LES POUBELLES FRANCAISES DE FRED

LES POUBELLES FRANCAISES DE FRED

jeudi 17 avril 2014

SAVOIE, PARIS, ISRAËL, CRIF, LICRA, LDJ, PÂQUES, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

                   MON CRI DU CŒUR: MERDE

L’Écho des Montagnes, dans le légitime but de vous informer, lance son cri du coeur,
en cette semaine sainte des Pâques.

En premier les paroles et en deuxième la vidéo chic et choc:

Paroles :

A Valls et ses « quand même »
Qu'il dit d'un air crispé
Qui poursuit Dieudonné
Comme un vrai meurtrier
A lui ce bien coiffé
Qui mène pour Israël
Des guerres sans les aimer
Et se nomme BHL

Refrain : Je dis merde, je dis merde, je dis merde, je dis merde, je dis merde, je dis merde...

A ceux de la télé
A ceux qui la regardent
Qui traitent de fachos
De simples quenellliers
L'Haziza et le CRIF
La Fourest, la LICRA
Finkielkraut, la Lévy
A ceux qui ne la ferment pas

Refrain

A tous les sans paroles
A ces menteurs publics
A tous les Cahuzac
Qui ne pensent qu'à leur fric
A cette Belkacem
Qui dit en théorie
Qu'au Gender elle dit non
Mais en fait qui dit oui !

Refrain

A Bayer, Monsanto
Goldman Sachs, JP Morgan
Rotschild et Bilderberg
Syngenta, DuPont, Lehman
A toi qui détruis tout
Sans te poser de questions
A toi qui ne comprends rien
Et qui consommes comme un con

Refrain


Vidéo:



 En 3ème lieu, un texte:
          
         Seuls les + DE 50 ANS pourront comprendre !  

A la caisse d'un supermarché, une vieille dame choisit un sac en plastique pour ranger ses achats.
 
La caissière lui reproche de ne pas se mettre à l'écologie et lui dit :     
— "Votre génération ne comprend tout simplement pas le mouvement écologique. Seuls les jeunes vont payer pour la vieille génération qui a gaspillé toutes les ressources !"

 La vieille femme s'excuse auprès de la caissière et explique :

  "Je suis désolée, il n'y avait pas de mouvement écologiste de mon temps." 

Alors qu'elle quitte la caisse, la mine déconfite, la caissière ajoute :
— "Ce sont des gens comme vous qui ont ruiné toutes les ressources à nos dépens. C'est vrai, vous ne considériez absolument pas la protection de l'environnement dans votre temps."
Un peu énervée, la vieille dame fait observer qu'à son époque on retournait les bouteilles de verre consignées au magasin ; que le magasin les renvoyait à l'usine pour être lavées, stérilisées et remplies à nouveau ; que les bouteilles étaient ensuite recyclées puisqu'on ne connaissait de mouvement écologique. 

Et d'ajouter : 
 "De mon temps, on montait l'escalier à pieds puisqu'on n'avait pas d'escaliers roulants et peu d'ascenseurs ; qu'on ne prenait pas sa voiture à chaque fois qu'il fallait se déplacer de deux rues ; qu'on marchait jusqu'à l'épicerie du coin - mais, c'est vrai, on ne connaissait pas de mouvement écologiste".
  
 "On ne connaissait pas les couches jetables, on lavait les couches des bébés" ;  

 "On faisait sécher les vêtements dehors sur une corde."

 "On avait un réveil qu'on remontait le soir." 
  
 "Dans la cuisine, on s'activait pour préparer les repas" ;
 "On ne disposait pas de tous ces gadgets électriques spécialisés pour tout préparer sans efforts et qui bouffent des watts autant qu'EDF en produit."

 "Quand on emballait des éléments fragiles à envoyer par la poste, on utilisait comme rembourrage du papier journal ou de la ouate, dans des boîtes ayant déjà servi, pas des bulles en mousse de polystyrène ou en plastique."
 
 "On n'avait pas de tondeuses à essence auto propulsées ou auto portées : on utilisait l'huile de coude pour tondre le gazon."

 "On travaillait physiquement ; on n'avait pas besoin d'aller dans un club de gym pour courir sur des tapis roulants qui fonctionnent à l'électricité - mais, c'est vrai, on ne connaissait pas de mouvement écologiste."
 
 "On buvait de l'eau à la fontaine quand on avait soif."
 "On n'utilisait pas de tasses ou de bouteilles en plastique à jeter."
 "On remplissait les stylos dans une bouteille d'encre au lieu d'acheter un nouveau stylo."
 "On remplaçait les lames de rasoir au lieu de jeter le rasoir entier après quelques utilisations - mais, c'est vrai, on ne connaissait pas de mouvement écologiste."  

 "Les gens prenaient le bus, le métro, le train et les enfants se rendaient à l'école à vélo ou à pied au lieu d'utiliser la voiture familiale et maman comme un service de taxi 24 H sur 24."
 "Les enfants gardaient le même cartable durant plusieurs années, les cahiers continuaient d'une année sur l'autre, les crayons de couleurs, gommes, taille-crayon et autres accessoires duraient tant qu'ils pouvaient, pas un cartable tous les ans et des cahiers jetés fin juin, de nouveaux crayons et gommes avec un nouveau slogan à chaque rue -  mais, c'est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologique !"
 
 "On n'avait qu'une prise de courant par pièce, et pas de bande multiprises pour alimenter toute la panoplie des accessoires électriques indispensables aux jeunes d'aujourd'hui :
 

                     ALORS VIENS PAS ME FAIRE CHIER 
       AVEC TON MOUVEMENT ÉCOLOGISTE !     
 
 "Tout ce qu'on regrette, c'est de ne pas avoir eu assez tôt la pilule, pour éviter d'engendrer la génération des jeunes cons comme vous, qui s'imagine avoir tout inventé, à commencer par le travail ; qui ne savent pas écrire 10 lignes sans faire 20 fautes d'orthographe ; qui n'ont jamais ouvert un bouquin autre que des bandes dessinées ; qui ne savent pas qui a écrit le Boléro de Ravel puisqu'ils pensent que c'est un grand couturier ; qui ne savent pas mieux où passe le Danube quand on leur propose Vienne ou Athènes, etc., mais qui croient tout de même pouvoir donner des leçons aux autres, du haut de leur ignorance crasse ! 
                                          MERDE à la fin ! 
Frédéric BERGER
 

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