LES POUBELLES FRANCAISES DE FRED

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samedi 27 juillet 2013

HOLODOMOR, RUSSIE, JUIF, GENOCIDE, CRIF, LICRA, CHRISTINE LAGARDE, FMI, SOS RACISME, FRANC-MACON, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

Holodomor 7 millions de chrétiens exterminés par les juifs

Publié le 01/12/2012 à 14:23 par konigsberg


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80ème anniversaire du début du génocide des chrétiens ukrainiens par les juifs soviétiques.
Lesquels juifs viennent donner des leçons de morale chaque jour aux Européens.


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Nous reproduisons un article du journaliste politique Sever Plocker, qui  fit couler beaucoup d’encre lors de sa récente publication, car Plocker, qui travaille pour le journal hébreu Yediot Ahronot, déchaîna à la suite de ce texte un torrent de commentaires injurieux à son encontre,  déclenchant, bien que juif lui-même, un tombereau d’insultes diverses et variées.On le  félicitera cependant d’avoir courageusement brisé le silence…
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« Les Juifs de Staline »
Quelques uns des pires meurtriers
des temps modernes étaient Juifs
Sever Plocker
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Léon Bronstein dit « Trotsky »

Un événement historique est particulièrement passé sous silence,  etpourtant nous ne devons pas oublier qu’il y a environ 90 ans, entre le 19 et le 20 décembre 1917, au cœur de la révolution bolchevique et de la guerre civile, Lénine signa un décret créant la Commission Panrusse pour la Répression de la Contre-révolution et du Sabotage, plus connue sous le nom de Tchéka.




En peu de temps, la Tchéka devint l’organisation de sécurité d’Etat la plus importante et la plus répressive. Son organisation et sa structure évoluèrent régulièrement, tout comme son nom : de Tchékaà GPU, puis à NKVD, et plus tard à KGB. Il est impossible de connaître avec certitude le nombre de morts dont la Tchéka fut responsable d’une manière ou d’une autre, mais il s’évalue probablement autour de 20 millions, incluant les victimes de la collectivisation forcée, des famines, des purges, des expulsions, des déportations, des exécutions et des tueries de masses dans les goulags.
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Des pans entiers de la population furent éliminés: fermiers indépendants, minorités ethniques, membres de la bourgeoisie, officiers supérieurs, intellectuels, artistes, militants syndicalistes, « membres de l’opposition » à la définition très aléatoire, et un nombre incalculable de membres du parti communiste lui-même. Dans son dernier livre, qui recueille beaucoup de suffrages, The War of the World, l’historien Niall Ferguson écrit qu’aucune autre révolution dans l’histoire de l’humanité n’a dévoré ses enfants avec le même appétit insatiable que la révolution soviétique. De même, le Dr. Igal Halfin, de l’université de Tel Aviv, indique dans son livre sur les purges staliniennes que la violence y fut unique en ce qu’elle fut dirigée vers l’intérieur.



Mais Lénine, Staline, et leurs successeurs n’auraient pas pu mener à bien leurs objectifs sans une large coopération de la part d’”officiers de la terreur” disciplinés : enquêteurs cruels, mouchards, bourreaux, gardiens, juges, pervers, et de beaucoup d’idéalistes membres de l’aile gauche progressiste, abusés par le régime soviétique de terreur au point de lui décerner un certificat casher.


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Genrikh Yagoda le fondateur juif du NKVD
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Genrikh Yagoda, fut le plus grand meurtrier juif du XXe siècle, chef adjoint de la GPU et fondateur-dirigeant du NKVD. Yagoda a consciencieusement exécuté les ordres de Staline pendant la collectivisation, et est responsable de la mort d’environ 10 millions de personnes. Ses employés juifs ont mis en place et géré le système des goulags. Après être tombé en disgrâce auprès de Staline, Yagoda fut dégradé et exécuté, puis remplacé en tant que chef des bourreaux, en 1936, par Yezhov, le « nain sanguinaire ».



Beaucoup de juifs ont vendu leur âme au diable de la révolution communiste et ont du sang sur les mains pour l’éternité. Nous n’en mentionnerons qu’un de plus : Leonid Reichman, dirigeant du département spécial du NKVD et interrogateur en chef de l’organisation, qui était un sadique particulièrement cruel.  En 1934, selon des statistiques publiées, 38,5% des officiels détenant les postes les plus élevés dansl’appareil de sécurité soviétique étaient d’origine juive. Eux aussi, naturellement, furent graduellement éliminés dans les purges successives. Lors d’un cours fascinant à une convention de l’université de Tel Aviv cette semaine, le Dr Halfin décrivait les étapes de la terreur soviétique comme un carnaval de meurtres de masse, un feu d’artifice de purges et l’adoration du mal. Il apparaît que les juifs aussi, quand ils sont fascinés par une idéologie messianique, peuvent devenir de grands meurtriers, parmi les plus grands de notre histoire moderne.
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Lazar Kaganovitch, l’exterminateur juif de l’Ukraine

Les juifs actifs dans l’appareil officiel de la terreur communiste (en Union soviétique et ailleurs), et qui l’ont parfois dirigé, ne l’ont évidemment pas fait en tant que juifs, mais plutôt en tant que staliniens, communistes, et « camarades soviétiques ». En conséquence, il nous est facile d’ignorer leur origine et de jouer les innocents: qu’avons-nous à voir avec eux ? Si ce n’est de les oublier. Mon opinion est différente.
« Je pense qu’il est inacceptable qu’une personne puisse être considérée comme un membre de la communauté juive quand elle réalise de grandes choses, mais en être exclue quand elle commet des actes particulièrement méprisables. »
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Abram Aronovich Slutsky, un des dirigeants juifs du GPU
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Même si nous le nions, nous ne pouvons pas échapper au judaïsme de « nos bourreaux » qui ont servi la Terreur rouge avec application et loyauté envers ses dirigeants. De toutes façons, d’autres nous rappelleront toujours leur origine.
Sever Plocker



Commémoration de l’Holodomor en Ukraine

Chaque année, le quatrième samedi de novembre est le jour de commémoration des victimes de l’Holodomor (famine), orchestré par l’Union Soviétique en 1932et 1933. Dans cet article, je décrirai principalement la carte présentée ci-dessous.


http://www.info-news.com.ua/wp-content/uploads/2012/11/Holodomor.jpg

Clic droit pour agrandir


Lieu : Ukraine Soviétique. Date : printemps 1933. Problème : chaque minute, 17 Ukrainiens sont morts de faim à cause de la collectivisation forcée par le gouvernement soviétique basé à Moscou.
Sur la carte, vous pouvez aussi voir la région de Kouban (Russie) en 1926, essentiellement peuplée par : des Ukrainiens – 915 000, des Russes – 498 000. En 1939, Ukrainiens – 150 000, Russes : 2 754 000. Il apparait effectivement que le but principal de Moscou était l’extermination des Ukrainiens.


http://25.media.tumblr.com/tumblr_m7k73sWgNc1r47p12o1_500.jpg


Regardons de plus près le tableau ci-dessous (groupes ethniques vivant en URSS en 1926 et 1937)

Nationality 1926 1937
Russians 77,791,124 93,933,065
Ukrainians 31,194,976 26,421,212
Belarusians 4,738,923 4,874,061
Uzbek 3,955,238 4,550,532
Tatars 3,029,995 3,793,413
Kazakhs 3,968,289 2,862,458
Jews 2,672,499 2,715,106
Azerbaijani 1,706,605 2,134,648
Georgians 1,821,184 2,097,069
Armenians 1,568,197 1,968,721




La reconnaissance de l’Holodomor en tant que génocide des Ukrainiens est encore en cours. Malheureusement – et comme d’habitude – la Russie fait obstacle et influence les Etats étrangers pour les inciter à ne pas reconnaitre le génocide comme tel. Cependant, la Verkhovna Rada (le Parlement ukrainien) a reconnu l’Holodomor en tant que génocide en 2006. Les pays suivants le reconnaissent également comme tel : Andorre, Argentine, Australie, Brésil, Canada, Chili, Colombie, République Tchèque, Equateur, Estonie, Géorgie, Hongrie, Italie, Lettonie, Lithuanie, Mexique, Paraguay, Pérou, Pologne, Slovaquie, Etats-Unis d’Amérique,Vatican.
Etant donné que cette extermination de masse a eu lieu au XXème siècle, nous devons la garder en mémoire et empêcher toute autre tentative au XXIème siècle par n’importe quel Etat.


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Commentaires (13)

L'ancien observateur le 01/12/2012
Du 3 au 14 décembre, les représentants des 193 pays membres de l'UIT (Union internationale des télécommunications, émanation des Nations Unies ) se réuniront à Dubaï pour débattre du contrôle de l'Internet. .


En dépit de la culture du secret de l'organisation, de nombreuses fuites indiquent qu'un nouveau traité international émergerait de propositions des gouvernements autoritaires visant la censure de l'Internet.

Sont également à l'ordre du jour, l'instauration d'une sorte de taxe frontalière entre les opérateurs et l'attribution du contrôle de l'internet aux Nations Unies.


Claire le 01/12/2012
Pour le Parlement européen, l'Holodomor est une famine artificielle, qu'il qualifie de « crime contre le peuple ukrainien et contre l'humanité »

Le rôle des juifs dans la révolution bolchevique et les debuts du regime sovietique
http://fr.novopress.info/7462/les-juifs-de-staline/
Un article du journaliste politique Sever Plocker, paru fin décembre 2006 sur le site a fait couler beaucoup d’encre. Il figure ci-après, en traduction.
www.ynetnews.com
Sever Plocker, qui travaille pour le journal hébreu Yediot Ahronot, a déchaîné à la suite de son article un ******* de commentaires qui valent le détour. A 95%, environ, il se fait couvrir, bien que juif lui-même, d’un tombereau d’insultes diverses et variées, qui s’étendent également au site, menacé de représailles, allant jusqu’au retrait de toute publicité! Pour les 5 % restants, environ, il est félicité d’avoir courageusement brisé le silence. En tout cas, il n’a pas laissé indifférent !
A vous de juger, à présent :
Nous ne devons pas oublier que quelques uns des pires meurtriers des temps modernes étaient Juifs. Il s’agit d’un événement historique particulièrement souvent passé sous silence : il y a environ 90 ans, entre le 19 et le 20 décembre 1917, au cour de la révolution bolchevique et de la guerre civile, Lénine signa un décret créant la Commission Panrusse pour la Répression de la Contre-révolution et du Sabotage, plus connue sous le nom de Tchéka.
En peu de temps, la Tchéka devint l’organisation de sécurité d’Etat la plus importante et la plus répressive. Son organisation et sa structure évoluèrent régulièrement, tout comme son nom : de Tchéka à GPU, puis à NKVD, et plus tard à KGB.
Il est impossible de connaître avec certitude le nombre de morts dont la Tchéka fut responsable d’une manière ou d’une autre, mais il s’évalue probablement autour de 20 millions, incluant les victimes de la collectivisation forcée, des famines, des purges, des expulsions, des déportations, des exécutions et des tueries de masses dans les goulags.
Des pans entiers de la population furent éliminés : fermiers indépendants, minorités ethniques, membres de la bourgeoisie, officiers supérieurs, intellectuels, artistes, militants syndicalistes, « membres de l’opposition » à la définition très aléatoire, et un nombre incalculable de membres du parti communiste lui-même.
Dans son dernier livre, qui recueille beaucoup de suffrages, The War of the World, l’historien Niall Ferguson écrit qu’aucune autre révolution dans l’histoire de l’humanité n’a dévoré ses enfants avec le même appétit insatiable que la révolution soviétique. De même, le Dr. Igal Halfin, de l’université de Tel Aviv, indique dans son livre sur les purges staliniennes que la violence y fut unique en ce qu’elle fut dirigée vers l’intérieur.
Mais Lénine, Staline, et leurs successeurs n’auraient pas pu mener à bien leurs objectifs sans une large coopération de la part d’officiers de la terreur disciplinés : enquêteurs cruels, mouchards, bourreaux, gardiens, juges, pervers, et de beaucoup d’idéalistes membres de l’aile gauche progressiste, abusés par le régime soviétique de terreur au point de lui décerner un certificat casher.
Tous ces faits sont bien connus, à des degrés différents, même si les archives de l’ancienne Union soviétique n’ont pas été entièrement ouvertes au public. Mais qui est au courant de ce qui suit ? Au **** de la Russie, très peu de personnes ont été portées devant la justice pour leurs crimes commis sous les ordres du NKVD ou du KGB. Aujourd’hui, le discours public russe ignore totalement la question du « Comment cela a-t-il pu nous arriver, à nous ? ». Contrairement aux nations d’Europe de l’Est, les Russes n’ont pas réglé leurs comptes avec leur passé stalinien.
Et nous, les Juifs ?
Un étudiant israélien termine le lycée sans avoir jamais entendu prononcer le nom de Genrikh Yagoda, le plus grand meurtrier juif du XXe siècle, chef adjoint de la GPU et fondateur-dirigeant du NKVD. Yagoda a consciencieusement exécuté les ordres de Staline pendant la collectivisation, et est responsable de la mort d'environ 10 millions de personnes. Ses employés juifs ont mis en place et géré le système des goulags. Après être tombé en disgrâce auprès de Staline, Yagoda fut dégradé et exécuté, puis remplacé en tant que chef des bourreaux, en 1936, par Yezhov, le « nain sanguinaire ».
Yezhov n'était pas juif, mais était marié à une femme juive très active. Dans son livre Staline : la cour de l'étoile rouge, l'historien juif Sebag Montefiore écrit que pendant les périodes les plus noires de la terreur, quand la machine communiste à tuer fonctionnait à plein régime, Staline était entouré de belles et jeunes femmes juives.
Parmi les fidèles et proches associés de Staline, on compte Lazar Kaganovich, membre du Comité Central et du Politburo. Montefiore le décrit comme le premier stalinien, et ajoute que les victimes de la famine en Ukraine, une tragédie humaine sans équivalent dans l'histoire de l'humanité exception faite des horreurs nazies ou de la terreur maoïste en Chine, ne le touchaient nullement.
Beaucoup de juifs ont vendu leur âme au diable de la révolution communiste et ont du sang sur les mains pour l'éternité. Nous n'en mentionnerons qu'un de plus : Leonid Reichman, dirigeant du département spécial du NKVD et interrogateur en chef de l'organisation, qui était un sadique particulièrement cruel.
En 1934, selon des statistiques publiées, 38,5% des officiels détenant les postes les plus élevés dans l'appareil de sécurité soviétique étaient d'origine juive. Eux aussi, naturellement, furent graduellement éliminés dans les purges successives. Lors d'un cours fascinant à une convention de l'université de Tel Aviv cette semaine, le Dr Halfin décrivait les étapes de la terreur soviétique comme un carnaval de meurtres de masse, un feu d'artifice de purges et l'adoration du mal. Il apparaît que les juifs aussi, quand ils sont fascinés par une idéologie messianique, peuvent devenir de grands meurtriers, parmi les plus grands de notre histoire moderne.
Les juifs actifs dans l'appareil officiel de la terreur communiste (en Union soviétique et ailleurs), et qui l'ont parfois dirigé, ne l'ont évidemment pas fait en tant que juifs, mais plutôt en tant que staliniens, communistes, et « camarades soviétiques ». En conséquence, il nous est facile d'ignorer leur origine et de jouer les innocents : qu'avons-nous à voir avec eux ? Si ce n'est de les oublier. Mon opinion est différente. Je pense qu'il est inacceptable qu'une personne puisse être considérée comme un membre de la communauté juive quand elle réalise de grandes choses, mais en être exclue quand elle commet des actes particulièrement méprisables.
Même si nous le nions, nous ne pouvons pas échapper au judaïsme de « nos bourreaux » qui ont servi la Terreur rouge avec application et loyauté envers ses dirigeants. De toutes façons, d'autres nous rappelleront toujours leur origine. »
Traduit par Anne Kling http://france-licratisee.hautetfort.com
Mark Weber



Caton l'Ancien le 01/12/2012
Les juifs actifs dans l'appareil officiel de la terreur communiste (en Union soviétique et ailleurs), et qui l'ont parfois dirigé, ne l'ont évidemment pas fait en tant que juifs, mais plutôt en tant que staliniens, communistes, et « camarades soviétiques ». En conséquence, il nous est facile d'ignorer leur origine et de jouer les innocents : qu'avons-nous à voir avec eux ? Si ce n'est de les oublier. Mon opinion est différente. Je pense qu'il est inacceptable qu'une personne puisse être considérée comme un membre de la communauté juive quand elle réalise de grandes choses, mais en être exclue quand elle commet des actes particulièrement méprisables.
Même si nous le nions, nous ne pouvons pas échapper au judaïsme de « nos bourreaux » qui ont servi la Terreur rouge avec application et loyauté envers ses dirigeants. De toutes façons, d'autres nous rappelleront toujours leur origine. »
Traduit par Anne Kling http://france-licratisee.hautetfort.com
Mark Weber
Commissaires du Peuple (Ministres) Noms Nationalité
Président V.I. Ulyanov (Lénine) Russe
Affaires Etrangères G.V. Tchitherin Russe
Nationalités J. Diougashvili [Staline] Géorgien
Agriculture Protian Arménien
Conseil Economique Lourié (Larin) Juif
Ravitaillement A.G. Schlikhter Juif
Armée et Marine L.D. Bronstein (Trotsky) Juif
Contrôle d'Etat K.I. Lander Juif
Terres d'Etat Kaufmann Juif
Travail V. Schmidt Juif
Aide Sociale E. Lilina (Knigissen) Juif
Education A. Lunacharsky Russe
Religion Spitzberg Juif
Intérieur Apfelbaum [Radomyslski] (Zinoviev) Juif
Hygiène Anvelt Juif
Finances I. E. Gukovs [et G. Sokolnikov] Juif
Presse Voldarski [Goldstein] Juif
Elections M.S. Uritsky Juif
Justice I.Z. Shteinberg Juif
Réfugiés Fenigstein Juif
Réfugiés Savitch (Assistant) Juif
Réfugiés Zaslovski (Assistant) Juif

Sur ces 22 membres du «Sovnarkom», résume Wilton, il y avait trois Russes, un Géorgien, un Arménien, et 17 Juifs.

Le Comité Central Exécutif , continue Wilton, était composé des membres suivants:

Y. M. Sverdlov [Solomon] (Président) Juif
Avanesov (Secrétaire) Arménien
Bruno Letton
Breslau Letton [?]
Babtchinski Juif
N. I. Bukharin Russe
Weinberg Juif
Gailiss Juif
Ganzberg [Ganzburg ] Juif
Danichevski Juif
Starck Allemand
Sachs Juif
Scheinmann Juif
Erdling Juif
Landauer Juif
Linder Juif
Wolach Tchèque
S. Dimanshtein Juif
Encukidze Géorgien
Ermann Juif
A. A. Ioffe Juif
Karkhline Juif
Knigissen Juif
Rosenfeld (Kamenev) Juif
Apfelbaum (Zinoviev) Juif
N. Krylenko Russe
Krassikov Juif
Kaprik Juif
Kaoul Letton
Ulyanov (Lenin) Russe
Latsis Juif
Lander Juif
Lunacharsky Russe
Peterson Letton
Peters Letton
Roudzoutas Juif
Rosine Juif
Smidovitch Juif
Stoutchka Letton
Nakhamkes (Steklov) Juif
Sosnovski Juif
Skrytnik Juif
L. Bronstein (Trotsky) Juif
Teodorovitch Juif [?]
Terian Arménien
Uritsky Juif
Telechkine Russe
Feldmann Juif
Fromkin Juif
Souriupa Ukrainien
Tchavtchévadzé Géorgien
Scheikmann Juif
Rosental Juif
Achkinazi Imeretian [?]
Karakhane Karaim
Rose Juif
Sobelson (Radek) Juif
Schlichter Juif
Schikolini Juif
Chklianski Juif
Levine-(Pravdine) Juif

Ainsi, conclut Wilton, sur 61 membres, cinq étaient Russes, six étaient Lettons, un était Allemand, deux étaient Arméniens, un était Tchèque, un était Imeretian (?), deux étaient Géorgiens, un était un Karaïm, un était Ukrainien, et 41 étaient Juifs.

La Commission Extraordinaire de Moscou (la Tchéka), la police secrète soviétique, ancêtre du GPU (Guépéou), du NKVD et du KGB, était composée comme suit:

F. Dzerzhinsky (Président) Polonais
Y. Peters (Vice-Président) Letton
Chklovski Juif
Kheifiss Juif
Zeistine Juif
Razmirovitch Juif
Kronberg Juif
Khaikina Juif
Karlson Letton
Schaumann Letton
Leontovitch Juif
Jacob Goldine Juif
Galperstein Juif
Kniggisen Juif
Katzis Letton
Schillenkuss Juif
Janson Letton
Rivkine Juif
Antonof Russe
Delafabre Juif
Tsitkine Juif
Roskirovitch Juif
G. Sverdlov (frère du Président du Comité Central Ex.) Juif
Biesenski Juif
J. Blumkin (assassin du Comte Mirbach) Juif
Alexandrovitch (complice de Blumkin) Russe
I. Model Juif
Routenberg Juif
Pines Juif
Sachs Juif
Daybol Letton
Saissoune Arménien
Deylkenen Letton
Liebert Juif
Vogel Allemand
Zakiss Letton

Sur ces 36 fonctionnaires de la Tchéka, un était Polonais, un Allemand, un Arménien, deux Russes, huit Lettons, et 23 étaient Juifs.

«En conséquence» conclut Wilton, «il n'y a pas de raison d'être surpris du rôle prépondérant des Juifs dans l'assassinat de la famille impériale. C'est plutôt le contraire qui aurait été surprenant.»


Disciple de CVV le 01/12/2012
Les anciens pays socialistes de l’Europe doivent rendre aux Juifs la propriété volée au cours de l’holocauste ou bien leur payer les récompenses, estime le président du congrès juif mondial Ron Lauder. Selon des experts, il s’agit des milliards d’USD.

Ron Lauder a rappelé que les pays de l’Europe de l’Est ne sont pas pressés à dédommager les Juifs. Ainsi, la Pologne a suspendu le processus de la modification de la législation visant à la création de la base juridique pour effectuer ces paiements. La bureaucratie roumaine est à freiner le processus de dédommagement. Mais la situation la plus déplorable est dans les pays Baltes. Ainsi, en Lettonie il n’y a pas de loi concernant les récompenses aux Juifs qui ont souffert dans les années 1940. Et en même temps, Riga est à calculer combien lui doit la Russie pour la période durant laquelle les pays Baltes faisaient partie de l’URSS, dit le directeur des programmes de recherches du Fonds « Mémoire historique » Vladimir Simindéy.

« Les élites dans les pays Baltes se font passer pour des victimes, car leurs pays seraient sous l’occupation soviétique. Mais beaucoup de leurs compatriotes étaient les complices des atrocités nazies en tuant les Juifs et les Slaves. Et cela, les élites préfèrent passer sous silence ».

Le montant des biens perdus par les Juifs durant l’Holocauste en Europe de l’Est se chiffre aux milliards d’USD. Mais il ne s’agit pas que de l’argent, explique le président de l’institut du partenariat oriental d’Israël Avraam Chmoulevitch.

« En fait, ce sont les assassins des Juifs qui se sont emparés de leurs biens. Il y a un proverbe juif qui dit : « celui qui a tué, hérite ». C’est ce qui s’est passé. Naturellement, au nom de la justice notre devoir national devant les parents et les ancêtres est de récupérer ces biens ».

Et en Europe occidentale cette question est résolue depuis longtemps. Non seulement en Allemagne dont les leaders ont initié à l’époque l’Holocauste. Ainsi, la Norvège a payé en 1998 450 millions de couronnes aux Juifs, leurs proches et aux organisations juives, victimes de la guerre. La Belgique a payé à la communauté juive du pays 110 millions d’euros. Les banques suisses ont payé 1 milliard 250 millions d’USD aux descendants des victimes de l’Holocauste qui avaient les comptes en Suisse.


Vlassov le 01/12/2012
Selon les derniers statistiques, dans le monde entier on recense au moins 14 millions de Juifs, dont 7,750 vivent en Israël. Pendant plusieurs siècles, les populations autochtones avaient une attitude ambiguë envers les Juifs qui n'avaient pas leur propre Etat. Les mécanismes de la propagande antisémite lancés au XX siècle ont engendré des problèmes sérieux, pas seulement pour les Juifs.

Certains experts sont persuadés que le danger principal vient de l’ultra-droite qui remporte stablement les législatives en Europe. Depuis quelques années cette tendance prend de l'ampleur sur l'avant-scène politique de la France, de la Norvège, de l’Écosse, des Pays-Bas et de la Hongrie. Cependant, il ne serait injuste d'affirmer que ce sont les principaux vecteurs de l'antisémitisme, selon le célèbre politologue israélien Avigdor Eksin qui est persuadé que la plus grande menace vient de l'islam.

La notion de « mouvement national arabe », issue de l'islam et qui s'est retrouvé en dehors de l'islam, est apparue au début du XX siècle. Le nationalisme arabe se basait sur les idées fascistes et il a revêtu des traits hitlériens. C'est par exemple le cas du mufti de Jérusalem Hadzhamin Al Hussein, qui était un leader à la fois religieux et nationaliste. Il a formé la division de Waffen-SS Handschar, composée de musulmans de Bosnie. L'idéologie nazie était bien implantée dans des milieux musulmans, parfois il est difficile de distinguer le wahhabisme, l’extrémisme musulman et le néoazisme.

Il est important de noter que les autorités des pays où autrefois on tuait et persécutait les Juifs, sont aujourd'hui leurs principaux défenseurs. Il s'agit avant tout de l'Allemagne, dont la chancelière Angela Merkel a été reçu récemment le prestigieux prix Heinz Galinski, qui a été décerné pour sa contribution au développement de la compréhension mutuelle entre la communauté juive et la société. L'antisémitisme au niveau national est étranger à la Russie, disent les rabbins de Moscou en citant à titre d'exemple que depuis quelques années 60 mille Juifs vivant en Israël sont revenus en Russie. Cependant, le président russe Vladimir Poutine ne cache pas que les manifestations d'antisémitisme dans la vie quotidienne ne sont pas encore éradiquées.

Malgré la consolidation des forces politiques contre les manifestations de xénophobie, l'antisémitisme est assez répandu en Europe. Un séminaire consacré à l'interprétation des problèmes de l'antisémitisme dans les médias, réunissant des journalistes d'Europe Orientale, s'est tenu il n'y a pas longtemps.


Vlassov le 01/12/2012
Chers amis !

A partir du 1e décembre la Russie prend la présidence au G20, une association informelle des plus grandes économies du monde. Pour nous, c’est avant tout une possibilité d’offrir à nos partenaires un programme positif et substantiel qui traite des problèmes communs qui concernent le monde entier. Nous comptons utiliser efficacement notre présidence pour répondre à nos objectifs nationaux à long terme et renforcer la position de la Russie dans la sphère de gestion de l'économie mondiale.

Créé en 2008, le « groupe des 20 » est devenu un instrument important pour réagir aux crises. Grâce aux efforts concertés des pays participants, l’organisation a réussi à freiner le déclin de l’économie et renforcer le contrôle des systèmes financiers nationaux. En outre, le G20 a permis de commencer la transformation systémique de l'architecture financière et de l’économique internationale conformément aux défis et les demandes du 21e siècle. Le groupe a pu commencer la mise en place des mécanismes qui peuvent aider à s'assurer contre les risques, renforcer la confiance mutuelle et donner une impulsion durable et équilibrée à l'économie mondiale.

Pour nous, l’objectif de la présidence russe au G20 – c’est de concentrer les efforts des pays membres afin d’élaborer les mesures visant à encourager la croissance économique et la création d'emplois. Que faut-il faire dans ce but ? Pour nous, la réponse est évidente – il faut stimuler les investissements, instaurer la confiance et la transparence des marchés et une réglementation efficace. C'est avec ces priorités que nous pourrons discuter de tous les sujets traditionnels qui sont à l'ordre du jour au programme du G20. Parmi ces priorités - l'état de l'économie mondiale et la mise en œuvre d’un Accord-cadre pour assurer la croissance soutenue et équilibrée, promouvoir l'emploi, la réforme du système monétaire, la réglementation et la supervision financière, la stabilité des marchés mondiaux de l'énergie, l’aide au développement international, le renforcement du système commercial multilatéral, et la lutte contre la corruption.

En outre, dans le cadre du programme financier à l'ordre du jour, nous proposons d’aborder deux thèmes nouveaux: « Le financement des investissements comme base pour la croissance économique et la création d'emplois» et « La modernisation des systèmes nationaux de gestion de la dette publique et de la dette souveraine ».

Ainsi, la présidence russe veillera à ce que les engagements pris dans le cadre du « Groupe des 20 » précédemment soient réalisés et garantira la continuité des problèmes à l’ordre du jour. Et dans le même temps, la Russie proposera son approche pour l’étude de ces problèmes.

Je noterai que la Russie est prête pour une interaction élargie et la coopération pour relever les défis auxquels est confronté le G20. Pour améliorer l'efficacité, la transparence et la confiance pour son travail, nous avons l'intention de mener des consultations élargies avec tous les intervenants – des pays non-membres du « Groupe des Vingt », mais aussi avec les organisations internationales d’experts, des organisations syndicales, l’entreprenariat, la société et la jeunesse. Comme le montre la pratique, les mesures globales ne sont efficaces que si elles sont fondées sur les opinions et prennent en compte les intérêts des différents groupes.

Nous espérons que la présidence de la Russie dans le « Groupe des Vingt » permettra de consolider les efforts déployés par les pays participants pour atteindre des objectifs communs - résoudre les problèmes urgents de l'économie mondiale et assurer un développement durable au bénéfice de la communauté mondiale. Nous espérons que notre présidence aidera à améliorer la vie de millions de personnes sur la planète.

La Russie est ouverte au dialogue et au travail créatif commun.

Vladimir Poutine


Shmuel le 01/12/2012
Comment oser vous parler d'un génocide des ukrainiens ; des russes blancs, des allemands, pourquoi pas des arméniens, des cambodgiens, des vendéens.
Seul compte le génocide du Peuple Elu, nous les Juifs


Aryana le 01/12/2012
Voilà un des génocides commis par les juifs contre les blancs européens et contre les chrétiens !

Voilà un des génocides parmi d'autres depuis que les juifs se sont emparrés de la Russie par une révolution soviétoide sanguinaire et tout ca pour quoi ?

Satisfaire la haine juive qui ne recule jamais à toutes les pires bassesses pour infliger des crimes contre l'humanité partout où la juiverie s'empare d'ue nation et d'un gouvernement !

Regardez aujourd'hui goldman sachs qui a l'intention d'affamer la Grèce , l'Italie , l'Espagne, le Portugal et bientot la France, avec la complicité active de cette meme gochiasserie criminelle qui trouvait normal d'affamer les ukrainiens ,et martyriser partout sur terre par idéologie dogmatique ne servant que de parade pour déverser des meurtres par millions sur des petites gens innocents et vulnérables pendant que l'hypocrite amérique regardait ailleurs ,ainsique l'angleterre qu ont refusé de faire la guerre réelle contre les soviétiques afin de laisser les génocidaires juifs continuer leur carnage criminel contre des européens et des contre des chrétiens, contre des paysans et contre des écrivains !

Aujourd'hui , cette juiverie coupable et responsable de dizaines de millions de gens assassinés industriellement par la juiverie , refuse que les merdias parlent de ces crimes inouis cotre l'humanité !

Car pour les juifs, l'humanité n'est que bétail au service du juifs "élu" , et seul lejuif a droit de se pavaner à la télé pour faire croire que RIEN ni PERSONNE n'est plus important que lui seul ,et donc le monde est sommé de pleurnicher sur la moindre égratignure juive , le moindre mot qui ne peut etre toléré d'etre entendu par les juifs !


Assassins, ! Juifs ,assassins ! voleurs , escrocs !

Virons ces vampires juifs de goldman sachs hors d'Europe sinon les goulags recommencerons , les enfants mourront de faim pendant que le juif ricane dans les palais européens !


Aryana le 01/12/2012
Vlassov : cette propagande mondialiste n'a aucun interet vital pour l'avenir des nations et des peuples du monde !

Le G20 n'est qu'une énième mascarade pour des enrichir les banksters juifs comme Goldman sachs !

Plutot que de trimer pour des clopinette au profir de la racaille juive mondialiste , faisons la grève et la révolution pour extirper les vampires juifs qui ruinent l'Occident !

Je dis donc merde au G20 , qu'il aille en enfer et ses larbins à youpins avec ! basta !


Druide le 02/12/2012
Jewish-bolshevik massacre of the Ukrainians
http://www.youtube.com/watch?v=cQlqMJRfIOc

Judeo Bolshevik Christian Killer
Genrikh Yagoda
https://www.youtube.com/watch?v=fqDZ91mVSsA


lecteur le 02/12/2012
Rappel historique excellent
commentaires excellents

malheureusement une photo se superpose au texte au milieu de l article
pagination à revoir


CVV le 02/12/2012
Bien dit Aryana ! à quand le mea culpa des Français pour ce qu'ils ont fait aux Allemands, leurs frères francs chrétiens, manipulés tout deux par par zog à plusieurs reprises au lieu de suivre Pétain et Pie XII ?
Sans la Catholicité et la résurgence de l'Ordre militaire teutonique pour la dernière et seule grande Croisade, aucun espoir possible ! la WW2 n'est pas finie... et à la fin nous aurons la victoire totale par le Dieu des armées qui va soutenir son peuple élu les Germains et pas cette ignoble race usurpatrice


Dedefensa le 09/12/2012
Holodomor en Ukraine

Le mot Holodomor (“extermination par famine”) est employé pour la Grande Famine d’Ukraine, des années 1930, qui reste une des plus terribles périodes du stalinisme, avec un bilan qui se compte en millions de morts. Comme on a vu par ailleurs (notre F&C du 26 novembre 2012), un chercheur et historien russe, également économiste et démographe, Boris Borisov, développa une thèse, en 2008, traçant un parallèle entre cet événement tragique de la Grande Famine d’Ukraine et celui de la Grande Dépression aux USA, du point de vue des pertes humaines attribuées aux pressions de la situation économique (Borisov recense 7,5 millions de morts aux USA, entre 1932 et 1937, qu’il attribue à la crise économique).

On l’a déjà écrit, dans notre texte référencé, combien cette thèse de Borisov constitue une affirmation extrêmement audacieuse, sinon sacrilège par rapport aux conceptions économiques et historiques, par rapport à l’approche idéologique exigée dans l’historiographie du bloc BAO. Le passage auquel nous faisons allusion, portant à la fois sur cet aspect “sacrilège” d’une telle comparaison pour l’historiographie conforme du bloc BAO, et d’autre part sur l’actualité indirecte de cette comparaison par rapport à la situation économique, sociale, humaine et aussi idéologique présente est celui-ci :

«Il y a toute une école, qu’on qualifierait de complotiste pour faire bref mais sans nécessairement de nuance péjorative dans cette occurrence, pour estimer que le Système, sous la forme de l’une ou l’autre officine ou organisation globaliste du genre, prépare, ou réalise déjà, une forme de génocide, notamment par l’alimentation restreinte ou hors de prix et la forme de l’alimentation, pour diminuer radicalement la population et ainsi ne mettre aucunement en péril grave la marche de la doctrine économique dominante. On comprend combien cette comparaison entre la Grande Dépression et la Grande Famine d’Ukraine des années 1930 constitue pour ce genre de thèses un argument de premier choix. D’autre part, cette même comparaison constitue évidemment, pour la bonne réputation du Système une idée monstrueuse, abominable, sacrilège, etc. Par ailleurs, il faut observer que la logique et les développements de Borisov laissent en général une grande impression de sérieux. Le fait que l’économiste et démographe russe et sa thèse aient pratiquement disparu des références (notamment, référence-Système dites sérieuses) lorsqu’on consulte Google, avec ce qu’on sait de Google et de ses liens avec le Système, n’est pas particulièrement rassurant. On sait que le silence est la meilleure arme du Système lorsqu’il s’agit d’écarter une forme de pensée gênante.»

Il faut également préciser que la thèse de Borisov est apparue alors que la polémique centrale à propos de la Grande Famine d’Ukraine était née et faisait rage. Cette polémique porte moins sur le crime lui-même que sur la cause et l’objet du crime. L’Ukraine estime que la Grande Famine, événement favorisé et même organisé par l’OGPU (ex-Tchéka), était destinée à détruire la nation ukrainienne, tandis que le courant général officiel en Russie est de nier cette dimension génocidaire spécifique : selon ce second point de vue, la Grande Famine d’Ukraine s’inscrit dans le vaste mouvement de “dékoulakisation”, ou “industrialisation forcée”, entrepris par Staline à la fin des années vingt, et qui conduisit effectivement à des victimes par millions, dont ceux de la Grande Famine. (Voir, par exemple, Russia Today du 12 décembre 2008, sur ce sujet de la polémique. Sur le sujet de la “dékoulakisation” incluant la Grande Famine d’Ukraine selon la thèse russe, avec un total de pertes humaines de 8,5 millions pour l’ensemble, voir l’analyse de l’historien Krill Alexandrov, le 22 novembre 2008.)

Cette polémique n’est certes pas le centre de notre propos, mais elle confirme combien ces famines “artificielles” ont en grande partie à voir avec une conception et une doctrine économique, ce qui rend encore plus pertinente l’initiative de Borisov de faire un parallèle avec la Grande Dépression. Il est évident qu’il y avait, du côté des forces capitalistes et idéologiques US, une attaque contre la population déshéritée et pauvre, notamment au nom de conceptions suprématistes et social-darwinistes, qui a largement alimenté les terribles conditions faites à cette population, et les pertes humaines allant avec. Le climat à cet égard était très extrémiste dans les années 1920 et 1930 aux USA. L’intérêt du propos est bien entendu que l’on retrouve aujourd’hui cette même tendance, dans les mêmes USA (avec extension dans le monde, comme cadeau pour la modernité), avec l’opposition fameuse des “1% versus les 99%”.

Dans cette perspective, il nous paraît intéressant de mettre en ligne ce qui semble être le texte original de Boris Borisov, en date du 4 avril 2008. Il s’agit ici de l’édition par Russia Today, le 15 octobre 2012. Les détails donnés par Borisov, notamment les efforts faits par les autorités diverses aux USA pour masquer les disparités importantes dans les décès, – tout cela rappelle les élections démocratiques aux USA, – contribuent à renforcer l’idée qu’on doit avoir de la complète virtualisation, ou “potemkinisation” des USA, pour cette période comme pour toutes les autres. Les USA ne sont pas pour rien l’“empire de la communication”. Le texte de Borisov, qui est présenté par Russia Today sous la seule responsabilité de l’auteur, permet, à notre sens, d’explorer plusieurs domaines à la fois historiques, sinon métahistoriques, et à la fois d’une complète actualité, – simplement en considérant le fait, selon nous tout à fait acceptable, de la validité de la thèse présentée.

• La puissance que peut éventuellement prendre l’entreprise faussaire générale des USA, et, d’une façon plus générale, de la modernité& et du Système. A partir de là, on doit pouvoir mesurer l’extraordinaire puissance éventuelle, et même assurée à notre sens, des falsifications de l’histoire courante, notamment et essentiellement sous l’empire du Système, c’est-à-dire depuis le phénomène du “déchaînement de la Matière.

• La capacité de destruction, de déstructuration et de dissolution, qui caractérisent les doctrines économiques et, d’une façon plus générale, ce qu’on pourrait nommer l’“économisme”, en tant que tendance à tout considérer d’un point de vue économique et à tout faire évoluer selon le point de vue économique. Dans le cas envisagé, nous sommes avec deux doctrines économiques qui se font face, qui sont toutes les deux quasiment d’essence religieuse, ou plutôt de pseudo-essence religieuse, avec tous les vices possibles des religions (passion, aveuglement, intolérance, etc.), mais bien sûr sans leurs vertus fondamentales. Et voilà que ces deux doctrines se retrouveraient à agir exactement de même, dans la façon de faire évoluer les choses par l’élimination et l’extermination. Effectivement, le cas historique devient très actuel…

(Le titre du texte de Boris Borisov, “Golodomor ad usum externum”, signifie : Holodomor, applied externally, – “‘extermination par famine’ pour application extérieure”.)

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