FRONTENEX
OU
BORGIA CITY
L’Écho des Montagnes, dans le légitime but de vous informer, vient de recevoir la plainte suivante, concernant un tir sur un chat.
Cette plainte est révélatrice d'un malaise profond de vivre à Frontenex, en SAVOIE.
En effet le propriétaire du chat est venu trouver la rédaction pour lui faire par de l'horreur de vivre à FRONTENEX. Car les chauffards des voitures s'amusent à écraser les chats en roulant à vive allure dans les rues de Frontenex, pardon de Borgia City, tout en faisant des paris à qui en écrasera le plus!!!
Ensuite ils trinquent à la santé du chat écrasé, en rigolant et en faisant du tapage nocturne, avec des "happy birthdays vor you".
Le journal , la SAVOIE a fait des articles concernant l'incivilité meurtrière des chauffards de Frontenex, mais en vain, les zélus s'en foutent, car comme ils disent dans leur propagande pour être zélu, "nous serons près de vous, tu parles mon zami, près du porte-feuille, oui"!
Que fait André Vairetto, conseiller départemental du coin du Parti Socialiste?
Son chef François Hollande a promis dans sa con-pagne électorale que son quinquennat sera celui de la justice, oui mais de la justice expéditive du Parti Sioniste, occupant la SAVOIE.
Le propriétaire du chat a fait part à la rédaction de vendre sa maison et de quitter au plus vite Borgia City. Le propriétaire de ce chat s'est adressé à la rédaction de l’Écho des Montagnes en ayant eu connaissance des diverses attaques contre le journal, avec la bénédiction des forces d'occupation de la SAVOIE et la complicité des zélus, n'ai pas Charlie Hebdo qui veut!
L'auteur de ce coup de fusil a été vu et le journal a le témoignage.
L'auteur est connu des zélus et des forces d'occupation de la Savoie.
D'autres habitants de Frontenex ont fait part de leur désir de déguerpir de Frontenex au plus vite, ville polluée par le bruit, par la 2X2 voies avec 100 000 véhicules par semaines en hiver pour le ski en station, notamment à Courchevel, station des francs-maçons.
Voici les photographies, âmes sensibles s'abstenir:
Frédéric Berger
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire