LES POUBELLES FRANCAISES DE FRED

LES POUBELLES FRANCAISES DE FRED

mardi 19 mars 2013

MERDE, FRANC-MACONNERIE, LOGE, ILLUMINATI, BILDENBERG, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

               Désacralisons la franc-maçonnerie.

 
Si historiquement la franc-maçonnerie exerçait une influence notable dans les sociétés, de nos jours il en est tout autrement.
 
La seule influence exercée par cette guignolerie est celle résultant du copinage entre ses membres. C’est même devenu le seul intérêt de cette congrégation de pauvres types.
 
Pourquoi pauvres types ?
 
Tout simplement parce qu’ils sont persuadés d’être des privilégiés qui manipulent le système mais ce n’est plus le cas depuis des décennies, en fait ce sont eux les principaux manipulés. Ils sont manipulés par leur hiérarchie, et chaque niveau de franc-maçons se fait manipulé par ceux du dessus et cela jusqu’au 33em degré, ou plus haut grade suivant les confréries. Tout ce petit monde est un théâtre de marionnettes articulées par Bildenberg voire même Le Siècle pour la France.
 
Pauvres types tellement pingres qu’ils se jalousent entre loges.
Pauvres types avec leurs rites pseudo sataniques ridiculement débiles de pré-pubères acnéiques puceaux.
 
Ils sont d’autant plus dangereux qu’ils sont faibles, et que si par malheur ils accèdent à un moyen d’utiliser un temps soit peu quelque pouvoir coercitif, ils l’exploiteront à outrance à des fins de basse vengeance.
 
Ils sont dangereux car ce sont des merdes et que glisser dessus peu provoquer la chute.
On ne devient pas maçon par mérite, mais parce qu’on en fait la demande.


Lorsqu’après un repas l’estomac vous tiraille,
Que tout au fond de vous le haricot travaille…
Qu’il est doux de penser que bientôt, pas très loin,
Vous courrez prestement pour chier dans un coin.
Qu’on est bien, accroupi, les coudes sur les cuisses,
Tandis qu’environné d’une troupe de Suisses
On exhibe au grand air l’hémisphère dodu
Qui cache encore aux yeux le chef-d’œuvre attendu.
Ami ! Il est, dit-on, un art en toute chose,
Aussi bien à chier qu’à cultiver les roses.
Or donc, pour opérer avec discernement,
Gardez-vous qu’un papier ne vienne absurdement
Lorsque l’œuvre est parfaite, écraser l’accessoire.
Tss ! Tss ! Pas de papier si vous voulez m’en croire,
Laissez aux constipés ce procédé piteux
Qui gâche absolument un plaisir si juteux,
Que le bout de l’index, seul, fasse cet office.
Quand il aura touché trois fois votre orifice
Qui vient de s’entrouvrir comme une tendre fleur,
Il teindra votre doigt d’une étrange couleur.
Ami, si vous voulez encor goûter des charmes,
Sur la blanche muraille, esquissez quelques larmes.
Et si, par aventure, abondant est l’extrait,
De celle que vous aimez vous ferez le portrait.
Frédéric BERGER

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