état d’ébriété avancée.
Eric Mignot téléphone à un ami qui arrive aussitôt et les deux hommes, vociférant des injures et des menaces de mort à l’encontre de Sophie et de sa mère, s’approchent d’elles pour les tabasser.

Il s’ensuivra pour Brigitte Gaboriaud de multiples contusions et une fracture du poignet ayant entraîné 150 jours d’ITT et une IPP dont le taux reste à déterminer.

Cette infraction définie à l'article 222-9 est punie de quinze ans de réclusion criminelle lorsqu'elle est commise dans un des cas prévus à l’article 222-10, ce qui est le cas.

Le Procureur classera sans suite au bout de 60 jours la plainte de Brigitte Gaboriaud mais sur relance de cette dernière il rouvrira le dossier qui n’a encore pas reçu de suite en février 2012, près de 3 ans après les faits ! 



Ayant eu des doutes sur les dénonciations du Dr Bataille à la gendarmerie puisqu’elles n’avaient pas été portées à sa connaissance, Jack Maillard a demandé début mai à l’OPJ Ansel de prendre sa plainte contre elle pour dénonciation calomnieuse au cas où elle n’aurait pas révélé les propos échangés avec Eric Mignot le 5 février, plainte qu’il retirerait si elle l’avait fait. Le gendarme a refusé de prendre sa plainte.

Jack Maillard s’est alors adressé mi-mai au procureur Eric de Montgolfier du parquet de Nice qui l’a fait convoquer pour le 15 juin par un Commissaire de Police de Nice pour recevoir sa plainte contre le Dr Bataille et contre Monsieur Einecke l’éducateur spécialisé de l’AEMO pour dénonciation calomnieuse.   

Brigitte Gaboriaud a déposé également une plainte contre Madame Garcia l’éducatrice de la PJJ de Toulon pour dénonciation calomnieuse.    

Les 16 et 17 juin Sophie Giuli, sa mère et son beau-père sont mis en garde à vue pour dénonciation calomnieuse portant préjudice à Monsieur Mignot et ayant entraîné des frais de recherches inutiles à la collectivité


Cette accusation provient de la synthèse de l’enquête menée par le gendarme Ansel, pièce qui au demeurant n’a aucune valeur juridique.



L’enquête bâclée en 3 mois et demi n’a pas été menée dans la recherche de ce qui avait été dénoncé dans la lettre au Président de la République preuves à l’appui, mais dirigée totalement à charge contre Sophie, sa mère et son beau-père :

-         en détournant le sens des expertises, en cachant des preuves, en ignorant les dires des enfants du 9 février à la Brigade des mineurs, leurs dessins, les certificats médicaux, les photos des anus dilatés, etc…

-         en utilisant volontairement, sans les vérifier, les mensonges des amis du père,

-         en mentant outrageusement sur les données officielles comme l’affirmation que tous les enfants disparus aux alentours de la période dénoncée ont été retrouvés :

-alors que le petit Antoine de Brugerolles a disparu le 11 septembre 2008 à Issoire, qu’il a l’âge et la taille de l’enfant du 1er meurtre décrit par les enfants Mignot et qu’il n’a jamais été retrouvé !


-alors encore que la petite Maddy Mc Cann disparue en mai 2007 du même       âge et mêmes caractéristiques que la petite fille décrite par les mêmes      enfants Mignot lors du 2ème meurtre, dont Innocence en Danger a eu trace       à Toulon, n’a toujours pas été retrouvée ! 

Pourquoi le Maréchal des Logis Chef Ansel a-t-il menti ?



Le Dr Bataille dont les déclarations sont totalement délirantes, usant de mensonges grossiers et hors du champ de ses compétences, a passé sous silence la visite du 5 février d’Eric Mignot avec Hugo ! 

Pourquoi Madame le Docteur Bataille a-t-elle menti?



A l’issue de leur garde à vue Sophie Giuli et ses parents sont renvoyés tous les trois devant le Tribunal correctionnel de Draguignan à l’audience du 30 juillet 2009, avec un contrôle judiciaire leur interdisant tout lien direct ou indirect avec les enfants.  

Le Président de ce Tribunal en l’absence de Sophie Giuli à l’audience a ordonné une expertise psychiatrique des trois personnes, a renvoyé l’affaire pour être jugée à l’audience du 10 décembre 2009 et a maintenu le contrôle judiciaire.   


Dans sa décision du 14 novembre 2009, le Juge des enfants maintient sa décision du 26 mai 2009 et se plie au contrôle judiciaire imposé par le Tribunal correctionnel.  


L’expert mandaté, psychiatre dans un CHU de Marseille, n’a pas découvert de troubles psychiatriques chez aucun des trois parents impliqués, a trouvé leurs propos parfaitement cohérents, dénués de haine.

Il a demandé dans son rapport du 5 décembre, reconnaissant une suspicion de viols au vu des pièces communiquées, que soit faite une IRM des parties basses de chacun des enfants qui pourra apporter la preuve de la réalité des viols, indépendamment du temps écoulé, plutôt que de rechercher si Sophie et ses parents « délirent ». 


Cet examen n’a jamais été ordonné par la Justice !


Le 10 décembre 2009, le Président du Tribunal correctionnel, en possession des expertises psychiatriques, des photos des anus dilatés des enfants, des auditions pendant la garde à vue et en raison de l’absence de transcription des vidéos des enfants du 9 février à la Brigade des mineurs, a refusé de juger, a demandé au Procureur de mieux se pourvoir et a levé le contrôle judiciaire.  

Le procureur a renvoyé l’affaire en instruction.




Année 2010


Fin janvier 2010 Jack Maillard découvre, en cherchant « snuff movies » sur Internet, sur le site de FNCV Fédération Nationale des Combattants Volontaires une lettre d’une gendarme du Var sous le pseudonyme de AMIDLISA qui dénonce ce qui se passe dans le Var.    

En lisant cette lettre il reconnaît l’affaire de Sophie Giuli  « la maman et ses 3 enfants ».


Il se voit confirmer qu’il y a un réseau pédophile et meurtrier dans la région qui est couvert par la Justice !


Ce ou cette gendarme a dû rencontrer Sophie Giuli pendant sa garde à vue, mais elle ne peut pas savoir qui c’est car il y avait un nombre important de gendarmes hommes et femmes, de Grimaud, St-Tropez, Marseille et Paris dans la Gendarmerie de Grimaud, fermée au public et entièrement consacrée aux trois gardés à vue !


Début février le juge d’instruction Madame Lassaussois a convoqué Sophie Giuli, sa mère et son beau-père en qualité de témoins assistés.

La première mesure qu’elle a prise c’est de leur faire refaire une expertise psychiatrique mais cette fois par 2 experts psychiatres !  

Pour qu’elle n’en ignore ils lui ont transmis la lettre d’AMIDLISA. Elle n’en a jamais fait cas.


Les 2 experts de Nice, Dr Lay-Macagno et Giordano*, concluront en octobre 2010 pour Sophie, sa mère et son beau-père au « délire collectif » et à leur dangerosité pour les enfants malgré toutes les pièces probantes de viols en leur possession.

(*ce même Dr Giordano qui a reçu un blâme du Conseil de l’Ordre des Médecins pour avoir fait une expertise psychiatrique d’un patient le déclarant fou sans l’avoir jamais vu dans l’affaire Koweitgate !)




Année 2011


Le 23 février 2011 au terme de son instruction, la juge d’instruction a mis en examen Sophie Giuli et son beau-père pour dénonciation calomnieuse



Le procureur doit désormais se prononcer, soit pour un non-lieu soit pour un renvoi devant le Tribunal correctionnel.


Si l’affaire est renvoyée devant le Tribunal correctionnel, les magistrats ne pourront pas prouver que les faits dénoncés sont faux, conformément à l’article 226-10 du Code pénal dont l’alinéa 2 a été modifié par la loi en juillet 2010.


A ce jour, février 2012, Sophie ne voit plus ses enfants que 2 heures ou 4 heures par mois à un point-rencontre.  Elle n’en peut plus de cette situation !…


La juge des enfants lui reproche très clairement dans le dernier jugement d’avoir amené ses enfants il y a plus de 3 ans à la Police et chez des médecins pour attester de leurs dires ! 

Le juge des enfants Côme Jacqmin en septembre 2011 lui avait dit que c’était honteux d’avoir pris des photos des anus dilatés de ses enfants et qu’il allait les déchirer pour ne plus les voir dans le dossier !




Année 2012


12 mars 2012 : Eric Migot téléphone à Sophie Giuli : Insultes et menace de mort parce qu’elle a essayé d’avoir ses enfants au téléphone.







II   Discussion


Pour comprendre cette affaire, il faut prendre conscience de la finalité de l’enlèvement des enfants. Les documents démontrent qu’il s’agit :

 1/ de la vengeance d’un ancien compagnon éconduit, Eric Mignot, qui, en enlevant les enfants dont la maman avait la garde, veut obliger cette ex-compagne Sophie Giuli, qui l’a quitté 2 ans 1/2 auparavant, à revenir avec lui car dit-il « il l’a dans les tripes ».

 2/ de l’intérêt de réalisateurs de films de « snuff-movies » qui rapportent plus que la drogue, où sont impliquées pour des raisons de perversité ou de gains d’argent, des personnalités dont certaines sont désignées dans les faits ci-après précisés.


Toutes les décisions survenues dans cette affaire à la suite du dépôt de plainte du 10 octobre 2007 pour viols de Margaux 6 ans par un ami de son père, sont fondées sur des mensonges ou des forfaitures.


Tout commence par les mensonges des gendarmes Lemanchec et Deram qui ont tenté dans leurs rapports de faire passer Sophie Giuli pour « fragile» et l’ont accusée de tenir des propos « incohérents », sans dire lesquels, ce qui a été contredit le soir-même par le Dr Néton, pédiatre mandaté pour examiner Margaux : 



L’accusation de « fragilité » et de « propos incohérents » émise mensongèrement par le gendarme Lemanchec a permis au Procureur Jean-Jacques Gauthier, surnommé « Terminator » dans son milieu, de rendre le 11 octobre 2007 une ordonnance de placement en urgence des 3 enfants.

Plus grave encore

Sophie Giuli avait informé les gendarmes lors de sa déposition qu’à l’issue de ses obligations pour l’enquête elle se rendrait à Paris pour amener ses enfants à Eurodisney. 



De la gendarmerie de Bandol, elle avait également informé le Procureur par Fax de cette intention, disant qu’elle prenait toutes les dispositions soumises à sa conscience pour assurer la sécurité de sa famille et de sa personne et en lui donnant ses 2 numéros de téléphone en cas de besoin. 
Aussi pour justifier le retrait injustifiable des enfants à leur mère, le prétexte de la fuite de Sophie Giuli à la sortie du cabinet du Dr Bensoussan étant fallacieux et facilement contestable, le gendarme Lemanchec a fabriqué de toutes pièces le rôle des religieuses pour voir confirmer ses dires mensongers par des bonnes sœurs réputées dignes de confiance !


Il a menti à une religieuse, pour l’obliger à appeler la gendarmerie de St-Maximin, afin de faire croire qu’elle l’avait appelée en raison de son inquiétude concernant les propos incohérents de Sophie Giuli !


En effet, lorsque la religieuse de l’Hostellerie de la Ste-Baume a appelé la mère de Sophie, peu avant 18 heures le 11 octobre 2007 pour savoir à quelle heure elle arriverait avec son compagnon pour dîner, elle n’a pas eu le temps de répondre, l’OPJ Lemanchec lui a arraché le téléphone des mains pour dire à la Sœur que Sophie Giuli était en fuite et qu’elle était recherchée par la police, ce qui était faux. Il lui a demandé de tout faire pour l’empêcher de s’enfuir et d’appeler la gendarmerie pour les informer de sa présence chez elle.  

C’est ce qu’elle a fait ! Elle a téléphoné à la gendarmerie et a fait mettre un tronc d’arbre et 2 grosses poubelles pour bloquer la voiture de Sophie pour l’empêcher de partir.


La religieuse en question a dit aux parents de Sophie en novembre 2007, qu’elle a eu à peine le temps de dire à la gendarmerie qu’il y avait chez elles une jeune femme avec ses 3 enfants, le gendarme a répondu qu’ils étaient au courant et qu’ils arrivaient, et il a raccroché aussitôt.

Elle n’a rien pu dire d’autre.   

Elle n’a jamais dit que Sophie Giuli tenait des propos incohérents !

« Comment aurions-nous pu dire une chose pareille ? »


La preuve de sa forfaiture, l’officier de police judiciaire Lemanchec la donne lui-même dans ses rapports de l’enquête préliminaire de 2007.

En effet alors que la décision d’enlever les enfants a été prise à la sortie de chez le Dr Bensoussan vers 16h30, comme il l’écrit dans son rapport .

   - « Constatons à l’issue de l’entretien avec le Dr Bensoussan que la mère a     fui avec ses enfants, prétextant un nouvel examen sur son fils.
Devant les faits le procureur Gauthier rend une ordonnance aux fins de      placement provisoire en urgence des enfants de Madame Giuli.  

l’OPJ Lemanchec affirme frauduleusement dans un autre rapport en pièce n°22 de l’enquête préliminaire que les religieuses ont appelé la gendarmerie à 18 heures pour dire que Sophie tenait des propos incohérents et que c’est à ce moment-là, à 18h30 que le procureur a pris sa décision de retirer les enfants :

- « 18 heures : La Brigade de gendarmerie de St-Maximin est contactée par les Sœurs de la Sainte-Baume qui s’inquiètent des propos incohérents de Sophie Giuli. Les sœurs assurent qu’elles peuvent fournir 1 repas à la mère et les 3 enfants mais pas dormir par mesure de sécurité au vu du comportement incohérent de la mère. »
Le Procureur a pris une ordonnance aux fins de placement provisoire d’urgence à 18h30. »   


Or le Procureur n’a pris qu’une seule ordonnance et il n’y mentionne pas les religieuses !
Il a donc pris sa décision de retirer les enfants à 16h30.  


Le rapport de la pièce n°22 concernant l’intervention des religieuses est donc FAUX !

La décision de retirer les enfants à leur mère n’était pas justifiable, ni fuite, ni propos incohérents ! C’est bien ce qu’avait compris le gendarme Lemanchec puisqu’il a estimé devoir créer ce faux témoignage pour la rendre crédible.


En revanche le Juge des enfants, pour motiver son ordonnance du 23 octobre 2007 de maintenir les enfants en foyer, va s’appuyer sur l’ordonnance du Procureur et sur l’intervention montée de toutes pièces des religieuses telle qu’elle est décrite par le gendarme dans son rapport pièce n° 22 de l’enquête préliminaire 
:
 «  Attendu qu’il résulte des observations recueillies que les mineurs ont été remis en urgence à L’ASE du VAR du fait des comportements particuliers de la
mère suite à des dénonciations faites par cette dernière, comportements relevés en dernier lieu par les religieuses, sœurs de l’Abbaye de la Sainte-Baume à PLAN d’AUPS qui devant les propos incohérents de la mère des mineurs et les craintes suscitées, ont fini par appeler la gendarmerie de Saint-Maximin. »


Ces premières décisions mensongères ont conditionné toutes les autres, puisque contrairement aux principes du droit, les décisions suivantes se sont fondées

sur les motifs des décisions précédentes, tout en ajoutant quelques mensonges au passage, au fur et à mesure que les mensonges précédents étaient mis à jour et contredits, et sans jamais respecter le principe du contradictoire lors des audiences!

Toutes les décisions prises dans cette affaire devraient être annulées pour défaut de base légale puisqu’elles sont toutes fondées sur des mensonges dont la preuve irréfragable peut être apportée.

En demandant l’annulation de l’ordonnance du 11 octobre 2007 pour absence de base légale puisque fondée sur des mensonges, preuves à l’appui, cela entraînerait obligatoirement la nullité de toutes les décisions qui ont suivi.

Mais les procureurs et les magistrats du siège, ne se sont pas gênés depuis le début de cette affaire pour bafouer toutes les règles de droit, il y a donc en demandant la nullité un risque d’obtenir un refus.

Il a été demandé en septembre 2011 au Juge des enfants, par voie de conclusions, l’annulation de son ordonnance du 22 octobre 2007 qui maintenait les enfants en foyer et de son jugement en assistance éducative du 30 octobre 2007 qui remettait pour un an la garde exclusive des enfants au père, fondés sur les rapports fallacieux des gendarmes et les mensonges du père des enfants en l’absence de la mère aux audiences puisqu’elle n’avait pas été convoquée.

Il lui a été demandé également par précaution l’annulation de sa décision du 26 mai 2009 qui n’est fondée que sur des mensonges dont ceux du Dr Anouk Bataille, amie du père des enfants, ceux de Madame Garcia du SEAT de Toulon qui ont fait, ainsi que l’éducateur chargé d’une mesure d’AEMO, l’objet d’une plainte en dénonciation calomnieuse le 15 juin 2009, avec preuves à l’appui dont enregistrements audiovisuels chez le Dr Bataille, où la mère encore une fois n’était pas présente du fait d’une convocation tardive.

Il n’a pas donné suite à cette requête, estimant faussement qu’il ne pouvait pas revenir sur des mesures qui avaient déjà été exécutées !

Les défauts de réponse à conclusions, le mépris du contradictoire, une absence totale de base légale entachent toutes les décisions survenues depuis le 11 octobre 2007 qui ne sont fondées que sur des mensonges.

Cela répond à l’inverse de ce que l’on attend de la Justice qui méprise ainsi l'article 6 §§ 1 de la Convention Européenne des Droits de l’Homme.

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Ndla : Le Procureur du TGI de Draguignan jusqu’en mai 2009, était Christian Girard, Procureur à Meaux, encore compromis dans une affaire de pédophilie !
Son successeur au TGI de Draguignan, Madame Drouy-Ayral, siège au Conseil Supérieur de la Magistrature ! 

La Démocratie ne peut pas exister tant que la Justice n’est pas contrôlée par le Peuple !


III    La procédure



18 novembre 2005 : jugement du Juge aux Affaires Familiales qui attribue le domicile familial et fixe la résidence des enfants à leur mère.



10 octobre 2007 : plainte de Sophie Giuli pour viol de sa fille de 6 ans par un ami du père.

11 octobre 2007: ordonnance du procureur qui retire les 3 enfants à la mère et les place en foyer.

23 octobre 2007 : ordonnance du Juge des enfants qui maintient les enfants en foyer et permet 2 visites du père aux enfants.

24 octobre 2007 : classement sans suite de la plainte du 10 octobre 2007.

30 octobre 2007 : jugement en assistance éducative du Juge des enfants qui confie la garde exclusive des 3 enfants au père.

20 décembre 2007 : sur opposition de Sophie Giuli au jugement du 30 octobre, seulement un droit de visite et d’hébergement une semaine sur deux et la moitié des vacances scolaires lui est accordé, malgré le jugement du Juge aux Affaires Familiales du 18 novembre 2005, et une expertise psychiatrique est ordonnée pour les 2 parents.



2 mai 2008 : jugement en assistance éducative : maintien des enfants chez le père malgré l’expertise psychiatrique qui conclut que les capacités éducatives de la mère ne sont pas à remettre en cause.

25 juillet 2008 : rapport alarmant de l’état psychiatrique de la petite Margaux après 10 heures d’examens cliniques étalées sur 3 jours par un éminent pédopsychiatre des Hôpitaux de Marseille. Il alerte le procureur de Draguignan.

7 août 2008 : jugement en assistance éducative par magistrat conseiller à la Cour d’appel d’Aix-en-Provence en remplacement du Juge des enfants de Draguignan en vacances, sur saisine de la mère : maintien des enfants chez le père.

4 novembre 2008 : jugement en assistance éducative du Juge des enfants de Draguignan qui maintient pour un an les enfants chez le père en fondant sa décision sur le rapport mensonger de l’éducateur spécialisé de l’ADSEA du Var.




26 mai 2009 : jugement en assistance éducative du Juge des enfants de Draguignan, en l’absence de la mère convoquée trop tardivement, qui suspend le droit de visite et d’hébergement de la mère et le remplace par une visite médiatisée 2 fois par mois, en se fondant sur des témoignages totalement mensongers du Dr Bataille, médecin des enfants, amie du père, et ceux de Madame Garcia du service de la PJJ de Toulon.

14 novembre 2009 : jugement en assistance éducative du Juge des enfants de Draguignan qui maintient sa décision du 26 mai 2009. Le point rencontre n’a jamais été mis en place.

22 décembre 2009 : jugement en assistance éducative du Juge des enfants de Draguignan qui instaure pour la mère une visite médiatisée de ses enfants 2 fois par mois.



29 janvier 2010 : jugement du Juge aux Affaires Familiales de Draguignan sur saisine du père qui transfère la résidence principale des enfants chez le père.
La mère interjette appel.


9 juin 2010 : jugement du Juge des enfants qui lève la mesure d’assistance éducative pour revenir à la décision du JAF.
Le père ne remettra jamais les enfants à la mère. Le père interjette appel.


14 janvier 2011 : arrêt de la Chambre Spéciale des Mineurs d’Aix-en-Provence qui infirme la décision du 9 juin 2010 du Juge des enfants et instaure un droit de visite médiatisée pour la mère et ses enfants deux fois par mois pendant 6 mois, prolongé en octobre 2011 jusqu’au 13 janvier 2012.


19 mai 2011 : arrêt de la 6ème Chambre de la Cour d’appel d’Aix-en-Provence qui confirme le jugement du Juge aux Affaires Familiales de Draguignan du 29 janvier 2010.


19 septembre 2011 : jugement du Juge des enfants M. Côme Jacqmin qui maintient jusqu’à janvier 2012 la mesure de la Cour d’appel du 14 janvier 2011


13 janvier 2012 : jugement du Juge des enfants, Sandra Moulayès, qui maintient pour un an les visites au point rencontre, en ajoutant 2 heures de visite et possibilité de sortie libre avec les enfants à condition de ne voir personne!



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Frédéric BERGER

2 commentaires:

  1. MERCI pour ce rapport très complet !
    j'ai relayé ici

    http://stoppedocratie.blogspot.fr/

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  2. POURRITURE ; JUSTICE DE L'HOMME . RÉVOLTANT . Ou est le bien être des enfants ??. Leur vie gâchée par un père indigne de porter ce nom .Quelle souffrance pour la mère et ses enfants . Il n'y a pas un animal sur terre qui agit ainsi .

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