LES POUBELLES FRANCAISES DE FRED

LES POUBELLES FRANCAISES DE FRED

mardi 23 juillet 2013

SATAN, DIEU, ADOLF HITLER, JUIF, ROTSCHILD, ILLUMINATI, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER, FRANC-MACON


Il s’agit de faits connus des initiés et des descendants de russes blancs.
Les Rothschild mènent la "Symphonie Rouge" rothschild-hitler


Aussi incroyable et bizarre que cela puisse paraître, l’humanité est vraiment victime d’une conspiration diabolique.


Les guerres, les dépressions et les génocides du siècle passé n’étaient pas accidentels ou inévitables mais le résultat d’un dessein malveillant.
 
Une preuve choquante est un interrogatoire de 1938 mené par la police stalinienne (N.K.V.D.) de l’un des fondateurs de l’Internationale Communiste, Christian G. Rakovski, 65 ans, qui était menacé d’exécution pour un complot visant à renverser Staline.

La transcription des 50 pages de son interrogatoire, surnommée «La Symphonie Rouge», n’était pas destinée à devenir publique. Il confirme que les Rothschild-Illuminati avaient prévu d’utiliser le Communisme pour établir une dictature mondiale des super-riches.
C’est peut-être le document politique le plus explosif de l’histoire moderne. Il révèle pourquoi les Illuminati ont créé Hitler et ensuite cherché à le détruire, et pourquoi Staline fit un pacte avec Hitler en 1939.

Christian Rakovski était un ancien initié Communiste. Né Chaim Rakeover en 1873, il étudia la médecine en France avant de devenir un révolutionnaire. Il était le leader d’un groupe terroriste qui attaquait les officiels gouvernementaux.
En 1919, Lénine le mit en charge du gouvernement de l’Ukraine Soviétique. Il défendit avec succès la zone pour les bolchéviques pendant la guerre civile. Staline le nomma ambassadeur de Russie à Paris en 1925.
Rakovski appartenait à la puissante faction Trotskiste qui prenait ses ordres auprès des Rothschild. Beaucoup des membres de ce groupe ont été abattus par Staline en 1937 lors de la purge du Parti Communiste.
L’INTERROGATOIRE NOCTURNE
Les circonstances de l’interrogatoire dans la nuit du 26 janvier 1938 furent très dramatiques.
Que pouvait bien dire Rakovski pour sauver sa vie?
Rakovski semble avoir utilisé la tactique de «tromper en disant la vérité.» Il gagne la confiance en révélant la vérité, mais il en omet suffisamment. Il essaye d’impressionner son interrogateur sur le fait que lui et Trotsky représentent une puissance invincible qu’il appelle «Internationale Financière Capitaliste-Communiste.»
Il confirme que le "mouvement révolutionnaire" a été conçu pour gagner du soutien en prétendant servir les idéaux moraux et collectif de l’humanité. Le but réel est cependant de donner un pouvoir mondial total aux banquiers en divisant la société et en sapant l’autorité établie.
La "Révolution" signifiait vraiment le «renversement» de la Civilisation Occidentale.
«La chrétienté est notre seul véritable ennemie puisque les phénomènes politiques et économiques des états bourgeois n’en sont que ses conséquences», déclare Rakovski. (Griffin, 247)
La paix est «contre-révolutionnaire» puisque c’est la guerre qui ouvre la voie à la révolution.
Rakovski, dont la langue a été assouplie par une drogue douce mise dans son vin, se réfère aux Illuminati par «ils» ou «eux». Il en est membre bien qu’il ne fasse pas partie du cercle intérieur.
Il explique que les «Illuminati» sont une société secrète maçonnique vouée à l’accomplissement du Communisme. De manière significative, son fondateur Adam Weishaupt prit le nom de «la seconde conspiration anti-Chrétienne de cette ère, le gnosticisme.» (249)
COMMENT CE TÉMOIGNAGE CAPTIVANT NOUS EST PARVENU
L’interrogateur était un des plus habiles agents de Staline, Gavriil Kus’min connu sous le nom de "Gabriel".
En dehors de lui et un technicien fiable caché, le docteur José Landowski était la seule autre personne présente.

Enrôlé par le N.K.V.D. pour l’aider «à délier les langues des détenus», le Dr. Landowski était écœuré par les nombreuses tortures dont il avait été témoin.
L’interrogatoire de Rakovski, cependant, fut cordial. Le Dr. Landowski doutait que le doux euphorisant qu’il avait versé dans le verre de Rakovski ait beaucoup d’effet.
L’interrogatoire, mené en français dura de minuit jusqu’à 7 heures du matin, Kus’min ordonna à Landowski de traduire l’entrevue en russe et d’en faire deux copies.
Le contenu était tellement ahurissant que Landowski en fit un carbone de plus pour lui-même. «Je ne suis pas fâché d’avoir eu le courage de faire ça», écrit-il. (279) (Les bolchéviques avaient tué le père de Landowski, un colonel tsariste, lors de la révolution de 1917.)

Un volontaire fasciste espagnol trouva plus tard le manuscrit sur le cadavre de Landowski dans une cabane sur le front de Petrograd pendant la Deuxième Guerre mondiale. Il le ramena en Espagne où il fut publié sous le titre «Sinfonia en Rojo Mayo» En 1949.
Peter Myers a mis le texte complet de «The Red Symphony» en ligne.

http://users.cyberone.com.au/myers/red-symphony.html

La transcription a été publiée en anglais en 1968 sous le titre «The Red Symphony : X-Ray of Revolution» (La Symphonie Rouge : une radiographie de la Révolution). Vous pouvez la trouver dans l’ouvrage de Des Griffin «Fourth Reich of the Rich» (1988) (Le quatrième Reich des riches). Je recommande ce livre et tout ce que cet homme brillant a écrit.
 
LES RÉVÉLATIONS

Rakovski donne à son interrogateur une vision étonnante de l’histoire moderne afin de prouver que ses commanditaires contrôlent le monde.
nazisme=communisme

«L’argent est la base du pouvoir», dit Rakovski et les Rothschild le fabriquent grâce au système bancaire.

Le «Mouvement Révolutionnaire» était une tentative de Mayer Rothschild et de ses alliés de protéger et d’étendre ce monopole en établissant un Nouvel Ordre Mondial totalitaire.
Selon Rakovski, «les Rothschild n’étaient pas les trésoriers mais les chefs secrets de ce premier Communisme… Marx et les plus hauts chefs de la Première Internationale… étaient contrôlés par le baron Lionel Rothschild [1808-1878] dont le portrait révolutionnaire fut réalisé par Disraeli le Premier Ministre anglais d’alors, qui était aussi sa créature, et nous fut transmis [dans le roman de Disraeli 'Coningsby.']» 250)

Nathaniel (1840-1915), le fils de Lionel, avait besoin de renverser la dynastie Chrétienne des Romanov. A travers ses agents Jacob Schiff et les frères Warburg, il finança les japonais dans la guerre russo-japonaise, et une insurrection infructueuse à Moscou en 1905. Puis il fut l’instigateur de la Première Guerre mondiale (Trotski était derrière l’assassinat de l’archiduc Ferdinand) et finança la Révolution Bolchévique de 1917. Rakovski dit qu’il fut personnellement impliqué dans le transfert de fonds à Stockholm. (251-252)
Le mouvement ouvrier juif ou «Bund» fut l’instrument de Rothschild. La «faction secrète» du Bund infiltra tous les partis socialistes en Russie et en assura la direction pour la Révolution Russe. Alexandre Kerenski, le Premier ministre menchévik en était un membre secret. (253)
Léon Trotski était censé devenir le leader de l’U.R.S.S. Trotski, un Juif, a épousé la fille de l’un des plus proches collaborateurs de Rothschild, le banquier Abram Zhivotovsky et était devenu un membre du «clan».
Malheureusement, les Communistes «nationaux» comme Lénine (un quart juif) croisèrent sa route. Lénine rejeta Trotski et fit la paix avec l’Allemagne (traité de Brest-Litovsk en 1918).

Ce n’était pas le plan de Rothschild.

La Première Guerre mondiale était censée prendre fin de la façon dont la Seconde Guerre mondiale s’est terminée. La Russie était censée envahir l’Allemagne en 1918 et aider les révolutionnaires locaux à établir une «république populaire».
Trotski fut responsable d’une tentative d’assassinat de Lénine en 1918 mais Lénine survécut. Quand Lénine eut une attaque en 1922, Trotski chargea Levin, le médecin juif de Lénine, d’en finir avec lui.

À ce moment critique, l’inattendu se produisit. Trotski tomba malade et Staline fut en mesure de prendre le pouvoir. A ce moment crucial, les trotskistes prétendirent soutenir Staline et infiltrèrent son régime dans le but de le saboter.
Rakovski caractérise Staline comme un «bonapartiste», un nationaliste par opposition à un international Communiste comme Trotski.
«Il est un tueur de la révolution, il ne la sert pas, mais l’utilise à son service, il représente l’impérialisme russe le plus ancien, juste comme Napoléon s’identifiait avec les Gaulois… » (257)

CONTENIR STALINE

Afin de contrôler Staline, la finance internationale fut amenée à créer Hitler et le parti Nazi. Rakovski confirme que les financiers juifs soutinrent les Nazis alors même qu’Hitler n’était pas au courant de cela.
«L’ambassadeur Warburg [James Warburg] se présenta sous un faux nom et Hitler ne devina même pas sa race… Il mentit aussi sur qui il représentait… Notre but était de provoquer une guerre et Hitler était la guerre… [Les nazis] ont reçu… des millions de dollars envoyés par Wall Street, et des millions de marks par des financiers allemands par le biais de Schacht ; [subvenant] à l’entretien de la S.A. et des S.S. ainsi qu’au financement des élections…» (Pages 259-260)

Malheureusement pour les banquiers, Hitler s’est aussi montré rebelle. Il a commencé à imprimer sa propre monnaie!

«Il a pris pour lui-même le privilège de fabriquer la monnaie et non pas seulement la monnaie physique, mais aussi les outils financiers, il s’est approprié l’appareil de falsification encore intact pour le mettre à travailler pour le bénéfice de l’état… Etes-vous capable d’imaginer ce qu’il serait advenu… s’il avait gangrené un certain nombre d’autres Etats et conduit à la création d’une période d’autarcie [de règne indépendant absolu, remplaçant celui des banquiers]. Si vous le pouvez, imaginez alors ses fonctions contre-révolutionnaires … » (263)
Hitler était devenu une menace plus grande que Staline qui n’avait pas touché à l’argent. La mission actuelle de Rakovski était de convaincre Staline de signer un pacte avec Hitler et de retourner l’agression d’Hitler contre l’Occident. L’objectif était que l’Allemagne et les pays occidentaux s’épuisent les uns les autres avant qu’un autre front ne soit ouvert à l’Est.
[Selon Walter Kravitski, le chef du renseignement militaire soviétique en Europe qui fit défection à l'Ouest et fut plus tard assassiné en 1941, Staline était déterminé à faire un pacte avec Hitler dès 1934. Il n'avait aucun désir de combattre les Nazis. Est-il possible que Rakovski et ses commanditaires ne sachent pas cela? Kravitsky dans Au service secret de Staline (1939)]

Rakovski a exhorté les Russes à utiliser la tactique de «tromper en disant la vérité.» Les Russes devaient impressionner Hitler avec leur véritable désir de paix. Hitler ne devait pas soupçonner qu’il était en train d’être piégé et entrainé vers une guerre sur deux fronts.
Il fut donné un choix à Staline. S’il acceptait de partager la Pologne avec Hitler, l’Occident ne déclarerait la guerre qu’à un seul agresseur, l’Allemagne. S’il refusait, les banquiers aideraient Hitler à se débarrasser de lui.
Kus’min exigea quelque confirmation de haut niveau. Rakovski lui dit de voir Joseph Davies, l’ambassadeur américain à Moscou, un camarade franc-maçon et représentant de l’administration Internationale Communiste de Roosevelt.
Quelqu’un fut envoyé auprès de Davies qui confirma que «beaucoup serait à gagner» si Rakovski obtenait une amnistie. Le 2 mars 1938, un puissant message radio fut envoyé à Moscou par l’intermédiaire de son ambassade à Londres.
«Une amnistie ou le danger Nazi va grandir», disait-il. Davies assista au procès de Rakovski et lui fit un salut maçonnique. Le même jour le 12 mars 1938, Hitler marchait sur l’Autriche.

La condamnation à mort de Rakovski fut commuée. Certains croient qu’il vécu jusqu’à la fin de sa vie sous un faux nom. Une autre source indique qu’il fut tué en 1941.
Des négociations secrètes furent engagées avec Hitler. Le résultat fut le pacte Ribbentrop-Molotov signé en août 1939, juste une semaine avant l’invasion de la Pologne.
L’interrogatoire semble avoir créé un accord entre Staline et les Illuminati.

LA RUSSIE LUTTE ENTRE LES GRIFFES DE ROTHSCHILD

L’Europe et les États-Unis ont depuis longtemps succombé au contrôle Illuminati de Rothschild. En Russie, il y a encore quelques spasmes avant la mort.
En 2003, Vladimir Poutine a fait arrêter Mikhaïl Khodorkovski, à la tête de la plus importante compagnie pétrolière russe "Ioukos" et "l’homme le plus riche de Russie."
Poutine a annoncé que la Russie allait saisir ses 12 milliards de dollars correspondant à 26% du capital de la compagnie pétrolière, l’un des nombreux actifs nationaux pillés au cours de la réorganisation du Communisme il y a 15 ans.
Ensuite, nous avons appris que les parts avaient déjà été transférées vers nul autre que Jacob Rothschild en vertu d’un «arrangement précédemment inconnu jusqu’alors» prévu pour une telle circonstance. Les deux compères se connaissaient depuis des années «par leur amour commun des arts.»

Rakovski avait dit à Kus’min que les Illuminati ne prennent jamais de positions politiques ou financières. Ils utilisent des «intermédiaires».
jacob

«Les banquiers et les politiciens ne sont que des hommes de paille… même s’ils occupent des places importantes et paraissent être les auteurs des plans qui sont menée… » (248-249)

Évidemment, Khodorkovski est un «intermédiaire» pour Rothschild. Tels sont aussi Richard Perle, Henry Kissinger et Ariel Sharon qui chacun s’exprimèrent contre l’action de Poutine. Perle, l’architecte de la guerre en Irak, a appelé à l’expulsion de la Russie du Groupe des Huit. Sharon exprima son inquiétude sur «la persécution des hommes d’affaires juifs». Khodorkovski est juif comme l’est Simon Kukës son successeur. Ainsi que Perle et tout comme Kissinger.

Beaucoup de juifs servent les Illuminati et c’est une des causes de l’antisémitisme. Mais Tony Blair et George W. Bush les servent aussi et ne sont pas juifs. La composition du groupe de Bilderberg et des Skull and Bones n’est la plupart du temps pas juive. Les Illuminati sont une alliance entre les Rothschild, et les super riches du monde unis par la franc-maçonnerie, dont le Dieu est SATAN.

L’humanité, la magnifique expérience de Dieu, a été détournée et compromise. Du soldat américain en Irak, jusqu’au contribuable qui paie la dette nationale, nous sommes tous des pions.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire