LES POUBELLES FRANCAISES DE FRED

LES POUBELLES FRANCAISES DE FRED

lundi 27 octobre 2014

SAVOIE, QUEBEC, CANADA, AUVERGNE, TULLE, COQ, SOCIALISME, ADOLF HITLER, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

EXCELLENT POÈME TRANSMIS PAR NOS "COUSINS"DU QUÉBEC
Comme une bénédiction, le pouvoir présidentiel
  Aiguise bien souvent, l’appétit sexuel.
  L’Élysée, ce palais, est une cage dorée,
  Et pour s’en échapper, il a voulu ruser.
  
 Voilà que, titillé par une envie pressante,
 Grassouillet est allé retrouver son amante.
 Hélas ! Un photographe par le scoop alléché,
 Du haut de son balcon, a pris quelques clichés.
  
 Ainsi, on a pu voir pépère emmitouflé,
 A l’arrière d’un scooter, négligemment casqué.
 La France est médusée, les Français sont perplexes,
 Il est donc lui aussi un abonné du sexe ?
  
 On avait échappé aux frasques de D.S.K.
 Voila que l’Élysée nous offre un autre cas ....
 Il n’a pas, on le voit, l’allure d’un Apollon,
 Mais l’efficacité d’un fougueux étalon.
  
 Tous ses vibrants discours n’étaient que du bidon,
 La posture du dindon cachait un Cupidon.
 Entre deux « commissions » il s’en allait baiser,
 Le monde, pendant ce temps, nous ridiculisait.
  De Tulle jusqu’à Paris, de Paris jusqu’à Tulle
 Elles se sont succédées pour que Monsieur copule.
   
 Maîtresses d’un instant, elles ne perdent pas au change,
 Favorites pour un temps, ensuite elles engrangent.  
 Ségolène, à la banque, est bien sûr à l’abri,
 Il a casé Anne à la mairie de Paris.
 Finie la vie en rose avec sa Valérie,
 Il faudra lui trouver un juteux petit nid.
 Un carmel, un couvent, une belle abbaye ?
 Afin d’éliminer une encombrante furie.
      Il est parti à Rome, prendre l’avis d’un sage,
 Et pour aussi, bien sûr, redorer son image.

BRAVO à LILIANE DE LIMOGES ......
UN POEME ECRIT PAR UNE VRAIE LIMOUSINE.....
 
Le  p’tit coq nain de TULLE est venu jeudi soir
Nous dire qu’il était NUL, qu'on s'était fait avoir
Que si le blé manquait, c'était pas de sa faute
Que tout son poulailler dansait d'une patte sur l’autre  ,
Grattait de ci de là, pondait des coquilles vides
Plaçait tous leurs copains inutiles et avides
De ne jamais rien faire, à part un peu de lard
Que si l’on voulait bien, il n'était pas trop tard
Pour mettre notre pays au niveau de la GRECE
Et que de toute façon nous l'aurions dans… les fesses.

 
Le  p’tit coq nain de TULLE est venu jeudi soir
Les plumes en bataille, toujours reteintes en noir
Nous dire: bande d'imbéciles, ne perdez pas espoir
Jai coulé la CORREZE, je n'en tire nulle gloire.
Patientez, patientez car je suis-là maintenant
Pour couler la FRANCE aux bons emplacements.
J'ai pas beaucoup à faire, on m'aide constamment
Les quarante inutiles s'appliquent à tous moments.
Et pendant ce temps-là, je m'occupe des poules
Qui tournent autour de moi, vraiment, il y a foule !

   Le  p'tit coq nain de TULLE est venu jeudi soir
   Dressé sur ses ergots du haut de son perchoir
Fustigeant les rapaces, ses vils prédécesseurs
L'empêchant lui et ses copains de faire leur beurre !
Le jabot de travers toujours évidemment
Il aurait bien voulu se faire croire compétent.
Bien d'accord sur ce mot, en le coupant en deux
Sachant depuis longtemps qu'il nous restait les yeux
Pour pleurer sur la FRANCE, vidée, exsangue et nue
Par tous ces incapables, vivants comme des sangsues.

  Le  p'tit coq nain de TULLE est venu jeudi soir
  Il peut lisser ses plumes, vous vous êtes faits avoir.
Si l'important pour lui, ce n'est pas le chômage
Il a bien trop à faire pour bouffer le fromage
En s'occupant des gay, des drogués, et puis des émigrés
Il faut bien sûr maintenant taxer les retraités
Ceux qui ont voté pour lui, c'est bien pour leur malheur
Il en a rien à foutre de tous les électeurs
Maintenant qu'il a la place, il y met tout son coeur
Pour vivre sur notre dos, comme toujours en douceur
  Le  p'tit coq nain de TULLE est venu jeudi soir
Il dit qu'il nous enfume, qu’on est de bonnes poires
Qu'ils allaient nous presser comme de vulgaires citrons
C’est bien fait pour notre gueule puisqu'on est assez con
Pour croire toutes les promesses qu’il ne veut plus tenir
Il n'y avait pas de crise, il la pas vu venir…

   Le  p'tit coq nain de TULLE est un triste vautour
Il s'est bien déguisé sous de jolis atours.
Il voudrait nous faire croire qu’il était SOCIALISTE,
Quand lui et ses copains sont tous CAPITALISTES.
Alors, n'attendez rien de ces tristes fumistes
Que des IMPOTS nouveaux ajoutés à la liste.
Un conseil pourtant : gardez quelques écus,
Achetez de la vaseline et planquez votre cul !
 CONCLU-SION
                    Manu dit Valse crie son amour éternel pour Usraël.
                    Manu dit Valse veut changer le nom du Parti Socialiste= P.S.
                    Manu dit Valse veut revenir au vrai nom à l'origine du P.S., crée par des Jérusalistes?, c'est à dire
                                   Parti Sioniste.
                   Car, il faut cliquer sur:      
                    Blumcheim Issac - Le droit de la race superieure. 1934.pdf
  et
                            anous la france.pdf

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