L’ÉCHO des MONTAGNES, dans le légitime but de vous informer, en a marre de voir
toujours les mêmes images de propagande sur les médias jérusalistes français, concernant la SYRIE.
A HOMS on voit toujours les mêmes nuages noirs, en nous rabâchant c'est à cause des tirs de l'artillerie syrienne!
La réalité est tout autre, ces nuages noirs sont des pneus qui brûlent. Ces pneumatiques sont brûlés par les forces spéciales du MOSSAD et de la C.I.A;
Point barre.
Pour connaître réellement la situation en SYRIE, je vous laisse lire l'article très vrai de M.CHERIF ABDEDAÏM du journal "la Nouvelle République" d'ALGER
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toujours les mêmes images de propagande sur les médias jérusalistes français, concernant la SYRIE.
A HOMS on voit toujours les mêmes nuages noirs, en nous rabâchant c'est à cause des tirs de l'artillerie syrienne!
La réalité est tout autre, ces nuages noirs sont des pneus qui brûlent. Ces pneumatiques sont brûlés par les forces spéciales du MOSSAD et de la C.I.A;
Point barre.
Pour connaître réellement la situation en SYRIE, je vous laisse lire l'article très vrai de M.CHERIF ABDEDAÏM du journal "la Nouvelle République" d'ALGER
Chronique : La fonte de l’iceberg
Par Chérif Abdedaïm,
La Nouvelle République du 8 juillet 2012
On a longtemps pavoisé autour du massacre de Houla en
l’attribuant aux troupes de Bachar Al Assad, et c’était là une occasion
d’accuser le pouvoir syrien de massacre justifiant une intervention
humanitaire ; mais les dernières révélations du grand quotidien allemand
le Frankfurter Allgemeine viennent encore une fois discréditer la
thèse propagandiste des Occidentaux et remettre les pendules à l’heure.
Selon, ce quotidien, ce fut l’armée syrienne libre (ASL) qui a commis
le massacre de Houla et non pas Assad et l’armée régulière syrienne,
mais bien plutôt ces escadrons de la mort de l’OTAN qui ont été importés
de l’extérieur et qu’Hillary Clinton soutient, ainsi que Hague, Fabius
et le reste de ces gens. Dans ce jeu, Kofi Annan n’est essentiellement
rien d’autre qu’un homme de paille pour ces escadrons de la mort.
Dans cette situation, la Russie et la Chine
maintiennent leur position, après la réunion de Genève, samedi dernier-
quant à toute décision concernant la transition du pouvoir en Syrie qui
ne doit être prise uniquement que par le peuple syrien.
Dans ce contexte, Webster G. Tarpley, Ph.D, écrivain
et historien américain, explique dans une interview accordée à Press TV,
les enjeux de la politique de l’Occident. Pour cet analyste averti, «
la politique actuelle sous le gouvernement Obama avec Hillary Clinton
comme ministre des affaires étrangères, vise à la destruction de la
souveraineté des nations sur cette planète. Il est vraiment question de
ramener le monde aux temps précurseurs du traité de Westphalie en 1648,
traité qui établît alors le régime des états souverains indépendants.
Le désespoir des Etats-Unis et du Royaume-Uni vient
de leur banqueroute financière et ce qu’ils doivent faire est simplement
accélérer la vitesse d’exploitation, de pillage et de pompage de
l’économie mondiale. Ce faisant, ils se rendent compte que tout
gouvernement national est un obstacle intolérable qui est sur leur
chemin. »
De ce fait, leur but n’est pas seulement le
changement de régime: il est d’instaurer des micro-états, de « petits
états », pour utiliser la terminologie de Zbigniew Brzezinski, une «
partition », terme favori de George Soros, une balkanisation, des états
brisés, une agglomération de seigneurs de la guerre comme on le voit
actuellement en Libye.
Un but qui permet d’obtenir, selon Tarpley, une
situation où le FMI et l’OTAN règnent sur le monde d’en haut, et en bas,
avec une cour de petites entités ineptes, folles et balbutiantes, qui
jamais ne pourront résister à Exxon Mobil, JP Morgan, Halliburton ou
quelque entité que ce soit leur ressemblant, un peu comme la Libye
aujourd’hui.
L’objectif est donc de briser la Syrie, d’en détacher
la partie kurde, d’en détacher d’autres parties qui seront réclamées
par la Turquie; peut-être recommencer une guerre civile au Liban,
peut-être y aurait-il une guerre perpétuelle en Syrie, peut-être
qu’Israël se servirait de territoires convoités et ainsi de suite. Voilà
où l’on se dirigerait.
Décidément, la fonte de l’iceberg ne cesse de nous
dévoiler les intentions prédatrices de l’Occident et tout son jeu
hypocrite appuyé par ses vassaux arabes.
Chérif Abdedaïm, La Nouvelle République du 8 juillet 2012
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