SAGA JUDICIAIRE PUTATIVE d' OCCUPATION en SAVOIE
L’ÉCHO DES MONTAGNES, dans le légitime but de vous informer, vous propose la saga judiciaire putative en SAVOIE.
Effectivement votre rédacteur en chef préféré à porter plainte auprès du procureur du T.G.I d'ALBERTVILLE en SAVOIE SOUVERAINE pour ABUS de CONFIANCE contre les avocats du barreau d'ALBERTVILLE ou ALBERT-VIL!!!
Cette plainte d'ailleurs pourra être étendue à tous les barreaux de France, de Navarre et des Outres-Mers.
Et même aux barreaux de la Chaise, près de la Basse-COUR.
Mais voila PATRICK QUENCY, le procureur qui n'existe pas conformément à l'arrêt de la C.E.D.H. n'a pas daigné répondre à la requête de votre journal.
En plus il a été nommé à ce poste par un décret illégal,signé d'un certain NICOLAS SARKOSY, nom qui n'existe pas!
En conséquence de quoi il est "DÉNI de JUSTICE".
Pour en savoir plus, lisez donc les 2 plaintes qui vous aideront à votre tour à attaquer les procureurs
putatifs qui ne font pas leur travail, pour lequel ils sont payés par le justiciable, en sus!
M.Frédéric BERGER
MADAME LE
GARDE DES SCEAUX
Et
Ministre de
la Justice
CHRISTIANE
TAUBIRA
Place VENDÔME
Paris
OBJET : Plainte
pour DÉNI DE JUSTICE
Courriel et L.R.A.R
Par la présente j’ai l’honneur de porter en vos mains plainte pour « déni de justice »
Personne concernée :
M.PATRICK
QUENCY, procureur près le T.G.I. d’ALBERTVILLE, SAVOIE, 73200.
LES FAITS :
M. FRÉDÉRIC
BERGER, rédacteur en chef de l’ÉCHO des MONTAGNES a porté plainte pour abus de
confiance, entre les mains dudit procureur, le 29 mars 2012.
A ce jour, lundi 9
juillet 2012, le procureur n’a pas répondu à ma plainte sous aucunes formes
juridiques que cela soit.
Que cela constitue un déni de justice, de ne pas répondre au
courrier et au requête,
Que l’article 4 du code civil applicable en France
dispose que :
« Le juge qui refusera de juger, sous prétexte du
silence, de l'obscurité ou de l'insuffisance de la loi, pourra être poursuivi
comme coupable de déni de justice. »
Que tel est le cas en l’espèce.
Que ceci est constitutif d’une atteinte grave et
manifestement illégale au droit du requérant à obtenir une décision de
« justice »,
Que près d’un mois après le dépôt de la requête aucune
ordonnance n’est intervenue,
Que la notion de déni de justice connaît également une
extension. Il s’étend désormais au « cas où le juge refuse de répondre
aux requêtes ou ne procède à aucune diligence pour instruire ou faire juger les
affaires en temps utile » (TGI Paris, 6 septembre 1994).
M.Frédéric BERGER,
SAVOIE,
le 29 MARS 2012.
M.le
Procureur de la République
Patrick
Quency
Près
Le
T.G.I. d’Albertville
Av. des
Chasseurs Alpins
73 200
OBJET : PLAINTE POUR ABUS DE CONFIANCE.
LRAR et courriel et diffusion
presse.
Par la présente j’ai l’honneur de porter plainte en vos
mains pour abus de confiance, fait prévu et réprimandé par le code pénal
français :
(Ordonnance nº 2000-916 du 19 septembre
2000 art. 3 Journal Officiel du 22 septembre 2000 en vigueur le 1er
janvier 2002)
L'abus de confiance est le fait par une personne de détourner, au préjudice d'autrui, des fonds, des valeurs ou un bien quelconque qui lui ont été remis et qu'elle a acceptés à charge de les rendre, de les représenter ou d'en faire un usage déterminé.
L'abus de confiance est puni de trois ans d'emprisonnement et de 375000 euros d'amende.
J’attire votre attention sur la commission d’infraction
pénale, commis au sein de la C.A.R.P.A. (caisse de règlement pécuniaire des
avocats), gérée par le barreau d’Albertville.
Il s’agit d’un mécanisme d’abus de confiance organisé,
tombant sous le coup de l’article 314-1, suscité !
Le mode opératoire est le suivant : les fonds déposés
au profit des clients des sous-comptes CARPA sont artificieusement conservés
durant un temps anormalement long qui permet de générer des intérêts !
Le mécanisme a pour but de diminuer le montant des
cotisations à l’Ordre des Avocats, en faisant fructifier les fonds déposés au
détriment des clients qui les attendent et surtout en violation manifeste de la
cause de ces dépôts.
S’agissant d’avocats du barreau d’Albertville en SAVOIE, je
vous demande de délocaliser ce dossier épineux et sensible.
Vous remerciant de m’indiquer le numéro d’enregistrement
attribué par votre parquet.
Comptant sur vos diligences et vous en remerciant vivement,
croyez que je reste votre dévoué.
Frédéric BERGER
Rédacteur en chef de l’ÉCHO DES
MONTAGNES
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