Et voila, le SARKÖSY de NAGY-BOCSA a tout faux; mais en tant que jérusaliste-marane,
il voulait mettre tous les goyms en prison!
Souvent décrits comme les grands Satan du piratage, des sites comme MegaUpload,
Pirate Bay & Co. pèsent au final assez peu dans l’échange illicite
de musique. 6% seulement des morceaux piratés s’échangent par
téléchargement direct, et 23% en Peer-to-Peer (P2P).
La grande majorité, 71% (!), des copies illicites s’échangent de manière très classique, principalement entre proches, en utilisant des disques durs externes, des clés USB ou des disques gravés.
Fantaisistes, ces chiffres? Que nenni. Ils émanent du lobby de l’industrie américaine du disc. Le site TorrentFreak a publié la semaine dernière un mémo confidentiel de la RIAA analysant les sources d’acquisition payante et non-payante de la musique entre 2010 et 2011.
Ses résultats relativisent le procès fait à internet, enfer du Copyright et zone de non-droit qu’il conviendrait de fliquer au plus vite, quitte à brider la liberté d’expression.
L’étude est en revanche sans appel sur la proportion de musique piratée face aux morceaux achetés. La copie illicite représentait 65% des échanges en 2011.
Parmi les 35% de musique achetée, les ventes physiques ont atteint 16%, et les téléchargements légaux 19%.
il voulait mettre tous les goyms en prison!
Copie illicite
Les vrais pirates ne sont pas sur le Net!
Par Simon Koch.
La grande majorité, 71% (!), des copies illicites s’échangent de manière très classique, principalement entre proches, en utilisant des disques durs externes, des clés USB ou des disques gravés.
Le faux procès d’internet
Fantaisistes, ces chiffres? Que nenni. Ils émanent du lobby de l’industrie américaine du disc. Le site TorrentFreak a publié la semaine dernière un mémo confidentiel de la RIAA analysant les sources d’acquisition payante et non-payante de la musique entre 2010 et 2011.
Ses résultats relativisent le procès fait à internet, enfer du Copyright et zone de non-droit qu’il conviendrait de fliquer au plus vite, quitte à brider la liberté d’expression.
L’étude est en revanche sans appel sur la proportion de musique piratée face aux morceaux achetés. La copie illicite représentait 65% des échanges en 2011.
Parmi les 35% de musique achetée, les ventes physiques ont atteint 16%, et les téléchargements légaux 19%.