LES POUBELLES FRANCAISES DE FRED

LES POUBELLES FRANCAISES DE FRED

samedi 24 octobre 2015

ZIAD MEDOUKH, PALESTINE, GAZA, ISRAËL, JUIF, SAVOIE, HOLOCAUSTE, CAMP DE CONCENTRATION, VIOL, FRANC-MACON, TALMUD, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER



Résister, c’est créer sa liberté !
Ziad Medoukh



Des exactions de tout genre
 Par un état d’apartheid,
Un état sans foi ni loi,
Un état mensonger et apocalyptique
Qui inflige souffrance et
Horreur au quotidien
Meurtres sans relâche
Terreur organisée et voulue sur tout un peuple.




Spoliation des terres palestiniennes
Par des barbares en uniforme,
Poursuite incessante de la colonisation
Pillage de l’eau et de toutes les ressources
Violence inévitable,
Mères endeuillées,
Jeunesse bafouée,
Et des balles qui fusent sur des innocents.




Devant la chape de silence
Des dirigeant qui cautionnent cette barbarie,
Spectateurs de ce génocide et ces effroyables crimes.
Ils soutiennent les colonisateurs.
C’est ignoble, c’est désolant, c’est révoltant,
S’écrient  les braves solidaires au cœur brisé
Bouleversés par le sort des Palestiniens
Qui défendent une cause vivante et juste.

 


Face à cette situation absurde et oppressive ,
Luttes incessantes,
Persévérance, abnégation  et bravoure incarnées,
Une force admirable qui atténue la peine,
Qui garde dans les cœurs et les veines
Un rêve de liberté,
Un rêve où les oliviers refleurissent
Et où les murs des prisons s’effondrent.




Les Palestiniens qui se battent pour la justice
Et avec leur conviction que 
Résister, c’est créer sa liberté,
Avec la conviction
Que ceux qui luttent n’ont jamais tort,
Qu’aucune arme ne peut venir à bout d’une cause juste,
Que la résistance est un droit et même un devoir ,
Que l’amour est plus fort que la haine !
Qu’aucun peuple sur terre n’acceptera de coexister avec l’oppression
Les Palestiniens savent que la justice finira par se triompher !
Et ils adressent au monde
Un message court, claire et précis :
« Il vaut mieux mourir debout que vivre humilié ! »

REPORTAGE PHOTOGRAPHIQUE DE ZIAD







ET
Nous aimons la vie

Ziad Medoukh



Ô soldats occupants,
Ô colons agresseurs,
Ô sanguinaires apatrides,
Vous qui vous avez occupé notre pays,
Volé notre terre
Et humilié notre peuple
Par des orgies de punitions collectives,
Par des agressions et des crimes quotidiens
Partez!



Vous qui êtes  élevés dans la haine et la violence,
Vous tuez  de sang froid nos gosses lanceurs de cailloux,
Vous brûlez sans foi ni loi nos bébés dans leurs lits,
Vous attaquez brutalement nos lieux saints,
Vous encerclez nos villages et nos champs,
Vous détruisez nos maisons et  vous arrachez nos arbres
Mais votre sentiment de domination n’est qu’illusion.




Plus qu’une pierre dans la main de nos enfants,
Vous craignez le sourire de nos martyrs.
La beauté de leur cœur
Vous met à genoux
Ainsi que le cri de  leur  souffrance,
Le cri de leur révolte et de leur dignité.
Vous aurez beau déployer toutes vos mesures
Et vos forces obscures
Sachez que toutes vos armes, à vous les génocidaires,
Ne nous rendront pas moins déterminés.


  
Vous ne savez pas que la résistance est palestinienne,
Que cette résistance ne peut que vaincre
Parce qu’elle est noble,
Vous  ne savez pas que nous ne renoncerons pas
Et  continuerons de nous battre,
Jusqu'au dernier souffle,
Vous ne savez pas  que notre cause
Est une cause pour chaque révolutionnaire,
Un symbole d'émancipation pour tous les peuples.



Vous, les passants parmi nous ,
Vous, les racistes extrémistes,
Vous, les méprisants du droit international,
Arrêtez de jouer les victimes
Avec vos représailles sanglantes,
Vos exactions et vos meurtres.
Prenez tout et partez.
Prenez nos sables , nos pierres , les flots de notre sang
et vos mauvais souvenirs,
Dégagez!



Il est temps que vous partiez.
Assez de violence, assez de sang.
Sortez de notre terre, de notre mer.
Quittez nos villes et nos vergers.
Nos racines, c’est ici.
Nous partirons pas.



Laissez-nous notre présent et notre avenir
Et allez-vous en!
Vous ne savez pas
Combien nous adorons la liberté,
Combien nous aimons la vie,
Combien nous luttons pour elle,
Pour une vie digne.
C'est à nous de vivre comme nous le voulons
Dans l’espérance d’une paix réelle,
Pas une paix sous occupation,
Ni une paix sous  colonisation,
Mais une paix dans la justice.

REPORTAGE PHOTOGRAPHIQUE DE ZIAD




 REPORTAGE VIDÉO DE CHOLET DES MONTAGNES

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Frédéric Berger

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